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Petit rappel des faits : Nintendo avait poursuivi en justice plusieurs sociétés parce qu'elles vendaient ce que l'on appelle des linkers dont la plus connue reste la fameuse R4. L'affaire était passée devant le Tribunal de Grande Instance de Paris et Nintendo avait été débouté.
En effet, selon le TGI, l'argumentaire n'était pas assez fort, donc Nintendo "ne peut pas, en l'état actuel des choses, interdire la vente des linkers en France". Assentek, l'une des sociétés poursuivies par Nintendo enfonce le clou en insistant sur le fait que "les linkers, permettant l'utilisation d'applications tierces (homebrews, libres et légaux) ainsi que l'extension des fonctionnalités de la console en lecteur mp3, divx etc., [n'ont] rien d'illégal".
Mais Nintendo France déclarant que les linkers "portent atteinte à toute la chaîne de valeur et pas seulement à Nintendo" a décidé de faire appel comme nous l'avons appris hier face aux six distributeurs assignés. Jusqu'où ira cette histoire ? Nous verrons ce que décidera la Cours d'Appel.
En effet, selon le TGI, l'argumentaire n'était pas assez fort, donc Nintendo "ne peut pas, en l'état actuel des choses, interdire la vente des linkers en France". Assentek, l'une des sociétés poursuivies par Nintendo enfonce le clou en insistant sur le fait que "les linkers, permettant l'utilisation d'applications tierces (homebrews, libres et légaux) ainsi que l'extension des fonctionnalités de la console en lecteur mp3, divx etc., [n'ont] rien d'illégal".
Mais Nintendo France déclarant que les linkers "portent atteinte à toute la chaîne de valeur et pas seulement à Nintendo" a décidé de faire appel comme nous l'avons appris hier face aux six distributeurs assignés. Jusqu'où ira cette histoire ? Nous verrons ce que décidera la Cours d'Appel.
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Fixed.