keoone
[quote]The developers we spoke to said they hadn’t received any information from Nintendo about how to implement Wii MotionPlus into their upcoming projects[/quote]

Quels developpeurs ? je veux bien que certains n'aient pas été mis dans la confidence, mais j'ai de sérieux doutes sur le fait que des studios comme Lucas, Namco ou Capcom n'était pas au courant ....





Par ailleurs j'avais noté certaines chose de l'interview d'InvenSense par IGN :


[quote]IDG-600 sonne moins bien que Wii MotionPlus, mais [b]on a appris le 15 juillet par le biais d'un communiqué de presse que la société californienne avait commencé à livrer en grosses quantités un périphérique pour la WiiMote[/b], un accessoire qui se connecte au port de la WiiMote, ouvrant de nouvelles perspectives en termes de détection de mouvements. [/quote]

[quote]IGN : Est-ce que c'est la première fois qu'InvenSense est partenaire d'un fabricant de consoles ?



InvenSense : Je ne peux pas répondre oui ou non à cette question. Comme vous pouvez l'imaginer il y a d'autres sociétés avec lesquelles InvenSense travaille. [b]Ce dont nous sommes fiers dans notre relation avec Nintendo, c'est je crois que ce sont les premiers à commercialiser notre produit, l'IDG-600. [/b]Mais cela ne veut pas dire que c'est une relation exclusive. L'IDG-600 n'est pas un produit personnalisé, mais un produit qui a été conçu avec les attentes de Nintendo à l'esprit.[/quote]


http://salon.p-nintendo.com/news/N-1064069747.html



Les deux phrases que j'ai mis en gras mettent en évidence que Nintendo travaillait probablement avec des prototypes > on peut supposer que seuls les tiers très proche de Nintendo avait entre les mains quelques un de ces prototypes ...



Bref je veux bien croire que GameInformer ne fait que nous informer, mais doit on prendre "The developers we spoke" pour la généralité !?
Halouc
[quote="FREDOM1989"][quote="InGueMark"][quote="FREDOM1989"][quote="Tyman"]C'est vrai que c'est pas cool pour les boites qui produisent sur Wii, ils doivent se sentir frustrés d'être plus ou moins mis à l'écart du marché pendant cette période de creux entre wiisport 2 et le développement des jeux éditeurs M+.

Nintendo a des réactions stratégique souvent bizarre qui l'a mené souvent à sa perte (n64 n'utilisant pas de lecteur cd)… bref, j'espère que ça n'avancera pas une période noire pour la wii :cloud:[/quote]

Nintendo est surement le seum fabricant à avoir une bonne srtatégie (ce sont les seul qui font et ont toujours fait des bénéfices. Pour cxe qui de l'absance de cd sur N64, c'est bien normal car Nintendo étant déjà un monstre de l'édition à l'époque (contrairement à sony) le choix de la cartouche était normal.[/quote]


Nintendo gagne plus d'argent que ces concurrents. OK, c'est très bien pour ces actionnaires. Mais nous sommes des joueurs. Est ce que la nouvelle politique de big N est bonne pour les joueurs ? Tel est la question.



Pour ce qui est du format cartouche/CD, je suis pas sûr que c'était un bon choix quand on voit les prix des cartouches + la limitation de taille.[/quote]

Pour Nintendo c'était sûrement le meilleur choix mais sony venant avec sa console super facile à pirater c'était fichu pour eux... Et pour moi la politique de Nintendo est rassurante car ils développent un business qui a des reins solides pas comme sony et MS qui forgent une industrie bancal solide comme un Château de carte.[/quote]


:lol: .... La Ps1 a fait un bond avec Final Fantasy 7 dans les charts et le piratage de la console n'a absolument pas été le clef du suces de la machine.



Le CD n'avait que les temps de chargement mais pour le reste il avait pour les tiers de gros avantage. Déjà Sony ne faisait pas comme Nintendo ou il imposait un quotas de jeu par tiers et par an, ne foutait aucune taxe (pour celui qui allait voir la concurence), et les éditeurs étaient assez libre en terme de pressage. Après le CD apportait une capacité de stokage énorme pour l'époque donc une liberté considérable en terme de création.



