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L'Union Européenne vient d'infliger une amende de 1.9 millions de dollars à Topps Co. Inc. pour avoir essayé de décourager les revendeurs de vendre leurs produits Pokémon d'un pays à l'autre.
On ne plaisante plus avec les pratiques anti-concurrentielles. Les récentes amendes infligées à Nintendo ou Microsoft en sont un flagrant exemple. Le fait est que cette fois-ci, le montant semble plus raisonnable : 1.9 millions de dollars (bien loin des 167.8 millions que Nintendo a dû payer en 2002 !)
Il faut dire que Topps Co. Inc, une société basée à New-York, l'a bien cherché: si le fait de vendre les cartes à des prix différents en fonction des revenus de chaque pays part d'une bonne intention, empêcher ou essayer d'empêcher les revendeurs d'aller vendre leurs cartes dans d'autres pays est beaucoup moins louable !
Dans un communiqué, l'UE explique que les familles des pays riches ont payé le prix fort parce que Topps a fait en sorte de les empêcher de trouver moins cher: en Finlande (ils sont plein de sous, là-bas, on dirait ;-D), les cartes Pokémon étaient deux fois plus chères qu'au Portugal.
La pratique, illégale selon la Commission, n'a pas eu l'occasion de sévir bien longtemps, la Commission ayant vite fait de prévenir Topps du risque encouru: une amende. Cela explique le fait que l'amende soit relativement acceptable, quand on sait que les produits dérivés Pokémon ont dégagé un revenu de 600 millions d'euros, rien qu'en 2000!
Précisons que Nintendo n'est pas concerné par l'affaire, dans la mesure où Topps disposait simplement d'une license pour distribuer des cartes Pokémon en Europe acquise auprès de The Pokémon Company, une filiale de Nintendo Co Ltd.
On ne plaisante plus avec les pratiques anti-concurrentielles. Les récentes amendes infligées à Nintendo ou Microsoft en sont un flagrant exemple. Le fait est que cette fois-ci, le montant semble plus raisonnable : 1.9 millions de dollars (bien loin des 167.8 millions que Nintendo a dû payer en 2002 !)
Il faut dire que Topps Co. Inc, une société basée à New-York, l'a bien cherché: si le fait de vendre les cartes à des prix différents en fonction des revenus de chaque pays part d'une bonne intention, empêcher ou essayer d'empêcher les revendeurs d'aller vendre leurs cartes dans d'autres pays est beaucoup moins louable !
Dans un communiqué, l'UE explique que les familles des pays riches ont payé le prix fort parce que Topps a fait en sorte de les empêcher de trouver moins cher: en Finlande (ils sont plein de sous, là-bas, on dirait ;-D), les cartes Pokémon étaient deux fois plus chères qu'au Portugal.
La pratique, illégale selon la Commission, n'a pas eu l'occasion de sévir bien longtemps, la Commission ayant vite fait de prévenir Topps du risque encouru: une amende. Cela explique le fait que l'amende soit relativement acceptable, quand on sait que les produits dérivés Pokémon ont dégagé un revenu de 600 millions d'euros, rien qu'en 2000!
Précisons que Nintendo n'est pas concerné par l'affaire, dans la mesure où Topps disposait simplement d'une license pour distribuer des cartes Pokémon en Europe acquise auprès de The Pokémon Company, une filiale de Nintendo Co Ltd.
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