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News rédigée par Justin
À l'heure actuelle, le Québec compte deux grandes pointures mondiales en matière de développement vidéoludique, soit : Electronic Arts et Ubisoft. Mais peut-il espérer voir, un jour, s’établir le pionnier du jeu vidéo, c’est-à-dire Nintendo, sur le sol montréalais?
Oui... peut-être.
D’après une entrevue publié dans le quotidien Le Devoir, Reggie Fils-Aimé, président de Nintendo of América, se dit intéressé à implanter nintendo dans la métropole québécoise en raison de l'expertise québécoise mais aussi pour le français...
«Nous essayons, pour le marché nord-américain, d’avoir des jeux disponibles en trois langues, soit l’anglais, l’espagnol et le français. Et quand on pense aux façons de créer ces produits et de les commercialiser, la capacité montréalaise est quelque chose qu’on évalue présentement.»
En effet, Nintendo cherche à adapter ses produits selon les différentes zones géographiques de Amérique du Nord. Ainsi, le Québec entre en ligne de compte avec sa culture et sa langue dissemblable de ses voisins canadien et état-unien.
«Nous n’avons pas d’échéancier pour cette décision [implanter Nintendo au Québec]. Nous avons un échéancier, mais il porte sur les efforts visant à localiser [cibler selon la langue] tous nos produits. Et ça, c’est environ 13 mois» a
-t-il dit.
Le Québec compte 2 000 artisans dans le secteur du jeu vidéo, et prend de plus en plus d’importance sur le marché.
«Plusieurs des jeux qui peuvent être joués sur nos consoles viennent de Montréal ; que l’on pense à ceux d’Ubisoft, par exemple, ou même Electronic Arts. Alors l’impact est significatif»
Alors pouvont-nous un jour espérer voir Nintendo à Montréal ? Peut-être. Une chose est certaine, des décisions sur la langue seront prises d’ici 13 mois. En espérant que se soit plus stimulant qu’une banale traduction de livrets d’instructions. Comme ça a été fait il y a quelques années.
Pourrait-on espérer des jeux en français ?
À suivre... Ou oublier.
À l'heure actuelle, le Québec compte deux grandes pointures mondiales en matière de développement vidéoludique, soit : Electronic Arts et Ubisoft. Mais peut-il espérer voir, un jour, s’établir le pionnier du jeu vidéo, c’est-à-dire Nintendo, sur le sol montréalais?
Oui... peut-être.
D’après une entrevue publié dans le quotidien Le Devoir, Reggie Fils-Aimé, président de Nintendo of América, se dit intéressé à implanter nintendo dans la métropole québécoise en raison de l'expertise québécoise mais aussi pour le français...
«Nous essayons, pour le marché nord-américain, d’avoir des jeux disponibles en trois langues, soit l’anglais, l’espagnol et le français. Et quand on pense aux façons de créer ces produits et de les commercialiser, la capacité montréalaise est quelque chose qu’on évalue présentement.»
En effet, Nintendo cherche à adapter ses produits selon les différentes zones géographiques de Amérique du Nord. Ainsi, le Québec entre en ligne de compte avec sa culture et sa langue dissemblable de ses voisins canadien et état-unien.
«Nous n’avons pas d’échéancier pour cette décision [implanter Nintendo au Québec]. Nous avons un échéancier, mais il porte sur les efforts visant à localiser [cibler selon la langue] tous nos produits. Et ça, c’est environ 13 mois» a
-t-il dit.
Le Québec compte 2 000 artisans dans le secteur du jeu vidéo, et prend de plus en plus d’importance sur le marché.
«Plusieurs des jeux qui peuvent être joués sur nos consoles viennent de Montréal ; que l’on pense à ceux d’Ubisoft, par exemple, ou même Electronic Arts. Alors l’impact est significatif»
Alors pouvont-nous un jour espérer voir Nintendo à Montréal ? Peut-être. Une chose est certaine, des décisions sur la langue seront prises d’ici 13 mois. En espérant que se soit plus stimulant qu’une banale traduction de livrets d’instructions. Comme ça a été fait il y a quelques années.
Pourrait-on espérer des jeux en français ?
À suivre... Ou oublier.
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Reggie semble plutôt parler du temps favorable de localisation d'un jeu que du temps des décisions d'implatation d'une filiale au Canada.
Allons allons voyons !
