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Eurocom : un triste game over
Eurocom est un nom connu de tous, et pour cause : le studio avait développé plus de 70 jeux depuis 1988, année de sa création. Il est en faillite depuis vendredi matin.
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Le dernier projet d'Eurocom ne restera pas dans les annales pour les bonnes raisons : 007 Legends, édité par Activision pour surfer sur la vague James Bond à l'occasion de la sortie de Skyfall au cinéma, n'a en effet pas été des plus acclamés par la critique, sonnant le glas d'un studio de près de 25 ans d'existence.
En novembre, après la sortie de 007 Legends, le studio avait déjà licencié 150 personnes. Il restait alors 42 salariés, qui ont malheureusement été informés le matin du 7 décembre de leur licenciement.
Plusieurs facteurs ont précipité la fin d'Eurocom, qui avait notamment travaillé sur Wii avec la sortie de Goldeneye en 2010 et collaboré au développement de Dead Space Extraction avec Visceral Games. La direction blâme la conjoncture, avec une baisse du nombre de projets dans le monde, la concurrence de certains pays qui offrent des avantages fiscaux colossaux (le Canada, suis notre regard !).
La direction ne parle pas des projets opportunistes qui au fil des ans sont devenus la marque de fabrique d'un studio dont le nom n'est plus écho de jeu de qualité. C'est donc une page qui semble se tourner pour ce studio, fondé en 1988, et dont le premier jeu avait été un titre sur NES, Magician.
Source : MCV UK
En novembre, après la sortie de 007 Legends, le studio avait déjà licencié 150 personnes. Il restait alors 42 salariés, qui ont malheureusement été informés le matin du 7 décembre de leur licenciement.
Plusieurs facteurs ont précipité la fin d'Eurocom, qui avait notamment travaillé sur Wii avec la sortie de Goldeneye en 2010 et collaboré au développement de Dead Space Extraction avec Visceral Games. La direction blâme la conjoncture, avec une baisse du nombre de projets dans le monde, la concurrence de certains pays qui offrent des avantages fiscaux colossaux (le Canada, suis notre regard !).
La direction ne parle pas des projets opportunistes qui au fil des ans sont devenus la marque de fabrique d'un studio dont le nom n'est plus écho de jeu de qualité. C'est donc une page qui semble se tourner pour ce studio, fondé en 1988, et dont le premier jeu avait été un titre sur NES, Magician.
Source : MCV UK
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Mais bon c'est triste pour un studio aussi ancien.
J'ai justement joué tout à l'heure à Goldeneye sur Wii.
C'est malheureux ...