Cette semaine, Waluigi a le plaisir de nous faire découvrir un nouveau magazine dont la thématique ne pouvait pas mieux tomber pour cette chronique : Retro Games, avec l'interview exclusive de Stéphanie Guillaume, que nous vous invitons à découvrir ici-même !
Bonne lecture de cette nouvelle chronique qui, comme toutes nos infos, vous donne rendez-vous sur le forum pour accueillir vos réactions !
Le premier magazine Retro Games met en valeur Pac Man.
C’est un bon choix de première de couverture, car c’est bien un symbole du rétro !
Le « Retro Games » en questions…
avec un nouveau magazine éponyme !
Salut à tous et à toutes.
Bienvenue, pour la troisième fois, dans votre nouvelle rubrique orientée rétro, Vade Rétro. Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un nouveau magazine… rétro ! Eh non, ce n’est pas antinomique, loin de là. Parfait pour instruire les néophytes et rendre nostalgique les vétérans du pad.
Ce magazine s’intitule Retro Games. Il s’agit d’un bouquin assez épais de 180 pages, qui met un coup de projecteur sur les jeux à succès des années 70, 80 et 90. Bien sûr, comme tout ce qui est rétro, il se veut Collector et un brin élitiste… puisque son prix est d’environ 12 euros. Mais un prix relatif, quand on sait qu’un tel magazine on ne le vendra jamais… et qu’on dépense parfois cinq fois plus pour des jeux qu’on regrette ! Un investissement intéressant donc, qui mérite réflexion pour les passionnés de jeux vidéo.
Le canard est piloté par Stéphanie Guillaume, rédactrice en chef d’Advanced Creation. Retro Games propose des interviews de développeurs dévoilant leur savoir-faire, des dossiers sur des jeux mythiques comme Pac-Man, Boulder Dash, Space Invaders et un retour sur les technologies ancestrales comme le Mega CD, les Game & Watch ou l’Amiga.
La pagination de Retro Games, claire et aérée, opte pour une approche finalement assez moderne… Qui aurait préféré un style rétro ? ;-)
Pour en savoir plus sur ce nouveau né qui fait l’actualité, nous vous proposons une interview complète de la responsable du magazine. Elle a accepté de répondre à toutes nos questions. C’est une surprise, ses analyses sont parfois très pertinentes, comme vous pourrez le constater.
Puissance Nintendo : Bonjour Stéphanie. Un nouveau magazine de rétro-gaming voit le jour ! Ce n'est pas tous les ans que cela arrive. Pour commencer, Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer en quoi consiste ce nouveau magazine ?
Stéphanie Guillaume : Eh bien, tout d’abord, j’aimerais préciser qu’il ne s’agit pas vraiment d’un nouveau magazine pour plusieurs raisons. La première étant qu’il s’agit juste pour l’instant d’un numéro spécial de l’un de nos magazines. La seconde étant que ce mag est une traduction d’un magazine anglais que beaucoup connaissent : Retro Gamer. (NdWal : pour nous les français, c’est quand même un nouveau mag dans le sens ou tout le rédactionnel est inédit en France).
Pour ma part, je m’occupe de cinq des titres du pôle image (Advanced Creation, Web Design, Création Photo, Digital Artist et 3D Mag). Mais j’ai débuté dans la presse il y a plus de 12 ans maintenant dans un magazine qui n’existe plus aujourd’hui, édité par FJM Publications : Consoles News. C’est donc un peu un retour à mes premières amours. Ce premier volume consiste en une suite d’articles qui peut paraître décousue au premier abord, mais il est à voir comme une compilation.
Vous y trouverez donc diverses rubriques : Retro Revival, qui passe rapidement un jeu en revue ; Making of, qui décrit la création d’un jeu ou d’une série, souvent à travers l’interview de son créateur ; L’histoire de, qui, comme son nom l’indique, retrace l’histoire d’un jeu de A à Z ; Grand Classique, qui présente des jeux à côté desquels il est impossible de passer ; RetroInspection, qui traite du matériel ; Top 10, qui présente les 10 meilleurs jeux par plateforme ; Profil, qui est simplement une interview de développeur ou de société ; The definitive, qui fait le tour de toutes les versions d’un même jeu de ses débuts à aujourd’hui ; Dans le fauteuil avec, qui est une rencontre avec un acteur important du monde du jeu vidéo. Ce n’est donc pas vraiment un numéro classique !
