Dossier
DLC de Prince of Persia, The Lost Crown : Mask of Darkness. Plus de fun !
Notre célèbre Prince de Perse de nouveau à l’honneur en cette année 2024.
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Huit mois après la sortie de Prince of Persia, The Lost Crown, qui a connu un immense succès auprès des joueurs, Ubisoft a décidé de faire durer les plaisirs en ajoutant divers styles de tenues et de physiques à notre héros perse mais également un long DLC, Mask of Darkness, proposant une nouvelle histoire et une nouvelle carte. Pour seulement 4,99€, cette extension vaut-elle le coup ?
Un sombre scénario pour un prolongement du jeu non négligeable
Pour rappel, nous contrôlons Sargon l’un des sept Immortels, guerriers légendaires protégeant le Royaume de Perse, parti sauver le prince Ghassan. Ce dernier a été enlevé par Anahita la mentor de notre héros. Sargon se retrouve bien vite à devoir en plus résoudre les nombreuses énigmes du Mont Qaf, une étrange cité semblant maudite.A lire aussi : notre test de Prince of Persia: The Lost Crown sur Switch
Dans le DLC Mask of Darkness, Sargon se retrouve piégé dans le Palais mental de Radjen, l’un des sept Immortels et son ancien camarade. Pour éviter tout spoil sur le pourquoi du comment, sachez simplement que pour avoir accès à cette extension, vous devez avoir déjà bien avancé dans l’histoire principale, jusqu’au moment où est débloqué le pouvoir temporel de l’ombre du Simurgh.
A partir de là, la nouvelle quête sera proposée au niveau du refuge.
Ce début de mission amène Sargon dans une pièce cachée de la ville basse de la citadelle. Une fois à l’intérieur, notre héros découvre un étrange masque qui le piège et l’emprisonne dans l’esprit sombre et tordu de Radjen.
Il se retrouve alors dépouillé de toutes ses amulettes, la plupart de ses flèches et objets de soins ainsi que toutes ses compétences temporelles exceptés la ruée aérienne du Simurgh et l’Ombre du Simurgh. Autant dire que cette nouvelle aventure n’est pas une partie de plaisir.
La nouvelle carte est très conséquente et nous occupe un bon moment. Nous sommes toujours dans un style Metroidvania en 2D avec des couloirs qui montent et qui descendent, de nombreux aller-retour à effectuer pour avancer dans cette prison mentale, des pièges à déjouer, des énigmes à résoudre, des passages secrets à découvrir etc.
Nous ne sommes pas en reste dans la découverte de nouvelles révélations et sur le personnage même de Radjen, l’un des Immortels d’élites de la Perse. Nous en apprenons davantage sur lui au fur et à mesure de notre progression.
Mais cette aventure n’est pas de tout repos et s’annonce même plus difficile encore que le jeu de base.
De nouvelles énigmes plus casses-têtes qu’avant
Si vous en êtes au DLC, vous maitrisez parfaitement, ou presque, le gameplay du jeu avec ces ennemis à combattre en respectant parfaitement leurs patterns et en faisant preuve d’une grande dextérité, les accès fermés qu’il faut débloquer, les très nombreux pièges et plateformes qu’il faut traverser avec agilité et rapidité etc. Eh bien dans Mask of Darkness, la difficulté est… amplifiée !Déjà, nous sommes très tristes de voir notre barre de vie, que nous avons eu tellement de mal à agrandir depuis le début du jeu, diminuée à son minimum de départ. Voilà que les pièges sont bien plus techniques et casse-têtes à passer. Autant dire qu’on meurt souvent. Il va falloir s’accrocher. Dextérité et rapidité sont particulièrement nécessaires pour parvenir jusqu’au bout. Et on ne peut pas diminuer la difficulté bien évidemment.
Les arbres de vie présents un peu partout sur la carte, ne sont pas légions. Fort heureusement, on peut désormais se téléporter d’un arbre à un autre pour éviter des allers-retours trop fréquents.
Quant aux ennemis, ils ne sont pas forcément plus difficiles à cause des patterns à retenir car ils sont sensiblement identiques à ceux présents dans le jeu de base. Cependant, comme notre vie est réduite à peau de chagrin, nous n’avons quasiment pas le droit à l’erreur. Il faut faire preuve d’une grande agilité et rapidité au même titre que les pièges au niveau des plateformes. Sinon, c’est la mort assurée. Pire encore lorsque nous nous retrouvons face à plusieurs vagues d’ennemis qu’il faut esquiver en même temps, que ce soit au sol ou dans les airs.
Bref, vous l’aurez compris, Mask of Darnkes n’est pas forcément un DLC de tout repos. Fort heureusement, si ce dernier nous lasse, nous avons quand-même un portail nous permettant de revenir dans la citadelle et continuer notre aventure principale si cette dernière n’est pas encore terminée.
Mais pour son prix dérisoire, il est très complet, avec une bonne durée de vie et une intrigue accrocheuse. Et pour les fans du genre, il est un vrai défi qui donne un peu de fil à retordre.
En bref, que ce soit le jeu de base ou son extension, Prince of Persia the Lost Crown n’a pas fini de nous émerveiller même presqu’un an après sa sortie. Ce serait dommage de passer à côté.
Mais pour son prix dérisoire, il est très complet, avec une bonne durée de vie et une intrigue accrocheuse. Et pour les fans du genre, il est un vrai défi qui donne un peu de fil à retordre.
En bref, que ce soit le jeu de base ou son extension, Prince of Persia the Lost Crown n’a pas fini de nous émerveiller même presqu’un an après sa sortie. Ce serait dommage de passer à côté.
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