[quote="Pingoleon3000"]Euh perso Boris j'aurais préféré qu'ils ne mettent rien du tout plutôt qu'ils se servent d'un service inutile pour les gens qui achètent 3-4 jeux par an et qu'ils s'en servent comme argument marketing sans qu'on ai le droit de dénoncer la supercherie...[/quote]
Quelle supercherie??? Ils peuvent très bien fixer les règles qu'ils veulent et t'inquiète pas que le service va être utilisé par plusieurs acheteurs collectionneur, après ça va dans le sens de la logique d'un programme fidélité... regarde quand tu vas a Géant tu as un bon d'achat de 5€ dès que tu a fait 4000 smiles, pour avoir 1 smile faut dépenser 3€....
C'est pas parce que tu ou je ne pourrais pas bénéficier de leur programe fidélité que c'est de la supercherie, d'un autre coté, tu dis qu'ils market la dessus, c'est faux et archi faux, il n'y a que les amateurs informés qui se préocupaient du Club Nintendo, c'est comme si tu me disais je vais devoir faire plus les courses car Carrefour a changé ses règles de programmes fidélités. Ce n'ai pas une fin en sois, tu est libre de faire ce que tu veux. Mais une nouvelle fois j'espère juste que vous n'achetez pas les jeux juste pour les goodies du Club, ça fait un peu cher la figurine en plastique, le CD, ou le wallpaper NON?
C'est un peu l'effet pervers de s'employer à la sur-qualité. Concept identifié par les entreprises.
La sur-qualité définit ce que peut être une réalisation non-spécifiée. Typiquement ici, le club Nintendo est une réalisation non-spécifiée par le consommateur.
Aux premiers abords répondre à un besoin non spécifié peut sembler être une bonne chose, mais du point de vue de l’entreprise, c’est une pratique qui peut se révéler dangereuse.
Lorsque l’on recherche à faire de la sur-qualité, on recherche avant tout à accroitre la satisfaction du consommateur. Ça part d’un bon postulat de base. Là où la pratique est dite à risque, c’est que cela accroit les dépenses de l’entreprise dans la plupart des cas. Ceci, sans être assuré du retour sur investissement (satisfactions = +d’intention d’achat). Mais surtout, cette pratique pérennise les dépenses au niveau du produit de base + de la sur-qualité, car l’on s’expose sinon à une insatisfaction potentiellement générée par la démarche de sur-qualité.
Ici, l’insatisfaction de certain PNiens et effectivement engendrée par le rétropédalage du club Nintendo (concernant la durabilité des points). Mais le club Nintendo avait-il vraiment une raison économique intéressante d’exister ? C’est en cela qu’il devient une affaire de sur-qualité.
La chose difficile à jauger en réalité ici pourrait être le seuil entre le besoin spécifié, le besoin identifié, le besoin non-identifié, et le gâchis.
Oui bah ça j'ai bien compris que Nintendo était une grosse entreprise capitaliste qui a le droit de faire absolument ce qu'elle veut au mépris total de ses clients, mais je n'ai pas le droit de dire aux autre clients que ce service qui sert bel et bien d'argument marketing (parce que sinon il n'existerait pas) ne va satisfaire réellement qu'une petite minorité de gros acheteurs? Stop essayer de me faire croire que c'est "un cadeau fait aux fans" et qu'on devrait en être bien content... Et bien sûr que le club Nintendo ne m'a jamais fait acheter un seul jeu, mais tout ça dégrade clairement l'image que j'ai de l'entreprise qui donne l'impression de se foutre de joueurs en annonçant la fermeture de club Nintendo et en promettant un nouveau programme de fidélité qui finalement risque d'être de foutaises... Ou bien alors je ne suis pas assez fidèle pour en profiter peut-être?