News Justice
Nintendo réclame désormais 9,6 milliards de yens de dommages et intérêts à COLOPL
74 millions d'euros : tel est le montant des dommages et intérêts réclamés par Nintendo à COLOPL, l'éditeur de White Cat Project, un jeu mobile qui aurait violé un brevet de Nintendo.
News
COLOPL est l'éditeur d'un jeu mobile appelé White Cat Project, un RPG qui marche bien au Japon, mais dont le studio est accusé par Nintendo d'avoir violé un de ses brevets : Nintendo réclame désormais 9,6 milliards de yens, soit 74 millions d'euros, une somme qui a doublé en l'espace de quelques semaines.
En février, nous revenions sur cette étrange situation autour d'un procès entre Nintendo et le développer de White cat Project, COLOPL. L'éditeur, sous le feu d'une action en justice, a indiqué que le montant des dommages demandés par Nintendo avait désormais atteint 9,6 milliards de yens, alors qu'il n'était que de 4,95 milliards de yens il y a quelques semaines à peine.
C'est une procédure juridique au long cours qu'a entamé Nintendo, qui a commencé par déposer une plainte contre COLOPL, avant de traduire l'éditeur en justice pour un viol de brevet en 2018. Depuis, rien n'avance, à part le montant de la compensation demandée par Nintendo.
Chez COLOPL, on reste serein et convaincu qu'aucun brevet n'a été violé. Pour autant, l'éditeur n'est pas resté inactif et a procédé à une modification du système de commande de son jeu, exclusif au marché japonais sur Android et iOS.
Source : Siliconera
En février, nous revenions sur cette étrange situation autour d'un procès entre Nintendo et le développer de White cat Project, COLOPL. L'éditeur, sous le feu d'une action en justice, a indiqué que le montant des dommages demandés par Nintendo avait désormais atteint 9,6 milliards de yens, alors qu'il n'était que de 4,95 milliards de yens il y a quelques semaines à peine.
C'est une procédure juridique au long cours qu'a entamé Nintendo, qui a commencé par déposer une plainte contre COLOPL, avant de traduire l'éditeur en justice pour un viol de brevet en 2018. Depuis, rien n'avance, à part le montant de la compensation demandée par Nintendo.
Chez COLOPL, on reste serein et convaincu qu'aucun brevet n'a été violé. Pour autant, l'éditeur n'est pas resté inactif et a procédé à une modification du système de commande de son jeu, exclusif au marché japonais sur Android et iOS.
Source : Siliconera
Cet article vous a intéressé ? Vous souhaitez réagir, engager une discussion ? Ecrivez simplement un commentaire.