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Nintendo dément une rumeur de licenciements massifs chez Mario Club
Nintendo confirme qu’aucun licenciement n’a eu lieu dans sa filiale Mario Club, en charge du testing de jeux vidéo, après une rumeur affirmant que 150 employés auraient perdu leur poste.
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Ces derniers jours, une rumeur surprenante a secoué la communauté Nintendo peu habituée à ce genre de nouvelle de la part de leur fabricant de prédilection : près de 150 salariés du Mario Club, le département de tests et de débogage de la firme, auraient été licenciés.
Cette information, initialement rapportée par Leakpress, a suscité de vives réactions, notamment en raison de la stabilité légendaire de Nintendo en matière de gestion de son personnel. Une attitude exceptionnelle qui avait d'ailleurs valu à Nintendo de faire figure d'exemple dans un documentaire à ne pas manquer sur YouTube sur la chaine Kombibi :
Une fois n'est pas coutume, Nintendo n’a pas tardé à démentir officiellement cette allégation, affirmant qu’aucune suppression de poste n’a eu lieu. La réputation de Nintendo serait donc indemne.
Pour rappel — nous n'avions pas encore abordé cette info car dans le contexte actuel, nous préférions attendre un peu pour avoir d'autres sons de cloches de la part d'autres médias qui, pour l'heure, ne se sont pas faits entendre, la rumeur d'hier évoquait des licenciements motivés non pas par des raisons financières, mais pour assainir l’environnement de travail, une pratique souvent qualifiée de “ménage” en interne.
Selon l'article original, Nintendo aurait pris des mesures strictes pour évincer des éléments jugés “problématiques”. Cette assertion a rapidement fait le tour des sites spécialisés et des réseaux sociaux : les fans de Nintendo ont exprimé leur surprise face à une telle information.
Nintendo a rapidement clarifié la situation dans une déclaration concise, affirmant que ces informations étaient fausses et qu’aucun licenciement n’avait été effectué chez Mario Club. Nintendo a publié un démenti dans les colonnes du site britannique Eurogamer :
Jusq'ici, Nintendo s’est toujours démarqué par une gestion respectueuse et stable de ses équipes, et ce démenti officiel semble confirmer que la société n’a pas changé d’approche. On se souvient par exemple que Satoru Iwata, lors de la débâcle Wii U, avait accepté une baisse de salaire significative, de près de 50%, prévenant ainsi tout licenciement.
Mario Club, filiale discrète mais essentielle de Nintendo, est connue pour son travail sur les tests de qualité des plus grandes franchises de la firme, notamment Super Mario Bros. Wonder, Luigi’s Mansion 2 HD et Princess Peach: Showtime!. Ces équipes sont à l’œuvre en coulisses pour garantir l’expérience de jeu fluide et irréprochable que les joueurs attendent de Nintendo.
Il est rare que Nintendo réponde à des rumeurs de la sorte, et les nouvelles sont donc plutôt rassurantes. A quelques mois d'une nouvelle génération de console et des phases de recette des jeux vidéo à venir, la période devrait plutôt être propice au recrutement qu'aux licenciements, nous verrons si le sujet revient sur la table lors de la prochaine conférence aux investisseurs, prévue le mardi 5 novembre 2024.
Sources : Eurogamer, Leakpress
Cette information, initialement rapportée par Leakpress, a suscité de vives réactions, notamment en raison de la stabilité légendaire de Nintendo en matière de gestion de son personnel. Une attitude exceptionnelle qui avait d'ailleurs valu à Nintendo de faire figure d'exemple dans un documentaire à ne pas manquer sur YouTube sur la chaine Kombibi :
Kombini - Jeu vidéo : la plus grosse crise de son histoire ? | Docu
Pour rappel — nous n'avions pas encore abordé cette info car dans le contexte actuel, nous préférions attendre un peu pour avoir d'autres sons de cloches de la part d'autres médias qui, pour l'heure, ne se sont pas faits entendre, la rumeur d'hier évoquait des licenciements motivés non pas par des raisons financières, mais pour assainir l’environnement de travail, une pratique souvent qualifiée de “ménage” en interne.
Selon l'article original, Nintendo aurait pris des mesures strictes pour évincer des éléments jugés “problématiques”. Cette assertion a rapidement fait le tour des sites spécialisés et des réseaux sociaux : les fans de Nintendo ont exprimé leur surprise face à une telle information.
Nintendo a rapidement clarifié la situation dans une déclaration concise, affirmant que ces informations étaient fausses et qu’aucun licenciement n’avait été effectué chez Mario Club. Nintendo a publié un démenti dans les colonnes du site britannique Eurogamer :
Nous avons confirmé à Mario Club Co. que les rumeurs contenues dans le rapport sont fausses.Cette clarification contraste avec des pratiques de licenciements discrets observées récemment chez d’autres grandes entreprises japonaises de jeux vidéo, comme Bandai Namco, accusée de pousser certains employés vers la sortie en les assignant à des “chambres de démission”, où ils sont privés de tâches significatives et sont donc cantonnés à des espaces restreints où ils restent sans aucune activité.
Jusq'ici, Nintendo s’est toujours démarqué par une gestion respectueuse et stable de ses équipes, et ce démenti officiel semble confirmer que la société n’a pas changé d’approche. On se souvient par exemple que Satoru Iwata, lors de la débâcle Wii U, avait accepté une baisse de salaire significative, de près de 50%, prévenant ainsi tout licenciement.
Mario Club, filiale discrète mais essentielle de Nintendo, est connue pour son travail sur les tests de qualité des plus grandes franchises de la firme, notamment Super Mario Bros. Wonder, Luigi’s Mansion 2 HD et Princess Peach: Showtime!. Ces équipes sont à l’œuvre en coulisses pour garantir l’expérience de jeu fluide et irréprochable que les joueurs attendent de Nintendo.
Il est rare que Nintendo réponde à des rumeurs de la sorte, et les nouvelles sont donc plutôt rassurantes. A quelques mois d'une nouvelle génération de console et des phases de recette des jeux vidéo à venir, la période devrait plutôt être propice au recrutement qu'aux licenciements, nous verrons si le sujet revient sur la table lors de la prochaine conférence aux investisseurs, prévue le mardi 5 novembre 2024.
Sources : Eurogamer, Leakpress
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