News 2004-05-11 2004-05-14
C'est incroyable ce qu'on peut faire avec des petits tambours ! En effet, si Donkey Konga demande d'avoir un sacré sens du rythme, l'autre jeu qui utilise les congos est pour sa part complètement différent !
IGN l'explique fort bien: il y a des concepts qui, quand on les lit sur le papier, donnent le sentiment qu'ils ne peuvent pas marcher. Et pourtant, quand on se laisse tenter par une séance de congos avec Donkey Kong Jungle Fever, on est incroyablement surpris par la facilité avec laquelle on maîtrise les commandes, et surtout par le fun proposé par le jeu !
C'est avec un jeu comme celui-là qu'on se rend compte qu'on a bien fait de créer une catégorie "Jeux étranges" pour les jeux de notre base de données, dans la mesure où DKJF n'est ni nu jeu musical, ni un jeu de plate-formes. C'est une espèce de mix entre les deux.
Imaginez-vous en train de faire courir un singe à droite, à gauche, de le faire sauter, courir, rebondir contre un mur, attraper des bananes, s'accrocher à des branches d'arbres, le tout sans joystick, mais avec deux tambours (et un microphone). Pas facile, hein ? Et pourtant, en quelques minutes, vous sauterez de branche en branche comme si vous aviez fait ca toute votre vie, en tapotant sur les congos.
Plus vous tapez vite sur un congo, plus vite il court dans la direction indiquée par le tambour. Frappez les deux congos en même temps, et Donkey saute. Frappez des mains et Donkey frappera lui aussi ! Tapotez trois fois vers la gauche, et vous verrez votre singe partir vers la gauche !
Le plus fort, c'est la possibilité de réaliser des combos, de réaliser des associations pour faire un meilleur score ou affecter plus durement l'ennemi contre lequel vous êtes en train de vous battre. N'oubliez pas non plus le rôle de vos congos dans les déplacements du primate: un des niveaux nous invite à fuir une avalanche. C'est très physique comme exercice de taper sur un congo aussi vite qu'on le peut, surtout que lorsqu'on se croit en sécurité, on est attaqué par une plante carnivore et il faut fuir de plus belle !
Si c'est amusant un moment, cela ne veut pas dire que le jeu est d'une durée de vie exceptionnelle: on a vite fait le tour des deux niveaux, et il faudra un peu moins de répétitivité pour rassasier notre soif de fun. Reste que si Nintendo arrive à donner à Donkey Kong Jungle Fever assez de punch pour nous scotcher longtemps à nos consoles, le jeu pourrait se révéler un hit only for GameCube.
Donkey Kong Jungle Fever et Donkey Konga sont deux jeux complètement différents qui pourtant utilisent les mêmes outils. Pour beaucoup, c'est une des meilleures expériences du salon, et il nous faudra attendre 2005 pour avoir le plaisir d'en profiter en Europe.
IGN l'explique fort bien: il y a des concepts qui, quand on les lit sur le papier, donnent le sentiment qu'ils ne peuvent pas marcher. Et pourtant, quand on se laisse tenter par une séance de congos avec Donkey Kong Jungle Fever, on est incroyablement surpris par la facilité avec laquelle on maîtrise les commandes, et surtout par le fun proposé par le jeu !
C'est avec un jeu comme celui-là qu'on se rend compte qu'on a bien fait de créer une catégorie "Jeux étranges" pour les jeux de notre base de données, dans la mesure où DKJF n'est ni nu jeu musical, ni un jeu de plate-formes. C'est une espèce de mix entre les deux.
Imaginez-vous en train de faire courir un singe à droite, à gauche, de le faire sauter, courir, rebondir contre un mur, attraper des bananes, s'accrocher à des branches d'arbres, le tout sans joystick, mais avec deux tambours (et un microphone). Pas facile, hein ? Et pourtant, en quelques minutes, vous sauterez de branche en branche comme si vous aviez fait ca toute votre vie, en tapotant sur les congos.
Plus vous tapez vite sur un congo, plus vite il court dans la direction indiquée par le tambour. Frappez les deux congos en même temps, et Donkey saute. Frappez des mains et Donkey frappera lui aussi ! Tapotez trois fois vers la gauche, et vous verrez votre singe partir vers la gauche !
Le plus fort, c'est la possibilité de réaliser des combos, de réaliser des associations pour faire un meilleur score ou affecter plus durement l'ennemi contre lequel vous êtes en train de vous battre. N'oubliez pas non plus le rôle de vos congos dans les déplacements du primate: un des niveaux nous invite à fuir une avalanche. C'est très physique comme exercice de taper sur un congo aussi vite qu'on le peut, surtout que lorsqu'on se croit en sécurité, on est attaqué par une plante carnivore et il faut fuir de plus belle !
Si c'est amusant un moment, cela ne veut pas dire que le jeu est d'une durée de vie exceptionnelle: on a vite fait le tour des deux niveaux, et il faudra un peu moins de répétitivité pour rassasier notre soif de fun. Reste que si Nintendo arrive à donner à Donkey Kong Jungle Fever assez de punch pour nous scotcher longtemps à nos consoles, le jeu pourrait se révéler un hit only for GameCube.
Donkey Kong Jungle Fever et Donkey Konga sont deux jeux complètement différents qui pourtant utilisent les mêmes outils. Pour beaucoup, c'est une des meilleures expériences du salon, et il nous faudra attendre 2005 pour avoir le plaisir d'en profiter en Europe.
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