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White Cat Project : le procès où Nintendo demande 4,95 milliards de yens
Nintendo a réévalué le montant des dommages et intérêts dans le cadre du procès qui l'oppose depuis 2018 à Colopl, développeur et éditeur du RPG White Cat Project.
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Nous sommes en 2016 : l'éditeur Colopl pense avoir une idée originale : proposer un mode de jeu qui permet d'utiliser un écran tactile comme manette. Le problème, c'est que ce mode de jeu fait l'objet d'un brevet déposé par Nintendo, qui entend bien protéger sa propriété intellectuelle. A l'époque, Nintendo réclame 4,4 milliards de yens : on apprend cette semaine que ce montant est passé à 4,95 milliards de yens, soit 39 millions d'euros environ.
Pour Colopl, il n'y a pas de problème : la société continue de clamer son innocence, indiquant que son jeu ne viole aucun brevet de Nintendo, une position qui restera la sienne jusqu'au procès qui n'a pas encore eu lieu.
En février 2020, Colopl a néanmoins modifié son système de contrôle dans le jeu White Cat Project, sans préciser si cela était dû à la menace de cette condamnation à payer de lourds dommages et intérêts à Nintendo.
Si Nintendo a décidé de revoir le montant des dommages et intérêts réclamés, c'est parce que 2016, la situation a nécessité des frais notamment juridiques pour défendre son brevet, que la firme entend bien faire payer au coupable présumé de cette violation de brevet. Ce brevet avait été utilisé en 2004/2005 sur Nintendo DS pour le jeu Super Mario 64 DS : un petit accessoire plastique permettait de jouer via l'écran tactile de la DS.
Source : Siliconera
Pour Colopl, il n'y a pas de problème : la société continue de clamer son innocence, indiquant que son jeu ne viole aucun brevet de Nintendo, une position qui restera la sienne jusqu'au procès qui n'a pas encore eu lieu.
En février 2020, Colopl a néanmoins modifié son système de contrôle dans le jeu White Cat Project, sans préciser si cela était dû à la menace de cette condamnation à payer de lourds dommages et intérêts à Nintendo.
Si Nintendo a décidé de revoir le montant des dommages et intérêts réclamés, c'est parce que 2016, la situation a nécessité des frais notamment juridiques pour défendre son brevet, que la firme entend bien faire payer au coupable présumé de cette violation de brevet. Ce brevet avait été utilisé en 2004/2005 sur Nintendo DS pour le jeu Super Mario 64 DS : un petit accessoire plastique permettait de jouer via l'écran tactile de la DS.
Source : Siliconera
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