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Le comité chargé de faire le ménage après la faillite d'Acclaim l'an dernier demande aux anciens dirigeants de l'éditeur quelques 150 millions de dollars de dommages.
On parle d'Acclaim de temps en temps, mais cela ne concerne rarement leurs jeux : depuis la déclaration de faillite de ce qui fut autrefois un semi-géant -certes éphémère- du jeu vidéo, les informations se succèdent régulièrement. On parlait même récemment de la reprise du nom Acclaim par un nouveau studio ouvert par d'anciens responsables de l'éditeur.
Le comité qui a enquêté sur les actions des dirigeants d'Acclaim avant sa perte demande maintenant des comptes : 150 millions de dollars pour être précis, sous prétexte que bon nombre d'actions entreprises par les dirigeants vont à l'encontre des règles pourtant strictes de la SEC Securities.
Un exemple ? Les dirigeants d'Acclaim n'hésitaient pas à s'accorder des salaires exhorbitants des uns aux autres, à s'octroyer des bonus parfois si élevés qu'ils transitaient par des tiers ! Les créateurs d'Acclaim recevaient une fortune sans aucune obligation en retour ! Une application à la lettre du proverbe être payé pour ne rien faire !
Alors que la société était en difficulté, les dirigeants n'ont en rien changé leur train de vie, avec le résultat que l'on connaît. Bref, plus de 150 millions de dommages sont demandés par le comité, avec pour ambition de rembourser certains des malheureux créanciers de l'ancien éditeur britannique Acclaim...
On parle d'Acclaim de temps en temps, mais cela ne concerne rarement leurs jeux : depuis la déclaration de faillite de ce qui fut autrefois un semi-géant -certes éphémère- du jeu vidéo, les informations se succèdent régulièrement. On parlait même récemment de la reprise du nom Acclaim par un nouveau studio ouvert par d'anciens responsables de l'éditeur.
Le comité qui a enquêté sur les actions des dirigeants d'Acclaim avant sa perte demande maintenant des comptes : 150 millions de dollars pour être précis, sous prétexte que bon nombre d'actions entreprises par les dirigeants vont à l'encontre des règles pourtant strictes de la SEC Securities.
Un exemple ? Les dirigeants d'Acclaim n'hésitaient pas à s'accorder des salaires exhorbitants des uns aux autres, à s'octroyer des bonus parfois si élevés qu'ils transitaient par des tiers ! Les créateurs d'Acclaim recevaient une fortune sans aucune obligation en retour ! Une application à la lettre du proverbe être payé pour ne rien faire !
Alors que la société était en difficulté, les dirigeants n'ont en rien changé leur train de vie, avec le résultat que l'on connaît. Bref, plus de 150 millions de dommages sont demandés par le comité, avec pour ambition de rembourser certains des malheureux créanciers de l'ancien éditeur britannique Acclaim...
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Lol, oui je me dit la meme chose !
8)membre des nintendophiles 8)
Non j'ai pas honte et je dit merci Akklaim d'avoir élever Criterion et leur moteur le renderwarre.
Burnout 2 était une bombe, donc perso pas une trace de honte qui m'envahie.
N'empêche, il n'y avait pas beaucoup de jeux intéressant de leur coté.
Tant pis pour eux !