News Atomik : RunGunJumpGun (Switch)
ATOMIK : RunGunJumpGun va faire parler la poudre sur Switch
Derrière ce nom à rallonge se cache un jeu de plateforme particulier puisque vous tirez tout le temps, en avançant ou en sautant.
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Si l'on devait trouver quelques points communs avec d'autres titres, on pourrait le surnommer le Super Meat Boy de l’espace. A classer dans la catégorie des jeux de plateforme 2D de type Runner, vous allez diriger un Collecteur, un professionnel indépendant étranger au Système Extax, qui semble ne poursuivre qu'un seul but : récupérer des Atomiks, la ressource principale de ce système solaire, qui connaît un petit problème car le soleil a commencé à se dilater et à détruire quelques planètes. Certaines théories évoquent la responsabilités des Atomiks.
Au niveau du maniement, c'est pas trop compliqué : un bouton à gauche pour tirer vers le bas et vous propulser dans les airs (pour redescendre, il faut simplement arrêter de tirer), avec le second bouton à droite, vous détruisez tout ce qui se trouve devant vous tout en courant. Voilà le concept simple du jeu et l'explication du nom du jeu RunGunJumpGun.Le problème avec tout cela, c'est qu'il n'y pas de temps mort ou de possibilité de vous arrêter dans le décor, qui regorgent de pièges mortels et d'obstacles. Bref, vous l'avez compris, vous allez mourir très très souvent.
Fan de jeu hardcore, le challenge va être au niveau de vos espoirs les plus fous : 3 mondes partagés en 40 niveaux, ce qui nous donne 120 niveaux pour mourir, chaque niveau étant entrecoupé d'une illustration avec dialogue présentant divers extra-terrestres et qui vous donnera quelques infos sur votre quête.Dès le premier monde, avec ses scies circulaires, ses pics et ses canons à boule à feu, vous allez morfler. On a même des murs explosifs ! Bref vous allez à chaque décès repartir au dernier chekpoint pour repartir dans une action qui risque de vous faire mal aux phalanges et de mettre à rude épreuve la solidité de votre matériel.
Mais le monde 1 n'est qu'un hors-d’œuvre, vous allez ensuite jouer à sortir par le haut de l'écran pour réapparaître en bas ou vous coltiner des niveaux avec de l'eau qui une fois le niveau envahi inversera la gravité du niveau.Bref, votre dextérité légendaire va être mise à rude épreuve. Après cet entraînement spécial, vous n'aurez aucun mal à coller la misère aux joueurs de Splatoon dans vos prochaines parties.
Vous pensez encore que cela va être trop facile ? Bon, on termine alors par le mode marathon, accessible quand vous avez achevé les 40 niveaux de votre monde. Le principe est simple, vous enchaînez non stop l'ensemble des 40 niveaux, chaque Atomik ramassé vous apportant un point, chaque mort vous en faisant perdre un. A la fin, on compte les points, on monte son score et on envoie si on peut bomber le torse ou en revanche se cacher pendant dix mois pour cause de score largement négatif.
Toujours trop simple ? Eh bien si vous arrivez à collecter tous les Atomiks de chaque niveau, il se murmure qu'on peut débloquer un niveau secret dans chaque monde, à la difficulté plus élevée.
Le jeu sur Switch vous réclamera 385 Mo. Il sort le 25 janvier sur votre eShop.
Source : Nintendo Everything
Au niveau du maniement, c'est pas trop compliqué : un bouton à gauche pour tirer vers le bas et vous propulser dans les airs (pour redescendre, il faut simplement arrêter de tirer), avec le second bouton à droite, vous détruisez tout ce qui se trouve devant vous tout en courant. Voilà le concept simple du jeu et l'explication du nom du jeu RunGunJumpGun.Le problème avec tout cela, c'est qu'il n'y pas de temps mort ou de possibilité de vous arrêter dans le décor, qui regorgent de pièges mortels et d'obstacles. Bref, vous l'avez compris, vous allez mourir très très souvent.
Fan de jeu hardcore, le challenge va être au niveau de vos espoirs les plus fous : 3 mondes partagés en 40 niveaux, ce qui nous donne 120 niveaux pour mourir, chaque niveau étant entrecoupé d'une illustration avec dialogue présentant divers extra-terrestres et qui vous donnera quelques infos sur votre quête.Dès le premier monde, avec ses scies circulaires, ses pics et ses canons à boule à feu, vous allez morfler. On a même des murs explosifs ! Bref vous allez à chaque décès repartir au dernier chekpoint pour repartir dans une action qui risque de vous faire mal aux phalanges et de mettre à rude épreuve la solidité de votre matériel.
Mais le monde 1 n'est qu'un hors-d’œuvre, vous allez ensuite jouer à sortir par le haut de l'écran pour réapparaître en bas ou vous coltiner des niveaux avec de l'eau qui une fois le niveau envahi inversera la gravité du niveau.Bref, votre dextérité légendaire va être mise à rude épreuve. Après cet entraînement spécial, vous n'aurez aucun mal à coller la misère aux joueurs de Splatoon dans vos prochaines parties.
RunGunJumpGun - Hard as balls neon runner [Indie Bytes]
Vous pensez encore que cela va être trop facile ? Bon, on termine alors par le mode marathon, accessible quand vous avez achevé les 40 niveaux de votre monde. Le principe est simple, vous enchaînez non stop l'ensemble des 40 niveaux, chaque Atomik ramassé vous apportant un point, chaque mort vous en faisant perdre un. A la fin, on compte les points, on monte son score et on envoie si on peut bomber le torse ou en revanche se cacher pendant dix mois pour cause de score largement négatif.
Toujours trop simple ? Eh bien si vous arrivez à collecter tous les Atomiks de chaque niveau, il se murmure qu'on peut débloquer un niveau secret dans chaque monde, à la difficulté plus élevée.
RunGunJumpGun - Launch Trailer
Source : Nintendo Everything
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