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Un vendeur de cartes R4 arrêté au Japon
Un homme a été arrêté au Japon hier pour avoir vendu des cartes de type R4 sur internet, ce qui constitue la première arrestation depuis l'amendement de la loi "Unfair Competiton Prevention Act", en décembre dernier.
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En décembre dernier, le gouvernement japonais a fait passer un amendement, modifiant la loi "Unfair Competition Prevention Act" (ou Loi pour la Prévention de la Concurrence Déloyale), visant à punir pénalement la vente de produits tels les cartes R4, déjà interdites au Pays du Soleil Levant.
Aujourd'hui, cette loi nouvelle version a fait sa première "victime", un homme de 39 ans vivant à Saitama, et qui travaille à son compte. Ce dernier est accusé d'avoir vendu sur internet du matériel permettant de pirater des jeux, pour un total de 7 200 yens (environ 70 €), et ce entre le 14 février et le 9 mars. Il a été arrêté par le département de police d'Aichi.
Ce type de matériel (dont les cartes R4 sont les plus connues) permet de passer outre les mesures techniques de protection des consoles portables, et est appelé "Majikon" au Japon. Illégal depuis plusieurs années, ce n'est qu'après l'amendement passé par le gouvernement japonais en décembre dernier que leur vente est considérée comme un crime dans le pays.
Cet amendement, similaire à notre DADVSI française, vise à interdire la vente de produits dont le but est de contourner les mesures techniques de protection, et qui se trouvent très facilement dans de nombreuses boutiques au Japon, notamment à Akihabara. Mais en vue des événements récents, cela devrait être amené à changer.
C'est en tout cas ce que souhaite Nintendo, qui s'est félicité de cette arrestation, et a applaudit le travail de la police d'Aichi :
Mais ce n'est pas tout, puisqu'un autre homme a également été arrêté, à Fukuoka cette fois, pour avoir moddé des Wii afin de permettre la lecture de jeux piratés, et stockés sur un disque dur externe. Il est d'accusé d'avoir enfreint la loi japonaise sur le piratage, ainsi que l'Unfair Competition Prevention Act.
Une chose est sûre, Nintendo ne rigole vraiment pas quand il s'agit de protéger ses propriétés intellectuelles et d'empêcher le piratage de ses consoles portables, de salon et de ses jeux. Ainsi, ces deux nouvelles arrestations ne sont sans aucun doute ni les premières, ni les dernières.
Source : Wired
Aujourd'hui, cette loi nouvelle version a fait sa première "victime", un homme de 39 ans vivant à Saitama, et qui travaille à son compte. Ce dernier est accusé d'avoir vendu sur internet du matériel permettant de pirater des jeux, pour un total de 7 200 yens (environ 70 €), et ce entre le 14 février et le 9 mars. Il a été arrêté par le département de police d'Aichi.
Ce type de matériel (dont les cartes R4 sont les plus connues) permet de passer outre les mesures techniques de protection des consoles portables, et est appelé "Majikon" au Japon. Illégal depuis plusieurs années, ce n'est qu'après l'amendement passé par le gouvernement japonais en décembre dernier que leur vente est considérée comme un crime dans le pays.
Cet amendement, similaire à notre DADVSI française, vise à interdire la vente de produits dont le but est de contourner les mesures techniques de protection, et qui se trouvent très facilement dans de nombreuses boutiques au Japon, notamment à Akihabara. Mais en vue des événements récents, cela devrait être amené à changer.
C'est en tout cas ce que souhaite Nintendo, qui s'est félicité de cette arrestation, et a applaudit le travail de la police d'Aichi :
Nous espérons qu'au vu des événement récents, ce type de matériel va disparaître du marché.La compagnie a également rappelé que de nombreux pays du monde, dont la Corée, Taïwan, les Pays-Bas, l'Italie, la Grande Bretagne et l'Allemagne ont également interdit la vente de ce type de matériel.
Mais ce n'est pas tout, puisqu'un autre homme a également été arrêté, à Fukuoka cette fois, pour avoir moddé des Wii afin de permettre la lecture de jeux piratés, et stockés sur un disque dur externe. Il est d'accusé d'avoir enfreint la loi japonaise sur le piratage, ainsi que l'Unfair Competition Prevention Act.
Une chose est sûre, Nintendo ne rigole vraiment pas quand il s'agit de protéger ses propriétés intellectuelles et d'empêcher le piratage de ses consoles portables, de salon et de ses jeux. Ainsi, ces deux nouvelles arrestations ne sont sans aucun doute ni les premières, ni les dernières.
Source : Wired
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