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Retour à la vitesse de croisière cette semaine avec la sortie de trois nouveaux titres dont deux franchement orientés action et issus de la grande tradition arcade de la Neo Geo. Le troisième est plus une tentative de produire de manière plus qu’honorable un nouveau clone de Tetris.
Signe qu’une licence est rentable, cette dernière est généralement adaptée à toutes les sauces et les Pokémons n’ont pas fait exception. Produit en 2000 pour la N64 par Nintendo, Pokémon Puzzle League a été une exclusivité des marchés américains et européens et n’a pas bénéficié d’une sortie au Japon. Le principe en est très simple : dans la peau d’un dresseur à choisir au début du jeu mais qui n’aura aucune influence sur la manière de jouer, le joueur doit accumuler des lignes à la façon d’un Tetris tout en dégageant des blocs en réussissant à former ces mêmes lignes. Les allergiques aux petites bestioles ne pourront qu’éviter ce titre clairement réservé à un jeune public. Les autres apprécieront les musiques agréables et les graphismes respectant la série originale. Quelques défis viendront augmenter la difficulté sans que cela ne soit vraiment un problème (on reste avec un jeu réservé aux enfants après tout). Joli mais pas indispensable, surtout pour 1000 points.
Big N a décidé de gâter ses joueurs cette semaine avec un titre tout en baston venu tout droit de l’ambiance fiévreuse des salles d’arcade. Après le succès de Final Fight, SNK se devait de réagir. La réponse est venue en 1991. Le but de SNK était de réaliser un Final Fight en mieux et c’est ce qui est arrivé avec ce beat’em all ultra classique mais très défoulant où il est autant possible d’exploser les ennemis que le décor ou les objets. Trois combattants sont disponibles pour des parties en solo ou en duo avec pour chacun des caractéristiques qui leur sont propres. Bref, ce n’est pas avec ce titre que les amateurs de réflexion pourront trouver leur bonheur. Mais les personnes stressées par un chef désagréable pourront trouver la sérénité en flaquant des raclées aux yakuzas dans les ruelles japonaises. De la qualité, mais qui a un prix (900 points) un peu exagéré.
Au cas où le titre précédent n’aurait pas donné satisfaction, Samouai Shodown a tout pour rendre heureux le plus exigeant des joueurs lassés par Street Fighter 2. Dans le Japon médiéval, les meilleurs guerriers de l’Empire et d’ailleurs se mesurent pour trouver celui qui ira défier en combat singulier un puissant sorcier. Pour la première fois dans l’histoire du jeu vidéo, les guerriers à sélectionner pouvaient enfin combattre avec des armes blanches ou à main nue (ce qui ferait hurler de rire n’importe quel joueur aujourd’hui mais était un exploit à l’époque). Dans de magnifiques graphismes et avec des musiques très japonaises, il n’est pas possible de s’ennuyer. Chaque combattant a ses propres attaques (comme Earthquake qui intoxique ses adversaires en leur pétant dessus). Du pur bonheur en arcade, mais qui coûtera également la somme de 900 points.
Signe qu’une licence est rentable, cette dernière est généralement adaptée à toutes les sauces et les Pokémons n’ont pas fait exception. Produit en 2000 pour la N64 par Nintendo, Pokémon Puzzle League a été une exclusivité des marchés américains et européens et n’a pas bénéficié d’une sortie au Japon. Le principe en est très simple : dans la peau d’un dresseur à choisir au début du jeu mais qui n’aura aucune influence sur la manière de jouer, le joueur doit accumuler des lignes à la façon d’un Tetris tout en dégageant des blocs en réussissant à former ces mêmes lignes. Les allergiques aux petites bestioles ne pourront qu’éviter ce titre clairement réservé à un jeune public. Les autres apprécieront les musiques agréables et les graphismes respectant la série originale. Quelques défis viendront augmenter la difficulté sans que cela ne soit vraiment un problème (on reste avec un jeu réservé aux enfants après tout). Joli mais pas indispensable, surtout pour 1000 points.
Big N a décidé de gâter ses joueurs cette semaine avec un titre tout en baston venu tout droit de l’ambiance fiévreuse des salles d’arcade. Après le succès de Final Fight, SNK se devait de réagir. La réponse est venue en 1991. Le but de SNK était de réaliser un Final Fight en mieux et c’est ce qui est arrivé avec ce beat’em all ultra classique mais très défoulant où il est autant possible d’exploser les ennemis que le décor ou les objets. Trois combattants sont disponibles pour des parties en solo ou en duo avec pour chacun des caractéristiques qui leur sont propres. Bref, ce n’est pas avec ce titre que les amateurs de réflexion pourront trouver leur bonheur. Mais les personnes stressées par un chef désagréable pourront trouver la sérénité en flaquant des raclées aux yakuzas dans les ruelles japonaises. De la qualité, mais qui a un prix (900 points) un peu exagéré.
Au cas où le titre précédent n’aurait pas donné satisfaction, Samouai Shodown a tout pour rendre heureux le plus exigeant des joueurs lassés par Street Fighter 2. Dans le Japon médiéval, les meilleurs guerriers de l’Empire et d’ailleurs se mesurent pour trouver celui qui ira défier en combat singulier un puissant sorcier. Pour la première fois dans l’histoire du jeu vidéo, les guerriers à sélectionner pouvaient enfin combattre avec des armes blanches ou à main nue (ce qui ferait hurler de rire n’importe quel joueur aujourd’hui mais était un exploit à l’époque). Dans de magnifiques graphismes et avec des musiques très japonaises, il n’est pas possible de s’ennuyer. Chaque combattant a ses propres attaques (comme Earthquake qui intoxique ses adversaires en leur pétant dessus). Du pur bonheur en arcade, mais qui coûtera également la somme de 900 points.
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