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Electronic Arts vient de publier ses comptes 2010 : avec un chiffre d'affaires de 3,59 milliards de dollars (en baisse de 6 millions de dollars par rapport à 2009), le moins que l'on puisse dire est qu'EA est un éditeur qui brasse beaucoup d'argent. Peut-être un peu trop parce que même en gagnant autant d'argent, la société arrive à être déficitaire : les pertes ont baissé de moitié, mais elles restent effrayantes à 276 millions de dollars…
En 2010, EA avait pu craindre le pire avec des pertes de 677 millions de dollars. On peut donc dire que ça va mieux, même si on n'a pas encore la tête hors de l'eau. Le revenu devrait augmenter sensiblement d'ici la fin mars 2012, avec un CA estimé de 3,7 à 3,9 milliards de dollars (quand on fait un tel chiffre d'affaires, on peut se permettre d'être dans une fourchette de 200 millions de dollars, non ?).
Les titres les plus populaires de l'éditeur sont bien entendu des franchises : FIFA 11 s'est vendu à 12 millions d'exemplaires dans le monde, Battlefield Bad Company 2 à 7 millions. Plusieurs jeux se sont vendus à plus de 5 millions d'exemplaires : le merveilleux Need for Speed Hot Pursuit, Medal of Honor et Madden NFL 11.
Parmi les jeux à attendre de la part d'EA en 2011-2012, l'éditeur évoque quatre nouveaux jeux de sport encore non annoncés, trois sur consoles et un sur PC, et confirme la sortie cet automne de NFS : The Run. Reste que pour EA, la vente sur support numérique devient de plus en plus importante, et joue un rôle de plus en plus grand d'ailleurs dans la stratégie globale de l'entreprise.
John Riccitiello, qui est toujours aux commandes en dépit de résultats catastrophiques depuis plusieurs années, a expliqué :
Les jeux en ligne proposés par EA ont vu le nombre d'inscrits doubler d'une année sur l'autre. Reste maintenant à EA de monétiser ces inscriptions… mais on peut leur faire confiance puisque c'est le second objectif de la société : faire d'EA une plate-forme pour le software de même nature qu'EA est un fournisseur de contenu pour fabricants de consoles.
Enfin, EA va poursuivre ses acquisitions en cherchant le meilleur personnel possible pour atteindre ses objectifs à long terme : ses équipes de développement travaillent désormais en étroite collaboration avec les ventes et le marketing.
Sources : Gamasutra et Gamasutra
En 2010, EA avait pu craindre le pire avec des pertes de 677 millions de dollars. On peut donc dire que ça va mieux, même si on n'a pas encore la tête hors de l'eau. Le revenu devrait augmenter sensiblement d'ici la fin mars 2012, avec un CA estimé de 3,7 à 3,9 milliards de dollars (quand on fait un tel chiffre d'affaires, on peut se permettre d'être dans une fourchette de 200 millions de dollars, non ?).
Les titres les plus populaires de l'éditeur sont bien entendu des franchises : FIFA 11 s'est vendu à 12 millions d'exemplaires dans le monde, Battlefield Bad Company 2 à 7 millions. Plusieurs jeux se sont vendus à plus de 5 millions d'exemplaires : le merveilleux Need for Speed Hot Pursuit, Medal of Honor et Madden NFL 11.
Parmi les jeux à attendre de la part d'EA en 2011-2012, l'éditeur évoque quatre nouveaux jeux de sport encore non annoncés, trois sur consoles et un sur PC, et confirme la sortie cet automne de NFS : The Run. Reste que pour EA, la vente sur support numérique devient de plus en plus importante, et joue un rôle de plus en plus grand d'ailleurs dans la stratégie globale de l'entreprise.
John Riccitiello, qui est toujours aux commandes en dépit de résultats catastrophiques depuis plusieurs années, a expliqué :
"Dans les prochaines années, nous allons transformer EA d'une société vendant des biens en boîte en société entièrement intégrée numériquement."Pour devenir une société plus agressive, EA a établi trois objectifs : le premier consiste à pousser les franchises de la maison comme FIFA, Madden, Battlefield, NFS, Les Sims, Tetris, Dragon Age et bien d'autres, ou les marques comme EA Sports ou Pogo.
Les jeux en ligne proposés par EA ont vu le nombre d'inscrits doubler d'une année sur l'autre. Reste maintenant à EA de monétiser ces inscriptions… mais on peut leur faire confiance puisque c'est le second objectif de la société : faire d'EA une plate-forme pour le software de même nature qu'EA est un fournisseur de contenu pour fabricants de consoles.
Enfin, EA va poursuivre ses acquisitions en cherchant le meilleur personnel possible pour atteindre ses objectifs à long terme : ses équipes de développement travaillent désormais en étroite collaboration avec les ventes et le marketing.
Sources : Gamasutra et Gamasutra
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