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Après la maigre sortie de la semaine dernière, Big N s’offre une sélection spéciale oldies avec deux titres Commodore 64, mais aussi deux autres titres issus de la Master System toute fraichement débarquée sur Console Virtuelle, le tout pour 500 points par jeu. Mais essayer de titiller les joueurs les plus âgés en sortant le premier titre venu de plus de 20 ans, est-ce vraiment une bonne idée ?
Honneur à la nouvelle venue, c’est Fantasy Zone, créé par Sega pour la Master System en 1986 qui ouvre le bal. Ce jeu d’arcade bien à l’ancienne avec des graphismes mignons propose au joueur de piloter un vaisseau et de passer des niveaux en scrolling horizontal à la manière de R-Type. Le joueur a pour mission de détruire un certain nombre de bases présentes sur le niveau. Une fois la mission accomplie, un boss de fin doit être vaincu pour passer à l’étape suivante. A la différence des autres jeux de ce type, le joueur a la possibilité de faire machine arrière et de voler dans la direction opposée par rapport au sens de l’action. Un magasin apparait de temps à autre pour permettre au joueur d’acheter différents objets pour se renforcer avec de l’argent obtenu en battant des ennemis. En dépit de son aspect mignon, pas de quoi casser trois pattes à un canard. Fantasy Zone peut cependant amuser les joueurs les plus jeunes venant juste de découvrir le monde des jeux vidéos, et encore ! Bref, un titre passable, surtout pour 500 points.
Second titre issu de la Master System, WonderBoy est sorti en 1986 sur Master System après avoir été développé par Escape. Ce titre est l’ancêtre d’une longue série de jeux de plateformes qui a fait le bonheur de nombreux joueurs. Dans les faits, WonderBoy, un homme des cavernes, doit partir à la recherche de son amie Tanya, kidnappée par un monstre. Une jauge d’énergie indique en permanence l’état de santé de WonderBoy. Des bonus permettent de remplir cette jauge et des objets utiles peuvent être obtenus dans des œufs. Malheureusement, ces œufs peuvent aussi contenir des malus qui réduiront encore plus vite la barre d’énergie. Neufs niveaux, plus un caché, sont à découvrir avec à chaque fois un boss à battre. Relativement similaire dans son esprit à la saga de Super Mario à ses débuts, WonderBoy a bien vieilli et ses graphismes relativement basiques ne pourront que dégoûter les joueurs d’aujourd’hui. Les nostalgiques seront les seuls à lui trouver un certain intérêt avec un prix de 500 points.
Troisième titre pour ce vendredi, California Games, de Epyx, sorti en 1987, propose au joueur de tester les sports les plus populaires en Californie dans les années 80. Les épreuves sont, par exemple, le surf, le bike ou le disque. Ce titre a rencontré passablement de succès à sa sortie, mais risque de faire fuir les foules aujourd’hui. La raison en est toute simple : c’est hideux et pas franchement jouable ! A l’époque où des titres similaires et mieux conçus ont été publiés sur des consoles plus récentes, il est vraiment regrettable de voir un titre pareil arriver sur Console Virtuelle pour 500 points. A éviter.
Dernier titre pour cette semaine, Impossible Mission a été publié par Epyx en 1984. Le joueur incarne un agent secret qui doit, en un temps limité, trouver des preuves cachées dans une usine qui formeront un mot de passe tout en étant poursuivi par des robots tueurs. Les niveaux ressemblent assez à une suite de tableaux issus de Donkey Kong période précoce. Ce titre offrait pour la première fois des voix digitalisées, ce qui était un exploit en 1984. Mais les joueurs d’aujourd’hui vivent en 2008 et ce type de titre souffre toujours du problème majeur des jeux du Commodore 64 pour Console Virtuelle : c’est moche et injouable ! Ce titre n’amènera que frustration en raison des 500 points dépensés inutilement. A oublier.
Honneur à la nouvelle venue, c’est Fantasy Zone, créé par Sega pour la Master System en 1986 qui ouvre le bal. Ce jeu d’arcade bien à l’ancienne avec des graphismes mignons propose au joueur de piloter un vaisseau et de passer des niveaux en scrolling horizontal à la manière de R-Type. Le joueur a pour mission de détruire un certain nombre de bases présentes sur le niveau. Une fois la mission accomplie, un boss de fin doit être vaincu pour passer à l’étape suivante. A la différence des autres jeux de ce type, le joueur a la possibilité de faire machine arrière et de voler dans la direction opposée par rapport au sens de l’action. Un magasin apparait de temps à autre pour permettre au joueur d’acheter différents objets pour se renforcer avec de l’argent obtenu en battant des ennemis. En dépit de son aspect mignon, pas de quoi casser trois pattes à un canard. Fantasy Zone peut cependant amuser les joueurs les plus jeunes venant juste de découvrir le monde des jeux vidéos, et encore ! Bref, un titre passable, surtout pour 500 points.
Second titre issu de la Master System, WonderBoy est sorti en 1986 sur Master System après avoir été développé par Escape. Ce titre est l’ancêtre d’une longue série de jeux de plateformes qui a fait le bonheur de nombreux joueurs. Dans les faits, WonderBoy, un homme des cavernes, doit partir à la recherche de son amie Tanya, kidnappée par un monstre. Une jauge d’énergie indique en permanence l’état de santé de WonderBoy. Des bonus permettent de remplir cette jauge et des objets utiles peuvent être obtenus dans des œufs. Malheureusement, ces œufs peuvent aussi contenir des malus qui réduiront encore plus vite la barre d’énergie. Neufs niveaux, plus un caché, sont à découvrir avec à chaque fois un boss à battre. Relativement similaire dans son esprit à la saga de Super Mario à ses débuts, WonderBoy a bien vieilli et ses graphismes relativement basiques ne pourront que dégoûter les joueurs d’aujourd’hui. Les nostalgiques seront les seuls à lui trouver un certain intérêt avec un prix de 500 points.
Troisième titre pour ce vendredi, California Games, de Epyx, sorti en 1987, propose au joueur de tester les sports les plus populaires en Californie dans les années 80. Les épreuves sont, par exemple, le surf, le bike ou le disque. Ce titre a rencontré passablement de succès à sa sortie, mais risque de faire fuir les foules aujourd’hui. La raison en est toute simple : c’est hideux et pas franchement jouable ! A l’époque où des titres similaires et mieux conçus ont été publiés sur des consoles plus récentes, il est vraiment regrettable de voir un titre pareil arriver sur Console Virtuelle pour 500 points. A éviter.
Dernier titre pour cette semaine, Impossible Mission a été publié par Epyx en 1984. Le joueur incarne un agent secret qui doit, en un temps limité, trouver des preuves cachées dans une usine qui formeront un mot de passe tout en étant poursuivi par des robots tueurs. Les niveaux ressemblent assez à une suite de tableaux issus de Donkey Kong période précoce. Ce titre offrait pour la première fois des voix digitalisées, ce qui était un exploit en 1984. Mais les joueurs d’aujourd’hui vivent en 2008 et ce type de titre souffre toujours du problème majeur des jeux du Commodore 64 pour Console Virtuelle : c’est moche et injouable ! Ce titre n’amènera que frustration en raison des 500 points dépensés inutilement. A oublier.
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C'est juste le créateur du party games ce jeu, il a tout inventer, wario ware, mario party, tout ça, c'est basé sur California Games !
C'est juste un jeu vieux, mais le gameplay est là et y'a vingt ans on savait s'amuser avec ça dans toute la famille.
Bref... La nouveauté n'a de toutes façon quasiment que du mauvais.
une fois qu'on a la prise en main, c'est du tout bon