Enfin bref SONY a réussie a attirer les tiers car il n'avait pas la même politique autoritaire, anti concurrentiel de Nintendo.


[quote]Nintendo combina ceci avec une campagne marketing introduisant le Nintendo Seal of Quality. Ces publicités montraient un magicien en robe violette, qui expliquait aux consommateurs que le Nintendo Seal of Quality était l'unique assurance qu'un jeu était bon, et, implicitement, que tous les jeux sans ce sceau étaient mauvais. En réalité, ce symbole signifiait seulement que le développeur avait payé les frais de licence, et n'avait rien à voir avec la qualité du jeu.



Cette démarche était intéressée, car les développeurs et éditeurs tiers étaient dès lors contraints de payer des frais de licence à Nintendo, de se soumettre à l'assurance qualité de Nintendo, d'acheter les kits de développement de Nintendo, et de passer par Nintendo pour la fabrication des cartouches et des emballages. Nintendo a testé et fabriqué tous les jeux avec ses propres installations (soit pour une partie des frais de licence, soit pour un coût additionnel), s'est réservé le droit de fixer les prix des jeux, a censuré le matériel qu'il considérait comme inacceptable, a décidé du nombre de cartouches de chaque jeu qu'il fabriquerait, et a placé des limites sur le nombre de titres qu'il permettrait à un éditeur tiers de produire sur une période donnée (cinq par an). Cette dernière restriction a mené plusieurs éditeurs à établir ou utiliser des filiales pour contourner la politique de Nintendo (comme la filiale Ultra de Konami ou la filiale LJN d'Acclaim Entertainment).



Ces pratiques avaient pour dessein non seulement de garder les développeurs sous contrôle, mais également de manipuler le marché lui-même : en 1988, Nintendo a commencé à orchestrer des ruptures de stock intentionnelles de jeux afin d'augmenter la demande des consommateurs. Nintendo refusait de pourvoir pleinement aux besoins des détaillants, une politique que Peter Main, directeur de la communication chez Nintendo of America, appelait pudiquement « gestion des stocks ». Les détaillants, qui tiraient un grand pourcentage de leur bénéfice des ventes de hardware et de jeux Nintendo (comme Toys "R" Us qui avait publié que 17% de ses ventes et dont 22% de ses bénéfices venaient des marchandises de Nintendo), étaient relativement impuissants à mettre un terme à ces pratiques. En 1988, plus de 33 millions de cartouches de NES ont été vendues aux États-Unis, mais les évaluations suggèrent qu'avec la demande réelle, ces chiffres auraient pu monter vers les 45 millions. Puisque Nintendo contrôlait la production de toutes les cartouches, il pouvait imposer ses règles aux développeurs tiers. Ces contraintes rigoureuses sur la production ont pu affecter plusieurs petits développeurs, car même lorsque la demande pour leurs jeux était forte, Nintendo limitait la production et donc leurs bénéfices[26].[/quote]


etc... non je n'invente rien, c'est une histoire que tous le monde connait.
keoone
[quote="Halouc"]
[quote]Nintendo combina ceci avec une campagne marketing introduisant le Nintendo Seal of Quality. Ces publicités montraient un magicien en robe violette, qui expliquait aux consommateurs que le Nintendo Seal of Quality était l'unique assurance qu'un jeu était bon, et, implicitement, que tous les jeux sans ce sceau étaient mauvais. En réalité, ce symbole signifiait seulement que le développeur avait payé les frais de licence, et n'avait rien à voir avec la qualité du jeu.



Cette démarche était intéressée, car les développeurs et éditeurs tiers étaient dès lors contraints de payer des frais de licence à Nintendo, de se soumettre à l'assurance qualité de Nintendo, d'acheter les kits de développement de Nintendo, et de passer par Nintendo pour la fabrication des cartouches et des emballages. Nintendo a testé et fabriqué tous les jeux avec ses propres installations (soit pour une partie des frais de licence, soit pour un coût additionnel), s'est réservé le droit de fixer les prix des jeux, a censuré le matériel qu'il considérait comme inacceptable, a décidé du nombre de cartouches de chaque jeu qu'il fabriquerait, et a placé des limites sur le nombre de titres qu'il permettrait à un éditeur tiers de produire sur une période donnée (cinq par an). Cette dernière restriction a mené plusieurs éditeurs à établir ou utiliser des filiales pour contourner la politique de Nintendo (comme la filiale Ultra de Konami ou la filiale LJN d'Acclaim Entertainment).