PN : Où commence le rétro-gaming selon vous et où s'arrête-t-il ?
SG : Le rétro est toujours en décalage avec notre époque. C’est l’inverse du temps qui passe. Dans 10 ans, les jeux d’aujourd’hui seront "rétro". Mais si on s’en tient à notre époque, le rétro-gaming représente surtout les tous débuts du jeu vidéo, que les moins jeunes d’entre nous ont la chance d’avoir vécu… comme c’est mon cas.
Que ce soit dans le jeu ou tout autre domaine, le rétro et le vintage sont des tendances très fortes. En design, on revient à des styles très marqués 70, avec des motifs de papier peint terribles par exemple. En photo, on s’amuse à retrouver des effets de vieilles pellicules. Quelles que soient les passions ou les métiers, c’est humain d’être nostalgique !
J’ai encore chez moi par exemple un jeu Game & Watch que j’ai eu petite au pied du sapin (Donkey Kong, l’appareil marron à double écran, celui qui est sur la couverture). Il fonctionne encore aujourd’hui tellement je l’ai chouchouté ! (NdWal : Comme tous les produits Nintendo en général, il faut l’avouer !) Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres…
En fait, je n’imagine pas une époque dans le futur où on ne ferait pas encore allusion aux tous premiers jeux vidéo. Ça me paraît impossible.
PN : Est-il essentiel aujourd'hui d'enseigner le "vieux jeu vidéo" aux nouvelles générations ? N'est-ce pas ici la consécration d'une sphère culturelle ?
SG : Essentiel, je ne pense pas. Mais je suis certaine que si je mettais mon neveu de 6 ans sur Arkanoid, il prendrait autant de plaisir qu’avec Cars sur sa DS, si ce n’est plus. L’avantage de ces jeux rétros, c’est qu’ils sont simples. Les commandes sont simples, le but est simple. Et ce qui compte c’est la dextérité. C’est vraiment le “WYDIWYG” (What You Do Is What You Get) du jeu vidéo. Tu appuies à droite, il va à droite ; pas de surprise. Aujourd’hui, on est étonné par les « nouvelles moutures de toute beauté », mais au fond, le jeu lui-même n’a pas beaucoup changé. Ce qui fonctionne, c’est la simplicité et l’amusement. Et puis ça reste une question de goût avant tout je pense et non de sphère culturelle.
Si beaucoup de trentenaires restent fans de ce genre, pour autant pas mal de jeunes y jettent un œil par curiosité et se trouvent attirés par le design rétro et minimaliste et l’amusement que procure ce genre de jeux. Et surtout par le côté addictif du rétro-gaming. Je me souviens petite avoir passé des journées et des nuits entières à faire le tour de Wonder Boy qui n’avait jamais de fin en fait et revenait toujours en boucle au début, avec simplement le niveau de difficulté qui augmentait.
Encore une fois, comme pour tout, il est toujours intéressant de savoir comment les choses se passaient avant, comment tout a débuté. Est-ce qu’on pourrait aujourd’hui faire de la peinture sans étudier les maîtres ? Ou ne lire que des auteurs contemporains ?
PN : Pourquoi les vétérans ont-ils ce besoin de retourner en arrière ? Car dans le présent, les jeux ne sont pas si mauvais pourtant...
SG : Comme je le disais plus haut, c’est une question de nostalgie propre à l’Homme, simplement. Et les jeux actuels ne misant que sur le m’as-tu-vu et la surenchère techno, l’intérêt de base du jeu se perd. Les jeux rétros sont la madeleine de Proust des trentenaires/quarantenaires d’aujourd’hui. Ce n’est pas pour autant qu’ils ne jouent pas aux jeux actuels !
