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On le sait, depuis quelques années, l'Etat soutient activement l'industrie française du jeu vidéo. Il faut reconnaitre que celle-ci a connu une grave crise il y'a 4 ans. Aujourd'hui, la situation s'est améliorée. Mais elle demeure perfectible : aujourd'hui, plus de français travaillent dans l'industrie du jeu vidéo à l'étranger (2000) qu'en France (1500) ! Les nouveaux pôles du jeu vidéo que sont Vancouver, Montréal et Los Angeles attirent les cerveaux français.
Mais la France entend redevenir un pays leader du jeu vidéo. Non pas en tant que marché (elle a toujours été le cinquième marché mondial, et le troisième européen) mais en tant que terre d'origine des meilleurs développeurs et éditeurs mondiaux.
On l'a vu, les pouvoirs publics ont déjà financé la création d'une école du jeu vidéo à Angoulême (dont la première promotion est actuellement en apprentissage), et Paris projette également développer un pôle de compétitivité dans ce secteur :
>> Voir news : Paris, capitale du multimédia ?
Un nouveau pas a été aujourd'hui franchi, et nous devons reconnaitre que le gouvernement actuel semble décidément déterminé à soutenir l'industrie du jeu vidéo à la française. Ainsi, le ministre délégué à l'industrie, Patrick Devedjian, a annoncé le déblocage de 3 millions d'euros en 2005, qui viennent s'ajouter aux 10 millions déjà octroyés, pour le Fonds d'aide à l'édition multimédia (FAEM).
Cette somme représente "la possibilité de financer cette année une trentaine de nouvelles productions". Espérons que cette aide bienvenue permette de faire peser davantage le poids de la France dans le concert des éditeurs de jeux vidéo mondiaux !
Plus loin : Une exception culturelle française en jeu.
S'il y a bien un domaine dans lequel la France est et a toujours voulu resté une terre d'excellence, c'est dans la culture, avec cette fameuse "exception culturelle française" qui fait grincer bien des dents à l'étranger, mais qui est plus souvent source d'admiration.
Ainsi, la France possède la seconde industrie la plus dynamique au monde dans le secteur du cinéma, derrière Hollywood. Or, le cinéma perd de plus en plus son statut de média culturel leader, et laisse progressivement sa place au jeux vidéo. Cela n'aura échappé à personne que de plus en plus de films s'inspirent du jeu vidéo, et non le contraire ; une tendance qui est amenée à s'intensifier prochainement...
Ce soutien à l'industrie du jeu vidéo française est donc la volonté des autorités de préserver l'exception culturelle française en général, dans les nouveaux médias en particulier, et dans le cinéma accessoirement...
Mais la France entend redevenir un pays leader du jeu vidéo. Non pas en tant que marché (elle a toujours été le cinquième marché mondial, et le troisième européen) mais en tant que terre d'origine des meilleurs développeurs et éditeurs mondiaux.
On l'a vu, les pouvoirs publics ont déjà financé la création d'une école du jeu vidéo à Angoulême (dont la première promotion est actuellement en apprentissage), et Paris projette également développer un pôle de compétitivité dans ce secteur :
>> Voir news : Paris, capitale du multimédia ?
Un nouveau pas a été aujourd'hui franchi, et nous devons reconnaitre que le gouvernement actuel semble décidément déterminé à soutenir l'industrie du jeu vidéo à la française. Ainsi, le ministre délégué à l'industrie, Patrick Devedjian, a annoncé le déblocage de 3 millions d'euros en 2005, qui viennent s'ajouter aux 10 millions déjà octroyés, pour le Fonds d'aide à l'édition multimédia (FAEM).
Cette somme représente "la possibilité de financer cette année une trentaine de nouvelles productions". Espérons que cette aide bienvenue permette de faire peser davantage le poids de la France dans le concert des éditeurs de jeux vidéo mondiaux !
Plus loin : Une exception culturelle française en jeu.
S'il y a bien un domaine dans lequel la France est et a toujours voulu resté une terre d'excellence, c'est dans la culture, avec cette fameuse "exception culturelle française" qui fait grincer bien des dents à l'étranger, mais qui est plus souvent source d'admiration.
Ainsi, la France possède la seconde industrie la plus dynamique au monde dans le secteur du cinéma, derrière Hollywood. Or, le cinéma perd de plus en plus son statut de média culturel leader, et laisse progressivement sa place au jeux vidéo. Cela n'aura échappé à personne que de plus en plus de films s'inspirent du jeu vidéo, et non le contraire ; une tendance qui est amenée à s'intensifier prochainement...
Ce soutien à l'industrie du jeu vidéo française est donc la volonté des autorités de préserver l'exception culturelle française en général, dans les nouveaux médias en particulier, et dans le cinéma accessoirement...
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A mon avis y'a encore beaucoup plus de jeu tirés de film que le contraire !
J'y ai récupéré bcp de docs, et aussi me demandais si je devais faire un topic sur cette école...