Ces pratiques avaient pour dessein non seulement de garder les développeurs sous contrôle, mais également de manipuler le marché lui-même : en 1988, Nintendo a commencé à orchestrer des ruptures de stock intentionnelles de jeux afin d'augmenter la demande des consommateurs. Nintendo refusait de pourvoir pleinement aux besoins des détaillants, une politique que Peter Main, directeur de la communication chez Nintendo of America, appelait pudiquement « gestion des stocks ». Les détaillants, qui tiraient un grand pourcentage de leur bénéfice des ventes de hardware et de jeux Nintendo (comme Toys "R" Us qui avait publié que 17% de ses ventes et dont 22% de ses bénéfices venaient des marchandises de Nintendo), étaient relativement impuissants à mettre un terme à ces pratiques. En 1988, plus de 33 millions de cartouches de NES ont été vendues aux États-Unis, mais les évaluations suggèrent qu'avec la demande réelle, ces chiffres auraient pu monter vers les 45 millions. Puisque Nintendo contrôlait la production de toutes les cartouches, il pouvait imposer ses règles aux développeurs tiers. Ces contraintes rigoureuses sur la production ont pu affecter plusieurs petits développeurs, car même lorsque la demande pour leurs jeux était forte, Nintendo limitait la production et donc leurs bénéfices[26].[/quote]


etc... non je n'invente rien, c'est une histoire que tous le monde connait. [/quote]





[quote][size=150] [b]Résumé du livre Le hold-up planétaire[/b][/size]

25 mai 2004 dans Critiques





[b]Prologue[/b]

Le professeur en informatique Roberto Di Cosmo et la journaliste Dominique Nora ont co-écrit Le hold-up planétaire, la face cachée de Microsoft aux éditions Calmann-Lévy, 1998.



Ce livre propose une vision inhabituelle de la position de Microsoft sur le marché informatique mondial et surtout sur la place cette sociéte dans notre vie privée. Nous avons dégagé pour vous les arguments phares que Roberto Di Cosmo expose tout au long de l’ouvrage. Bonne lecture.



[b]Une volonté hégémonique sur les systèmes d’information[/b]

L’objectif évident de Microsoft est d’avoir le monopole des transferts d’informations. Les logiciels peuvent envoyer des informations à l’insu des utilisateurs et il est possible de définir ainsi leur profil de consomation. Ce type de données recherchées sur le marché se vend très cher. Ainsi, la liberté de chacun est menacée de façon plus qu’évidente par ce genre de procédés.



[b]Mythes et réalités[/b]

La société Microsoft est créée en 1975. Ce n’est pas elle qui a inventé le language Basic (1964 John Kemeny et Thomas Kurtz), comme le voudrait le mythe, mais elle a inventé un interpréteur. Ce n’est pas elle non plus qui a inventé Q-DOS (qui devient MS-DOS) : elle l’a acheté à une PME.



Dès sa fondation elle a su racheter des licences et faire évoluer des produits, trop souvent avec une base déjà médiocre. Microsoft a toujours la capacité de "coller au marché" : en 1995 après avoir observé le succés de Netscape, elle entame et réussi son le virage Internet.



[b]Mauvaise qualité sans cesse renouvelée[/b]

L’ajout dans ses logiciels de nouvelles fonctionnalités que presque personne n’utitilise et la modification incessante des formats de fichiers n’a qu’un seul but : faire racheter chaque année aux utilisateurs des produits Microsoft afin de pouvoir toujours échanger des données.



De plus, grâce aux systèmes de formats propriétaires, Microsoft peut attaquer ses concurrents qui essayent de faire des produits similaires et compatibles Windows.