PN : On dit que les écrits restent... Selon vous, la presse papier est-elle plus forte que la presse internet pour le collectionneur/archiviste ? D'où l'idée de votre magazine papier collector...
SG : Ah le fameux débat Presse VS Internet. Je pense que les deux sont complémentaires. Je vais vous prendre l’exemple d’un de nos magazines : WebDesign. C’est un magazine qui traite de la création de sites Web aussi bien au niveau du design que du code, de l’e-commerce, etc. A priori, on se dit que ce genre d’infos se trouve facilement sur le web. C’est un fait, mais souvent la qualité n’est pas au rendez-vous. L’orthographe laisse parfois à désirer, les sujets ne sont pas toujours traités par des pro, sans compter le nombre d’infos référencées qui disparaissent de jours en jours faute d’entretenir le site ou le blog.
Eh bien ce magazine a aujourd’hui un public fidèle et en croissance régulière. Il est complété par un CD et un site proposant des infos plus fraiches lorsqu’on a besoin de parler de certaines choses tout de suite. Et nos lecteurs nous confirment qu’ils ne les jettent pas et les collectionnent au contraire pour pouvoir s’y référer régulièrement.
Le papier apporte une sécurité. On peut le placer au grenier, il ne va pas disparaître, vous le retrouverez dans 10 ans, un peu jauni certes, mais toujours là. Il apporte aussi plus de sérieux souvent. Et comme on me le faisait remarquer il y a peu de temps, la dématérialisation nous ramène à notre propre disparition. Le papier a donc, comme le DVD, un côté rassurant. C’est du concret, on le touche, on le respire… Un collectionneur ne peut pas compter sur du virtuel, c’est inconcevable, il a besoin de toucher. Le virtuel est trop fragile pour être pérenne. Notre magazine se présente un peu comme des extraits de souvenir sur papier glacé.
Notre ami Sonic (Enfin votre ami à vous, car Waluigi lui, n'est ami avec personne !) est de la partie. Pour respecter les quotas et ne pas paraitre raciste, y a aussi du Mario représenté par l’article sur Mario Kart. Vous pouvez souffler (dans le ballon à alcool).
PN : Le jeu vidéo dématérialisé, les dangers du piratage et le casual gaming, ça vous inspire quoi ?
SG : Concernant le jeu dématérialisé, je viens d’en parler dans la réponse précédente. Les dangers du piratage sont constants en informatique, on vient de le voir encore avec le store de Sony. Je pense qu’on ne sera jamais à l’abri tant qu’on utilisera des méthodes humaines. Si quelqu’un est assez fort pour faire un nœud aussi compliqué qu’il soit, un autre le sera toujours autant pour le défaire. Je ne pense pas qu’il puisse exister un programme inviolable. C’est donc un risque à prendre d’un côté pour les utilisateurs et d’un autre pour les développeurs.
Quant au casual gaming, il nous ramène souvent à des concepts de rétro-gaming finalement. Il faut que les règles soient simples, qu’on puisse jouer tout de suite. C’est du « Pay and Play » en quelque sorte et, dans une société où tout va de plus en plus vite, quand on a envie de jouer tout de suite, heureusement que certains jeux proposent encore de s’y atteler sans devoir lire une notice de 30 pages ou apprendre le Klingon.
PN : Votre pire jeu vidéo et votre meilleur souvenir vidéoludique, ce serait quoi ?
SG : Mon pire souvenir ne date que de dimanche dernier, où j’ai désespérément tenté de comprendre comment jouer à BeyBLade Fusion sur la Wii avec mon neveu. Visiblement, il faut agiter la télécommande sans plus de précision et ni le web ni la notice n’ont su m’en dire plus. Très frustrant.
