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Cela ne vous concerne pas directement mais les professionnels du jeu vidéo. Attendu depuis un certain temps, le syndicat des développeurs indépendants français annonce que le crédit d'impôt sera assoupli car La commission des Finances de l'Assemblée Nationale vient d'adopter plusieurs amendements en faveur des développeurs, destinés à leur faciliter l'accès au crédit d'impôt. Toutefois cela reste soumis au vote de l'assemblé.
Concrètement cela signifie que pour être éligible les frais de production doivent être de 100 000 euros minimum contre 150 000 auparavant. Plus de studios devraient alors avoir la possibilité de déposer des demandes d'agrément auprès du CNC.
Une autre mesure concerne les jeux vidéo en ligne puisque la période de production s'étend à 24 mois après la mise en ligne du titre. Le principe de l'entretient et des bêtas ouvertes ou fermés est donc comptabilisé dans le budget de production ce qui n'était pas le cas auparavant où la mise en ligne du jeu signifiait son exploitation commerciale. Enfin dernière mesure, les développeurs français pourront, auprès de leur banque, obtenir une créance dans l'éventualité d'un crédit d'impôt.
Si les rouages juridiques et financiers sont plus moins rôdés à l'activité cinématographique ce n'est pas le cas du jeu vidéo qui est toujours entouré d'un certain vide juridique notamment par rapport aux droit d'auteurs.
Bref tout cela est une bonne nouvelle pour les développeurs français. Reste à savoir si cela va nous permettre à nous, joueurs, de pouvoir s'adonner à des titres de qualités.
Concrètement cela signifie que pour être éligible les frais de production doivent être de 100 000 euros minimum contre 150 000 auparavant. Plus de studios devraient alors avoir la possibilité de déposer des demandes d'agrément auprès du CNC.
Une autre mesure concerne les jeux vidéo en ligne puisque la période de production s'étend à 24 mois après la mise en ligne du titre. Le principe de l'entretient et des bêtas ouvertes ou fermés est donc comptabilisé dans le budget de production ce qui n'était pas le cas auparavant où la mise en ligne du jeu signifiait son exploitation commerciale. Enfin dernière mesure, les développeurs français pourront, auprès de leur banque, obtenir une créance dans l'éventualité d'un crédit d'impôt.
Si les rouages juridiques et financiers sont plus moins rôdés à l'activité cinématographique ce n'est pas le cas du jeu vidéo qui est toujours entouré d'un certain vide juridique notamment par rapport aux droit d'auteurs.
Bref tout cela est une bonne nouvelle pour les développeurs français. Reste à savoir si cela va nous permettre à nous, joueurs, de pouvoir s'adonner à des titres de qualités.
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Ouais enfin ça repose aussi sur une manière d'arnaquer les américains:
*Une partie du chiffre d'affaires file dans l'épargne forcée pour le film suivant
*Cette épargne n'est pas récupérable si ce film suivant est américain, même si on s'appelle Jean-Pierre Jeunet et qu'on a tourné un film en France et qui se passe en France.
Comment ça osef? :(
désolé, c'était trop tentant ... bien que véridique
Au Québec, les subventions dans le domaine du jeux vidéo sont énormes. Tellement que certains studios se plaingnent qu'il y en a trop de subvention. Ce qui est paradoxale. Mais il y a tellement de studio qui ont ouvert en un très cours laps de temps, que les programmeurs et infographes sont rendu dur à trouver et on voit surtout du vol de programmeur entre les compagnies
Sinon Waxime, ce que tu dis est étonnant. Je me vois mal grogner parce que je reçois trop de subventions !