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La Console Virtuelle revient en force cette semaine avec cinq titres dont deux pour la Neo Geo, un pour la Master System et deux pour le Commodore 64. Et en plus, la qualité de ces jeux va d’acceptable à très défoulant. Bref, il faudra vraiment ne pas aimer les jeux anciens pour ne pas trouver son bonheur cette semaine, même si le problème des prix reste toujours le même.
Premier jeu de la série, Alex Kidd in Miracle World est un jeu de plateforme édité par Sega pour la Master System en 1986. Son succès a été assuré par son inclusion automatique et gratuite dans la console 8-bit de Sega. Très classique dans sa forme et ses graphiques, Alex Kidd reste loin derrière la version Megadrive de la série en dépit de ses 16 niveaux tout en n’étant pas franchement mauvais. Malheureusement, sa musique un rien agaçante dessert passablement le plaisir de jouer. Un jeu à réserver aux nostalgiques qui ont 500 points de trop sur leur Wii.
Les amateurs de baston façon arcade dans la grande tradition des années 90 ont déjà bien souffert avec la sortie de Samurai Shodown et de Fatal Fury. Cette fois, c’est au tour de Fatal Fury 2, publié en 1992 par SNK, de débarquer avec ses coups spéciaux et le redoutable Wolfgang Krauser à battre comme boss de fin. Très défoulant avec ses combattants aux styles très variés, Fatal Fury 2 reste aussi culte par ses musiques qui ont de l’énergie à revendre. Agréable à jouer en solo ou en duo, il représente un bon défi pour les amoureux de Street Fighter. Seul défaut, il aurait été plus judicieux de sortir Fatal Fury Special qui a l’avantage d’offrir tous les combattants des deux jeux, boss compris, surtout pour 900 points.
Troisième jeu de la semaine, Ninja Combat, publié par Alpha Denshi en 1990, est une sorte de Final Fight à la mode ninja avec une tombée de Shinobi pour rajouter du goût. Relativement similaire à Rushing Beat, ce beat’em all reste très classique avec ses niveaux à terminer seul ou à deux et ses personnages à choix. Bref, en dépit d’une certaine recherche d’originalité, les amateurs de bastons bien défoulantes lui préféreront Rushing Beat, plus abouti et avec de meilleurs graphismes et qui est également vendu pour le prix prohibitif de 900 points.
Avant-dernier jeu de la semaine, Nebulus, publié par Hewson en 1990, est un des très rares jeux pour le Commodore 64 à offrir des graphismes qui, pour une fois, ne donnent pas envie d’aller voir dans le manuel de son téléviseur pour voir si des réglages sont à faire pour améliorer l’image. Pas de miracle cependant pour un jeu qui affiche presque 28 ans au compteur. Le joueur incarne une espèce de petit cochon nommé Pogo qui s’est fixé comme mission de détruire huit tours en arrivant à leur sommet.
Ce jeu de plateforme reste gentillet tout en étant franchement vieillot par rapport à ce qui se fait aujourd’hui ou même par rapport à la version Amiga de ce titre. Sa seule originalité est de placer en permanence Pogo au milieu de l’écran, la sensation d’avancer étant fournie par la rotation de la tour. Bref, voilà un jeu dont l’absence ne sera pas remarquée sur une Wii, surtout pour 500 points.
Dernier jeu de la semaine, Last Ninja 2 est sorti en 1988. Suite du premier titre, le principe de recherche dans différents tableaux n’a pas changé pour le ninja ivre de vengeance incarné par le joueur. C’est la ville de New York qui accueillera pour cet opus le tueur solitaire. Celui-ci saura faire plaisir aux amateurs de la série et de tableaux isométriques avec son retour. Sinon, pas de quoi s’exciter avec un prix de 500 points.
Premier jeu de la série, Alex Kidd in Miracle World est un jeu de plateforme édité par Sega pour la Master System en 1986. Son succès a été assuré par son inclusion automatique et gratuite dans la console 8-bit de Sega. Très classique dans sa forme et ses graphiques, Alex Kidd reste loin derrière la version Megadrive de la série en dépit de ses 16 niveaux tout en n’étant pas franchement mauvais. Malheureusement, sa musique un rien agaçante dessert passablement le plaisir de jouer. Un jeu à réserver aux nostalgiques qui ont 500 points de trop sur leur Wii.
Les amateurs de baston façon arcade dans la grande tradition des années 90 ont déjà bien souffert avec la sortie de Samurai Shodown et de Fatal Fury. Cette fois, c’est au tour de Fatal Fury 2, publié en 1992 par SNK, de débarquer avec ses coups spéciaux et le redoutable Wolfgang Krauser à battre comme boss de fin. Très défoulant avec ses combattants aux styles très variés, Fatal Fury 2 reste aussi culte par ses musiques qui ont de l’énergie à revendre. Agréable à jouer en solo ou en duo, il représente un bon défi pour les amoureux de Street Fighter. Seul défaut, il aurait été plus judicieux de sortir Fatal Fury Special qui a l’avantage d’offrir tous les combattants des deux jeux, boss compris, surtout pour 900 points.
Troisième jeu de la semaine, Ninja Combat, publié par Alpha Denshi en 1990, est une sorte de Final Fight à la mode ninja avec une tombée de Shinobi pour rajouter du goût. Relativement similaire à Rushing Beat, ce beat’em all reste très classique avec ses niveaux à terminer seul ou à deux et ses personnages à choix. Bref, en dépit d’une certaine recherche d’originalité, les amateurs de bastons bien défoulantes lui préféreront Rushing Beat, plus abouti et avec de meilleurs graphismes et qui est également vendu pour le prix prohibitif de 900 points.
Avant-dernier jeu de la semaine, Nebulus, publié par Hewson en 1990, est un des très rares jeux pour le Commodore 64 à offrir des graphismes qui, pour une fois, ne donnent pas envie d’aller voir dans le manuel de son téléviseur pour voir si des réglages sont à faire pour améliorer l’image. Pas de miracle cependant pour un jeu qui affiche presque 28 ans au compteur. Le joueur incarne une espèce de petit cochon nommé Pogo qui s’est fixé comme mission de détruire huit tours en arrivant à leur sommet.
Ce jeu de plateforme reste gentillet tout en étant franchement vieillot par rapport à ce qui se fait aujourd’hui ou même par rapport à la version Amiga de ce titre. Sa seule originalité est de placer en permanence Pogo au milieu de l’écran, la sensation d’avancer étant fournie par la rotation de la tour. Bref, voilà un jeu dont l’absence ne sera pas remarquée sur une Wii, surtout pour 500 points.
Dernier jeu de la semaine, Last Ninja 2 est sorti en 1988. Suite du premier titre, le principe de recherche dans différents tableaux n’a pas changé pour le ninja ivre de vengeance incarné par le joueur. C’est la ville de New York qui accueillera pour cet opus le tueur solitaire. Celui-ci saura faire plaisir aux amateurs de la série et de tableaux isométriques avec son retour. Sinon, pas de quoi s’exciter avec un prix de 500 points.
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Je sais que j'ai bien dormi cette nuit, mais je ne pensais pas avoir hiberné jusqu'en 2018 !!