Le meilleur restera le second ordinateur que j’ai eu (le premier étant un Sinclair ZX81) : l’Amstrad 6128 à disquette. Les jeux que j’ai eus dessus restent mes meilleurs souvenirs et je donnerais n’importe quoi pour me projeter une journée entière dessus : Cauldron, Gauntlet, Green Beret, Yie Ar Kung Fu (ça y est, j’ai la musique en tête !), Wonder Boy, Boulder Dash III, et j’en passe…
PN : Que pouvons-nous attendre prochainement de votre magazine... et y a-t-il selon vous une nouvelle génération de magazines rétros qui pourrait bientôt émerger ?
SG : Nous verrons en fonction des résultats de ce numéro… Ce sera la surprise ! Je ne sais pas si d’autres vont émerger, ça reste un secteur de niche. Nous verrons bien !
Retrouvez l’imposant magazine Retro Game dans de nombreuses grandes surfaces, kiosques et certains magasins spécialisés. Souhaitons bonne chance, et surtout longue vie, à ce nouveau venu qui se fraye une place dans le secteur du Rétro ! Un secteur qui n’a pas fini de faire du bruit.
Wal-J
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Dommage qu'elle n'ait pas voulu nous en dire plus sur son magazine
Voici les éléments qui ont retenu mon attention.
[u]Je préciseCa reste à voir... De nos jours, les dernières consoles considérées comme "rétro" ont 15 à 17 ans d'âge. Tout cela ne dépend pas du temps à proprement parlé mais plutôt de l'avancée technologie. Selon moi, la 6gen ne sera retro que vers 2017 quand la 8ème sera bien ancrée...
Aie ça fait grincer les dents...
Heureusement qu'il y a les autres pour récupérer. Mais toutes n'ont pas une bonne fabrication... Ne l'oublions pas.
C'est tellement vrai, en général
Quoi mais pas du tout !!!!
Le DVD par rapport au VHS c'est playmobil dans un évier. Ca se raye super vite, ça beugue tt le temps, ça n'est résistant à aucune condition météorologique. Sans oublier que ça perd de la qualité quand on les lit en continu, à l'opposé du VHS qui ne perd de la qualité qu'avec le Re-REC et un mauvais entreposage.
Maintenant, dites le moi si je me gourre... je n'ai pas la science infuse
Je ne sais pas quoi argumenter àpd de ceci... je laisse cette opportunité aux autres
La chance ! Pour ma part, j'ai dû me cantonner avec la 464. Bon évidemment j'avais 5-6 ans donc je pigeais rien à la RAM et la ROM mais je savais déjà que c'était pas suffisant pour jouer certains jeux dont les amis de mes soeurs connaissaient.
Aaah je jouais à Donkey Kong, Prince of Persia, Exolon ou à Solomon's Key (l'ancien nom de Da Vinci Code). Ces jeux... OMG je m'en souviendrai toute ma vie
C'est le meilleur que je puisse vous souhaiter
CCL : un assez bon ITW, malgré le fait qu'il ne nous apprenne presque rien sur le mag...
Et pour les VHS j'avais vu une émission (c'est pas sorcier je crois
PS: bon petit billet je trouve ^^
D'toute façon, les remèdes existent (par ex : coton tige comme tu le dis).
Pour les VHS et DVD il n'y a pas vraiment de gagnant car chacun a son pour et son contre. On pourrait en discuter pendant des heures. Je ne fais juste pas confiance du tout au DVD.
Mais je suppose que cette "non-confiance" est infondée car c'est surtout les lecteurs de DVD qui posent problème.
PS : je me demande si "Waluigi" serait d'accord pour qu'on fasse des requêtes de tests pour la rubrique. Je lui demanderai à l'occaz ^^.
Awhé, je dirais pas non à ce qu'il teste Battlekid.
[img]Mais attention, je peux être très complaisant comme saignant ^^
Non, tout type d'utilisation de la VHS la détériore (cela comprend la simple lecture !). Les bandes s'abîment de toute façon avec le temps, même bien entreposées. Ainsi, dans 30 ans approximativement, la plupart des VHS de cette planète seront illisibles.