(Surtout si la VF est faite au Québec :p)
PS : au fait je suis nouveau ^^ Je me suis enfin décidé à participer après 6 mois de lecture.
Il y a bien quelques exceptions mais c'est rare.
En plus avec le PQ qui traine derriere et ses folies de referundum, pas sur que le jeux-video veuille investir a Montreal.
Le secteurs des jeux vidéos au Québec est de plus en plus important et les compagnies s'y intéressent fortement. De plus, Ubisoft Montréal est devenu un des meilleurs en enchaînant les succès.
Je veux pas que le topic tourne au combat mais après avoir entendu UdeM...
-Je parle surement mieux que toi.
-La plupart des Québécois sont bilingues ou simplement anglais
Je dirai rien contre les français parce qu'ils sont pas tous comme ça.
La bienvenue par ici. :)
Pour lui, le PQ est la cause absolue de tout nos problèmes. Que tous les étrangers on peur du Québec à cause d'un éventuel référendum.
Alors mon cher BersekerDuNord, fou toi s'en. il ne fait que radoter comme ma grand tente qui à peur des "méchants séparatistes".
Sinon, je suis content de voir que vous vous êtes inscrient suite à cette news.
C'est cool
HS : au fait j'en peu plus d'attendre le 8 !
Au-dela des regionalismes qui me plaisent bien (c'est marrant les regionalismes non?) il y a aussi d'enormes fautes de francais qui sont rentrees dans la langue courante sans parler de la feminisation des mots qui a encore du mal malgre des volontes feministes a passer.
Dans le francais academique (donc celui de la France je le rappelle) on ne dit pas UNE auteure. Ca reste un auteur meme si Alonzo (une feministe francaise) voudrait bien qu'on dise une macone, une plombiere et j'en passe.
Bref, le tout n'est pas d'etre pour ou contre le PQ ou le francais quebecois mais bien de decrire une realite; a savoir le faible niveau de francais de la province francophone (quoique l'on trouve des francophones partout au Canada, par exemple le Nouveau Brunswick).
Je suis dans le systeme universitaire et je vois bien tous les jours que le niveau de francais c'est pas ca.
L'autre jour je parle d'emphase. Une quebecoise me sort "non c'est pas francais". La bien sur je lui dis que je sais de quoi je parle et elle me repond "non emphase ca vient de l'anglais emphasis et en francais on dit mise en relief"...
Je la recontredis et elle me dit finalement de regarder dans un dictionnaire. C'est quand meme fort!
Une autre fois c'est un gars qui me dit que je parle mal francais car un sucon serait soi-disant une sucette...
Il me dit lui aussi de verifier dans un dictionnaire. Pas de souci, je prends le larousse, et effectivement une sucette c'est un bonbon au sucre et pas une marque sur le cou comme le croient les quebecois.
Vous voyez dans un jeu-video une conversation du genre:
"-Salut je veux manger un sucon avec un peu de slush!"
-Ok range ca donc dans la valise je vais demarrer mon char
-Attend minute je vais eteindre mon poele
-Tu l'as tu pas eteinds?
-C'est bon, tu rentres-tu chez vous apres?
-Oui la route a ete degagee par les charues ca va etre bon
-Fait attention aux glacons en sortant!"
Bon comment dire... Un francophone normal n'y comprendra RIEN!
Bref ce que je reproche aux francophones quebecois c'est de ne pas connaitre le bon francais (surement par un manque de lecture).
Si on prend par exemple le Japon qui a des regionalismes tres marques (Tohoku-ben relativement different de la langue officielle ou encore mieux le Okinawa-ben), les gens de ses regions connaissent tout de meme la langue academique, ce qui n'est pas le cas de la plupart des quebecois desole de vous le faire remarquer, je sais que les quebecois sont tres sensibles sur le sujet.
Quant au niveau d'anglais, dire que les quebecois sont bilingues mais la je rigole
Ou alors nous n'avons pas la meme notion du terme bilingue, parce que franchement a part a Montreal ou dans les villes frontieres avec l'Ontario on ne frise pas vraiment avec la "MAJORITE" de personnes bilingues comme a dit l'autre.
Et le Berseker du Nord j'aimerais bien voir ton niveau de francais pour rire un peu car je vais te dire, meme mes profs d'universite me corrigent des fautes de francais qui n'en sont pas. Ils se melent tout simplement entre le francais metropolitain et le francais quebecois.
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