La nécessité d’employer l’application defrag est le symptôme de la mauvaise qualité technique des logiciels. La fragmentation des données n’existent pas sous les systèmes de type Unix. Microsoft a la capacité de faire passer ses défauts pour des fonctionnalités avancées et de faire payer (chèrement) la correction des bugs aux utilisateurs... Microsoft est certainement la seule sociéte assez implantée et assez démagogique pour faire payer ses versions beta aux testeurs et qui n’offre aucune garantie pour les produits "finis".



Plus grave, la mauvaise qualité et la volontaire méprise des précautions de sécurité à laisser la porte ouverte aux virus avec des infections d’échelle mondiale. Le language macro de Word et Excel a permis aux virus de se développer sur PC mais aussi sur Mac. Avec l’incorporation du logiciel OutlookExpress les virus peuvent contaminer la machine sur un simple clic pour ouvrir l’e-mail infecté.



[b]Quand majorité signifie légitimité...[/b]

Quand un système d’exploitation occupe plus de 80% des PC, la comptatibilté avec lui est vitale pour les éditeurs de logiciels. D’ailleurs on observe un glissement du vocabulaire : aujourd’hui le terme de PC désigne une machine équipé de Windows. Depuis quelques mois la mention sur les CD-ROM "pour PC" se transforme en "pour Windows" et parfois même "pour Linux" !!!.



De plus le poid écrasant de Microsoft lui confère une légitimité de fait : peut-on reprocher à un responsable informatique d’avoir choisi Windows NT ? La nécéssaire interopérabilité assoie encore la puissance de l’editeur qui a le monopole.



[b]Un arsenal de méthodes commerciales douteuses[/b]

« Microsoft a un discours public en totale contradiction avec ses pratiques. D’un côté il dit : nos logiciels sont les meilleurs puisque le public les choisit. De l’autre, il déploie un arsenal très sophistiqué pour empécher à tout prix ce public de choisir autre chose que ses produits. » p 82. Cette phase résume à elle seule la position de Microsoft.



Pour noyauter le marché, la société s’assure le monopole en fournissant le seul système d’exploitation distribué sur les PC vendus montés par Gateway, Compaq... Il est aujourd’hui matériellement impossible d’acheter un PC à un grand constructeur sans avoir Windows d’installé (que l’on a bien sûr payé) et de se faire rembourser la licence de Windows si en a déjà une ou si on ne souhaite pas l’utiliser. Cette pratique commerciale est ouvertement illégale, cela s’appelle de la vente liée.



Microsoft fait aussi pression sur les entreprises de matériel informatique pour qu’elles ne donnent pas leur spécifications techniques à la communauté Linux. Les liens entre la BSA (Business Software Alliance) et Microsoft ont poussé certains éditeurs de Logiciels à se tourner vers la Software Publisher Association, jugée moins complaisante envers la firme de Redmond.



Microsoft met aussi en oeuvre d’autres moyens pour imposer ses logiciels. Le plus simple étant d’imposer certains logiciels en les intégrant au système d’exploitation comme avec Internet Explorer et Outlook. Sans compter le lobbying auprès des grandes entreprises comme Warner et Disney pour que le site web soit "plus" compatible avec IE qu’avec Netscape. Vivent les standards ouverts...



Il existe aussi des "bidouilles" techniques pour empêcher certains logiciels des concurrents de tourner sous Windows (cas d’école : Netscape plante une fois qu’Internet Explorer est installé). Chaque logiciel peut modifier des bibliothéques système pour bloquer ou ralentir le fonctionnement d’une application. Un système sécurisé ne devrait pas autoriser ce genre d’opération plus que douteuse.



D’autres pratiques commerciales de rachat de PME, licences, débauchages d’équipe de recherche, permettent à Microsoft d’orienter les innovations technologiques pour suivre sa voie. [u]Ce comportement est bien entendu préjudiciable à l’innovation même. Les projets concurrents de Microsoft, même géniaux, sont mis au placard. Le grand perdant de l’affaire est l’utilisateur qui doit se contenter de produits médiocres, pour ne pas dire mauvais.[/u]



[b]Les standards "Windows"[/b]

Le paragraphe de la page 111 résume la situation : « Mieux vaut un vrai standard -qui doit, pour mériter ce nom, être ouvert, documenté et capable de garantir l’interopérabilité de différentes composantes - qu’un faux standard, fermé et modifié toutes les deux minutes au grè de l’intérêt de son propriétaire exclusif. L’une des meilleures blagues qui court dans la Silicon Valley illustre bien mon propos : combien d’ingénieurs de Microsoft faut-il pour changer une ampoule ? Zéro : il suffit que Bill Gates décrète que l’obscurité est devenue un standard ! »



[b]Offensive sur la matière grise[/b]

Les énormes bénéfices de Microsoft lui ont permis, jusqu’en 1991, de ne pas investir dans la recheche et le développement. Elle s’est contentée du rachat de PME et de licences innovantes.

