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Nintendo ne volera pas au secours d'Ubisoft, c'est en tout cas ce que nous venons d'apprendre dans le journal les Echos.
Même si Ubisoft a confirmé avoir des discutions avec des professionnels du jeu vidéo partout dans le monde, les Echos nous apprend que Nintendo ne compte pas aider l'éditeur français. Il faut savoir que face à l'offensive d'Electronic Arts, le leader mondial de l'édition du jeu vidéo, Ubisoft tente de trouver des partenaires de poids.
Un doux souhait aurait pu être exaucé, celui de l'association d'Ubisoft et Nintendo. Pourtant Satoru Iwata, affirme "ne pas avoir eu de propositions concrètes d'Ubisoft". "Au cours de notre histoire, nous n'avons jamais réalisé une telle opération" déclare le président de Nintendo.
Espérons qu'Ubisoft trouve rapidement des solutions. Il serait tout de même assez néfaste pour le jeu vidéo qu'Electronic Arts puisse racheter des sociétés aussi importantes de l'industrie, des éditeurs et développeurs aussi créatifs et moteurs du jeu vidéo.
Et comme d'habitude, un rappel de nos infos à ce sujet :
- NEWS: Ubi Soft cherche un fiancé (20/01/05)
- NEWS: EA ne se considère pas "hostile" (15/01/05)
- NEWS: Qui pourra sauver Ubi ? (07/01/05)
- NEWS: Vivendi, sauveur d'Ubi Soft ? (05/01/05)
- NEWS: L'Etat à la rescousse ? (04/01/05)
- NEWS: Ubi prépare sa riposte (29/12/04)
- NEWS: EA s'offre 20% d'Ubi (20/12/04)
- DOSSIER: EA croque Ubi Soft: analyse et enjeux
Même si Ubisoft a confirmé avoir des discutions avec des professionnels du jeu vidéo partout dans le monde, les Echos nous apprend que Nintendo ne compte pas aider l'éditeur français. Il faut savoir que face à l'offensive d'Electronic Arts, le leader mondial de l'édition du jeu vidéo, Ubisoft tente de trouver des partenaires de poids.
Un doux souhait aurait pu être exaucé, celui de l'association d'Ubisoft et Nintendo. Pourtant Satoru Iwata, affirme "ne pas avoir eu de propositions concrètes d'Ubisoft". "Au cours de notre histoire, nous n'avons jamais réalisé une telle opération" déclare le président de Nintendo.
Espérons qu'Ubisoft trouve rapidement des solutions. Il serait tout de même assez néfaste pour le jeu vidéo qu'Electronic Arts puisse racheter des sociétés aussi importantes de l'industrie, des éditeurs et développeurs aussi créatifs et moteurs du jeu vidéo.
Et comme d'habitude, un rappel de nos infos à ce sujet :
- NEWS: Ubi Soft cherche un fiancé (20/01/05)
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Bah ouais nintendo voler au secours de ubi soft (enfin rachetez ubi soft, faut utilisez les termes exactes meme si ca fache), je n'y est jamais cru une seule seconde, nintendo n'et pas habitué a faire dans le racaht ni la cahrité avec les autres boites, j'aurais plus vu MS ou sony se jeter sur l'affaire et encore je sens plutot que ubi va finir parti intégrante de EA, bah pas grave perso j'aime bien POP, un par an plus les occasions spéciales jeux oympiques l( prince est un vrai athlete) je suis pas contre
ATARI NE SERA PAS LE CHEVALIER BLANC D'UBI
j'vois pas l'intérêt à par rabaisser Tendo
je crois qu'il faut se faire une raison, ubi va être croqué par EA!
+1
Je trouve ça complétement débile d'en faire une new comme si Nintendo devait aidé Ubi. Pourquoi pas faire la new avec Sony, Microsoft aussi , tiens pourquoi pas :
Sony ne volera pas au secours d'Ubisoft, c'est en tout cas ce que nous venons d'apprendre dans le journal les Echos.
Même si Ubisoft a confirmé avoir des discutions avec des professionnels du jeu vidéo partout dans le monde, les Echos nous apprend que Sony ne compte pas aider l'éditeur français. Il faut savoir que face à l'offensive d'Electronic Arts, le leader mondial de l'édition du jeu vidéo, Ubisoft tente de trouver des partenaires de poids.
Un doux souhait aurait pu être exaucé, celui de l'association d'Ubisoft et Sony. Pourtant Ken katsuragi, affirme "ne pas avoir eu de propositions concrètes d'Ubisoft". "Au cours de notre histoire, nous n'avons jamais réalisé une telle opération" déclare le président de Sony.
Espérons qu'Ubisoft trouve rapidement des solutions. Il serait tout de même assez néfaste pour le jeu vidéo qu'Electronic Arts puisse racheter des sociétés aussi importantes de l'industrie, des éditeurs et développeurs aussi créatifs et moteurs du jeu vidéo.