[#MaSwitchEtMoi] Taranzagolor et ses 4 ans de vie commune avec la Switch
Il a passé 4 ans de sa vie avec la Switch, et si on vous dit qu'il a finalement passé près du quart de sa vie avec la console hybride de Nintendo, on comprend mieux qu'on lit maintenant le témoignage du cadet de l'équipe de Puissance Nintendo, Taran !
NewsEt dieu sait qu’il y en a eu, au terme de ces 4 années, des déceptions, mais aussi des surprises totalement inattendues. Que ce soit sur la scène indé, des éditeurs tiers ou des productions AAA Nintendo. Zelda Breath of the Wild, Hollow Knight, Dead Cells, Monster Hunter Rise et tant d’autres… Les titres marquants sont nombreux, si nombreux que l’on pourrait rédiger tout un article pour les citer.
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Pourtant au cours de cette dernière année, je ne ressentais plus cette envie, cette attraction qui, pour moi, a fait la force de la Switch au cours de ses premières années. Hormis Metroid Dread et Pokémon en fin d’année, les joueurs qui me donnèrent l’envie de les acheter furent rares. Que ce soit parce qu’il ne s’agit que de portage de jeux Wii U, que leur proposition ne m’intéresse pas ou que la technique ne s’avère pas être au rendez-vous.
La technique justement, parlons-en. C’est pour moi le point noir de la Switch aujourd’hui. Nombreux furent les jeux à me décevoir sur ce point et plus nombreux sont encore ceux que j’évite pour leur technique. Dernièrement, l’exemple de Légendes Pokémon: Arceus est le plus parlant de ce sentiment que je retrouve dans de nombreuses productions Switch.
Je ne suis pas à la recherche du jeu parfait graphiquement et techniquement, mais bien du minimum syndical. Un minimum syndical qu’aujourd’hui, n’est pas ne serait-ce qu’ambitionné par de nombreux développeurs. C’est hélas aujourd’hui ce point là qui me chagrine le plus, lorsque je vois des jeux comme Pokémon Légendes : Arceus où il n’y a même pas de texture, je me dis qu’il y a un problème et je passe mon chemin.
C’est quelque chose de plus en plus récurrent aujourd’hui, ce qui impacte mes heures de jeu passées sur cette console. Alors que je cumule plus de 600 heures sur Smash Bros. Ultimate et la moitié sur Zelda: Breath of the Wild, j’en suis à un point où je n’atteint même plus ce total à la fin de l’année et privilégie les expériences proposées sur plateformes concurrentes, malgré leurs bugs bien plus nombreux.
Heureusement 2022 me semble être l’année du changement. Avec une variété de jeux aussi ambitieux que travaillés et qui répondent à mes attentes techniques qui, pourtant, sont largement atteignables par la Switch, mes perspectives avec cette console qui me tient tant à cœur sont bien plus réjouissantes que l’an dernier. Kirby, Bayonetta 3, Zelda Breath of the Wild “2”, Xenoblade 3, Splatoon 3, Mario Strikers… Rien qu’avec ces quelques titres, la Switch propose enfin quelque-chose de concret, quelque-chose de qualité, qui me redonne envie d’allumer la console.
A l’aube de sa 6e année de commercialisation, les joueurs à venir de la console de Nintendo sont radieux et un avenir brillant l’attend et j’espère qu’au cours des années qui suivront, Nintendo saura nous proposer d’autres expériences pour renouveler le line-up de la Switch, tout en préparant doucement l’after-Switch que je n’attend pas avant 3-4 ans pour ma part.
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