Aujourd’hui, la politique est plus agressive et la société débauche des scientifiques en leur proposant des conditions de travail et des salaires de rêve pour contrebalancer sa mauvaise réputation dans le milieu universitaire.



Les raisons de l’engagement de Microsoft dans les universités et l’Education sont très subsersive. En imposant et en formant les éléves à leurs logiciels cette société espère enlever toute possibilité de comparaison avec d’autres systèmes et surtout tout désir de changement. Quand la mauvaise qualité devient la norme et que nous n’aurons plus les moyens de nous en rendre compte, Microsoft aura gagné la partie sur un terrain bien différent de celui de l’économie...



Toujours pour satisfaire le même objectif, la société tente d’offrir à des écoles des licences de Windows et de MS Office. D’ailleurs ces "cadeaux" de Microsoft ne lui coûtent rien. Offrir des logiciels ne lui coûte que les quelques francs du CD. Par contre donner à des écoles son système d’exploitation lui garantit d’augmenter sa base d’utilisateurs et lui permet, une fois qu’ils sont bien accoutumés, de vendre ses produits, ses nouvelles versions améliorées à ce nouveau marché. Heureusement que le gouvernement français est vigilant.



L’alternative logiciels libres parce que je le vaux bien ! Alors quels choix restent-ils aux utilisateurs pour ne pas perdre leur liberté. Chacun peut utiliser Windows qui est objectivement un mauvais logiciels d’exploitation. Chacun a le droit de le choisir en connaissance de cause ou de se tourner vers une autre alternative.

Aujourd’hui face à la puissance commercial de Microsoft, peut-on encore choisir librement notre système d’exploitation ? Il existe quatre axes de choix :



le matériel : PC, Mac, station Sun...

le système d’exploitation. Sur PC les choix sont nombreux : Windows, Linux, FreeBSD... Même si l’on achète une machine avec un Windows préinstallé, il est possible de choisir un autre système.

les applications

les formats de fichiers, propriétaire ou ouvert



C’est à chacun de choisir s’il veut continuer d’asseoir la puissance d’une société hégémonique guidée par le seule logique des profits et qui voudrait qu’on la trouve humaniste. L’alternative des logiciels libres est valable. Elle mérite d’être étudiée avec un peu d’attention.[/quote]


http://www.toolinux.com/dossiers/critiques/resume_du_livre_le_hold-up_planetaire_ar4811.html



etc... non je n'invente rien, c'est une histoire que tous le monde connait.



La ou c'est inquiétant c'est qu'il opère la m^me stratégie avec le JV > achète tout sur son passage, essaye d'imposer par tout les moyens son DirectX ...
Halouc
1-Je ne vois pas la raison du pourquoi tu viens parler de Microsoft quand j'explique à un gars que Nintendo avait une politique de merde qui a provoqué un changement de navire dès que l'occasion est arrivé pour les tiers.

Enfin bref un rappel du passé qui démontre que le succes de la Psx n'est pas lié au piratage mais a plusieurs gros élément.



2-Regarde ma signature "[color=red][b]GNU/LINUX UBUNTU USER[/b][/color]". Je suis certainement largement plus au courant de toi des problèmes que rencontre la communauté Linux ou je suis obligé de raler contre un manque soutient et un abus de monopole de Microsoft.



Enfin bref tu ne m'apprends absolument rien de Microsoft. Je n'aime pas le bout de plastique qui s'appelle la Xbox360 mais les jeux qui tournent dessus.



