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L'OS Android pour la Switch… ou le jour où Cyanogen a tourné le dos à Nintendo
On a longtemps pensé que Nintendo proposerait un système d'exploitation ouvert pour sa nouvelle console, alors connue sous le nom de code NX. L'ancien CEO de Cyanogen, Kurt McMaster, révèle aujourd'hui que sa société aurait alors pu signer l'OS de la console.
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Kurt McMaster était jusqu'en décembre dernier le PDG d'une société appelée Cyanogen. Cette société, nous n'en avions jamais parlé, mais elle a pourtant fait plus d'une fois la Une des médias, notamment en 2015 quand, à l'occasion d'un tour de table, la société a récolté près de 30 millions de dollars pour son développement.
La société était alors connue pour un système d'exploitation open-source basé sur Android, disponible pour smartphones et tablettes. Cyanogen avait de solides ambitions, à savoir marcher sur les plate-bandes de Google, excusez du peu. A la fin de l'année dernière, la société n'a pu que constater son échec et son incapacité à faire un meilleur OS basé sur Android que Google lui-même.
Mais si l'on parle de cette société aujourd'hui, c'est parce que Nintendo l'aurait approché pour développer le système d'exploitation de sa nouvelle console. On avait pu lire à l'époque qu'Android aurait pu faire tourner l'OS de la console (voir ici, là, et là !).
L'ancien CEO de Cyanogen a indiqué que la Switch dispose d'un système d'exploitation propre, mais précise que Nintendo a utilisé certains éléments d'Android. Mais on ne parlera donc pas d'un OS Android, ce qui aurait peut-être un peu trop rapproché la Switch des téléphones portables… et des affres du piratage.
Source : NintendoLife
La société était alors connue pour un système d'exploitation open-source basé sur Android, disponible pour smartphones et tablettes. Cyanogen avait de solides ambitions, à savoir marcher sur les plate-bandes de Google, excusez du peu. A la fin de l'année dernière, la société n'a pu que constater son échec et son incapacité à faire un meilleur OS basé sur Android que Google lui-même.
Mais si l'on parle de cette société aujourd'hui, c'est parce que Nintendo l'aurait approché pour développer le système d'exploitation de sa nouvelle console. On avait pu lire à l'époque qu'Android aurait pu faire tourner l'OS de la console (voir ici, là, et là !).
L'ancien CEO de Cyanogen a indiqué que la Switch dispose d'un système d'exploitation propre, mais précise que Nintendo a utilisé certains éléments d'Android. Mais on ne parlera donc pas d'un OS Android, ce qui aurait peut-être un peu trop rapproché la Switch des téléphones portables… et des affres du piratage.
En rejetant la main tendue par Nintendo pour collaborer ensemble sur un OS, peut-être Cyanogen s'est-il alors condamné à une mort lente qui aboutira fin 2016 à la fermeture de la division consacrée à cet OS qu'ils voulaient meilleur que celui de Google, et a peut-être aussi par la même occasion empêché Nintendo d'aller plus loin dans son souhait d'un OS fonctionnant sous Android.@romainguy @dnaltews @rebelleader Was under consideration. Switch is mostly custom kernel. They used bits of android.
— Kirt McMaster (@kynprime) 21 mars 2017
Source : NintendoLife
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Ce qui est interessant dans ce tweet c est que le type se vante d'avoir dkt Non à Nintendo (faut parfois etre con pour dire non a un contrat, parfois en avoir le courage aussi) et bah il dit pas pourquoi il a dit non. C est boen joli de se vanter... mais je trouve que c est pas joli joli de dire qu il a refusé une cooperation avev une console qui rencontre un certain succes... et qu il a fermé une division...