A contrario le support DVD se raye beaucoup moins que le CD et ne se détériore pas à l'usage. De plus, son matériau lui permet de ne pas s'auto-biodégrader et il est donc un support de stockage fiable pour les 100 ans à venir (au bas mot).
No souci...
Gros lecteur de presse dite spé, je me méfie souvent lorsque je vois paraître une nouvelle contribution dont on ne sait presque rien, et c'était bien le cas pour celle-là, sortie un peu de nulle part. A vrai dire, après cette interview, je ne suis pas trop rassuré. Le discours n'est pas très pointu, et absolument pas passionné. On ne sait rien des rédacteurs qui collaborent. Avec son côté "compilation de jeux" (aka LE truc que l'on sert quand on n'a pas de véritable contenu éditorial à proposer), ça ressemble juste à une de ces énièmes tentatives de s'approprier une certaine mode "rétro", et de faire du Pix n'Love du pauvre... y'a mieux pour relancer les ventes et éviter de se retrouver à faire de la pige dans tous les titres pourris qui veulent bien.
edit : allez tiens, puisqu'on a tout de même évoqué FJM Publications dans l'ITW, tout ceci m'inspire une quote. Pleine de finesse et de diplomatie comme à l'habitude de son auteur.
[img]Je ne suis pas tout à fait d'accord sur la DS Tank, au contraire elle est pour moi complètement plus solide que la Lite ! J'avais beau faire tomber ma Tank plusieurs fois de plus d'un mètre de haut, elle n'a rien. Pendant que la Lite voit sa coque se briser sur les bords lors des chutes (celle de ma sœur a bien souffert, bien qu'elle ne soit pas tombé 10 fois non plus). La séparation des écrans, c'est pas si commun il me semble. D'ailleurs, un jour, j'ai fait tomber ma Lite de plus de 2 mètres de haut sur un sol de rochers, elle s'en est sortie indemne (quelques petits trous sur un coin de la coque).
Pour le son GB/GBA, je le trouvais plutôt correct. Les connecteurs de la NES, ça vient avec l'usure principalement (à force de mettre et d'enlever les cartouches, plus la poussière qui rentre à chaque fois). J'ai chez moi une NES comme neuve, très peu utilisée, et les jeux marchent quasiment tout le temps au premier essai. Et dans le cas contraire, c'est le jeu qui est poussiéreux (les jeux que j'ai étant utilisé depuis plus de 18 ans).
Là où je suis d'accord, c'est bien le pad N64, surtout le joystick qui ne tient plus debout.
Je serais bien tenté de me procurer ce magazine, j'en achète jamais en général, mais je ne sais pas si il est si bien que ça, l'interview ne nous en apprends pas beaucoup dessus.
Je suis assez déçu d'un truc avec la DSi: Les boutons, mais plus spécialement les gâchettes. J'ai pas eu la DSL donc il me manque le comparatif du milieu, mais les gâchettes de la DSi sont une horreur sur 2 points: Ergonomie et solidité.
Ergonomie parce qu'elles ne sont bas des boutons à ressort, comme on a pu le voir sur un max de consoles (dont la DS tank qui avait cet argument pour elle) mais des boutons à pression (ça fait "tic" quand on appuie quoi). Et en découle le deuxième argument:
La solidité. La gâchette gauche de ma DSi est déjà niquée (faut que je regarde si je suis toujours sous garantie parce que ça fait chier). Alors certes, je l'ai pas mal utilisé sur un jeu en particulier, mais je ne pense pas l'avoir bourrinée ni violentée (et même si c'était le cas elle ne devrait pas lâcher comme ça).
Je rêve d'une DS avec les boutons de la GBMicro (♥♥♥) et les gâchettes de la DSTank (♥♥♥).
Tiens, question: Comment sont les gâchettes de la 3DS ?
Je confirme, j'ai voulu passer les miennes sur DVD il y a peut être un an,c'était trop tard pour au moins la moitié d'entre elles. Et si on a le malheur de mettre une VHS périmée dans un magnéto, il n'y a plus qu'à nettoyer les têtes de lecture.