News World of Goo (Wii)
C'est un fait : depuis quelques années, le développement des jeux a tendance à coûter de plus en plus cher. Certains titres, pouvant avoir des budgets se chiffrant en millions d'euros, peuvent faire peur à des développeurs indépendants. Pourtant, quelques exceptions apparaissent parfois, et peuvent rencontrer un franc succès, pourvu que l'idée soit bonne.
Selon Bob Carmel, un des développeurs de World of Goo, sorti sur Wiiware et plutôt salué par la critique, certains titres peuvent être réalisés avec plus de patience et d'énergie que d'argent. Pour seulement deux personnes, deux ans auront été nécessaires pour terminer le titre.
Si l'on détaille la facture, on trouve facilement de quoi être rebuté par l'idée de développer soi-même son jeu, mais les profits sont largement aussi importants. D'après Carmel, les deux développeurs auraient dépensé 96 000$, puis investi 4 000$ sur le hardware, 1 000 $ sur le software, 5 0000 $ sur les tests, 5 000$ sur le zonage du jeu et enfin 5 000 $ sur les charges légales.
Concernant le profit, et c'est une bonne nouvelle pour la Wii, il semblerait que le succès du titre soit largement plus important sur Wiiware. En effet, la commercialisation s'était faite à travers le service de la Wii, mais aussi par un site internet, ainsi que par des ventes au détail. Selon un graphique présenté par Carmel, alors que les ventes par le site internet représenteraient 25 % du total, et les ventes au détail 3%, les acquisitions Wiiware joueraient pour 60% du total.
Espérons que ces chiffres encourageront les jeunes développeurs aux idées florissantes de pouvoir exprimer leur talent, sans que l'investissement ne pose une trop grande barrière, pour le plus grand plaisir des joueurs avides de nouvelles sensations.
Selon Bob Carmel, un des développeurs de World of Goo, sorti sur Wiiware et plutôt salué par la critique, certains titres peuvent être réalisés avec plus de patience et d'énergie que d'argent. Pour seulement deux personnes, deux ans auront été nécessaires pour terminer le titre.
Si l'on détaille la facture, on trouve facilement de quoi être rebuté par l'idée de développer soi-même son jeu, mais les profits sont largement aussi importants. D'après Carmel, les deux développeurs auraient dépensé 96 000$, puis investi 4 000$ sur le hardware, 1 000 $ sur le software, 5 0000 $ sur les tests, 5 000$ sur le zonage du jeu et enfin 5 000 $ sur les charges légales.
Concernant le profit, et c'est une bonne nouvelle pour la Wii, il semblerait que le succès du titre soit largement plus important sur Wiiware. En effet, la commercialisation s'était faite à travers le service de la Wii, mais aussi par un site internet, ainsi que par des ventes au détail. Selon un graphique présenté par Carmel, alors que les ventes par le site internet représenteraient 25 % du total, et les ventes au détail 3%, les acquisitions Wiiware joueraient pour 60% du total.
Espérons que ces chiffres encourageront les jeunes développeurs aux idées florissantes de pouvoir exprimer leur talent, sans que l'investissement ne pose une trop grande barrière, pour le plus grand plaisir des joueurs avides de nouvelles sensations.
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Évidemment. Sur PC tout le monde l'a piraté, alors ils ne risquent pas de gagner grand-chose.
Par l'exemple de World of GOO, le wiiware, le PSN et le Xbox live peuvent aider certains à ce faire un nom... ça ne serai pas du luxe!
Ils ne méritent vraiment pas ça (la faillite).
[i]World Of Goo