Sinon la prochaine fois que tu veux prendre un dossier sur Microsoft, évite d'aller sur fanboy linux.com car c'est pas sur ce genre de site que tu trouveras un dossier objectif. Du moins s'ils n'ont pas tord dans le fond, il aime bien accentuer les choses pour nous écrire un articles proche de la théorie du complot.
keoone
ce n'est pas pour t'informer toi (d'autres lisent le forum) .

Seulement de montrer que MS et Nintendo ont largement utilisé des méthodes simillaires pour garder le monopole d'un marché qu'ils ont créé > Sauf que Nintendo n'a pas réussit !
Halouc
[quote="keoone"]ce n'est pas pour t'informer toi (d'autres lisent le forum) .

Seulement de montrer que MS et Nintendo ont largement utilisé des méthodes simillaires pour garder le monopole d'un marché qu'ils ont créé > Sauf que Nintendo n'a pas réussit ![/quote]


Sauf que tous le monde sait que Microsoft est une boite pourrie jusqu'a l'os, qui peu sortir 50 milliard de dollars pour racheter une boite sans que cela nuise a sa santé financière,... Inversement beaucoup de savent pas que Nintendo a dans le passé (et encore toujours) une politique anti concurrentiel qui n'est pas mieux que celle de Microsoft.



Enfin bref moi je rigole quand je vois beaucoup de monde descendre SONY et en flèche alors que c'est actuellement le seul constructeur qui a été le plus clean en terme de politique. Non Sony n'a pas tué Sega, Sega c'est tué tous seul (mais bon les SEGA SEX ont du mal a l'admettre et cherche un coupable). M'enfin bon si Microsoft n'avait pas été la, est ce que Sony aurait toujours été clean? La réponse, on ne l'aura jamais.
keoone
[quote="Halouc"] Inversement beaucoup de savent pas que Nintendo a dans le passé (et encore toujours) une politique anti concurenciel qui n'est pas mieux que celle de Microsoft.
[/quote]


qu'entend par "et encore toujours" ?
Halouc
[quote="keoone"][quote="Halouc"] Inversement beaucoup de savent pas que Nintendo a dans le passé (et encore toujours) une politique anti concurenciel qui n'est pas mieux que celle de Microsoft.
[/quote]


qu'entend par "et encore toujours" ?[/quote]


Nintendo aurait actuellement tendance a vouloir écarté tous ce qui considère comme une menace pour leurs jeux.



Les tiers actuellement se sont soulever du faite qu'ils n'ont pas été mis au courant du Wii motion plus (le secret ne servait a rien) et que Nintendo l'utilise depuis plusieurs mois ce qui fait que la concurrence pendant un bon moment sera en retard.
keoone
Si on part par là, on peut aussi dire que chaques Constructeurs a la primeur de la console qu'il crée et que par Exemple EPIC game est largement avantager sur X360 puisqu'ils ont participé à sa création, et qu'il en sera de m^me sur la prochaine Xbox avec l'UE4 !



Je trouve que sur le coup cette histoire de WM+ est juste un moyen de se plaindre ... non content d'avoir miser sur les mauvais chevaux, les tiers voient leur tentative de se remettre a niveau freiner par ce nouveau périphérique qui avantage Nintendo ... je veux dire, s'ils avaient suivie Nintendo dès le départ, les tiers ne serait pas là à courrir derrière Nintendo car ils métriseraient mieux la Wiimote ! inclure le WM+ ne serait qu'une formalité ... alors que là, ils doivent choisir entre reprendre le devellopement avec ce nouveau périphérique au risque de perdre encore quelques mois ou sortir leurs jeux comme prévu sans le WM+ ...
Halouc
La Wiimotion n'est qu'un exemple :-).



Sinon l'UE3.0 n'a pas été fait a la base pour la Xbox360, ou peut même le considérer comme une machine a gaz tellement il est mal optimisé (la non gestion de l'EDRAM). Sur Ps3, le moteur est une daube en puissance.



J'espère que IDtech5 va se démocratisé car il est lui totalement optimisé pour les consoles et il réécrie les données pour chaque consoles facilement ce qui évite les studios de faire plusieurs équipe pour chaque consoles.





http://www.presence-pc.com/tests/moteur-3D-Carmack-22702/4/