Dossier
Castlevania, une saga mythique - La légende du comte Dracula a toujours su titiller l’imaginaire collectif, quels que soient les pays ou les générations. C’est vraisemblablement le constat qu’à fait Konami lorsque, en 1986, cet éditeur jusqu’alors inconnu aux USA et en Europe eu l’idée de créer un jeu vidéo basé sur le mythe du plus célèbre des vampires. C’est ainsi que naquit, au beau milieu des années 80, l’unes des plus célèbres saga de toute l’histoire du jeu vidéo : CASTLEVANIA.
La lutte du bien contre le mal, ou l’éternel recommencement - Castlevania, c’est l’histoire d’une lutte sans fin entre le clan Belmont et les forces du mal, personnifié par le légendaire comte Dracula. Le clan Belmont s’est développé (et c’est la l’ironie du propos) de par l’union entre les forces du bien (Sonia Belmont), et les forces du mal personnifié par Alucard, le fils renégat du célèbre comte. Chaque membre du clan aura l’honneur d’un épisode, mais le mythe de la saga est véritablement représenté par Simon Belmont. héros de 5 épisodes à travers les années. Pour vous permettre de vous y retrouver dans les explications scénaristiques de ce dossier, voici en préambule la généalogie rapide de la famille Belmont.
La lutte du bien contre le mal, ou l’éternel recommencement - Castlevania, c’est l’histoire d’une lutte sans fin entre le clan Belmont et les forces du mal, personnifié par le légendaire comte Dracula. Le clan Belmont s’est développé (et c’est la l’ironie du propos) de par l’union entre les forces du bien (Sonia Belmont), et les forces du mal personnifié par Alucard, le fils renégat du célèbre comte. Chaque membre du clan aura l’honneur d’un épisode, mais le mythe de la saga est véritablement représenté par Simon Belmont. héros de 5 épisodes à travers les années. Pour vous permettre de vous y retrouver dans les explications scénaristiques de ce dossier, voici en préambule la généalogie rapide de la famille Belmont.
Dossier rédigé par Alexandre
Le clan Belmont, cliquez pour agrandir !
Dans cette saga mouvementée, les consoles Nintendo ont été particulièrement mises à l’honneur. C’est cet historique multi plate-forme que je vais vous conter maintenant.
Nous sommes en 1691 et vous incarnez Simon Belmont, le seul homme alors à même de venir à bout de l’infâme Dracula. La réalisation de cet épisode est absolument hors pair : graphismes très travaillés pour l’époque, musiques somptueuses, dont les principaux thèmes n’auront de cesse d’être repris tout au long de la série. Un épisode référence, pour moi le plus grand jeu de la Nes avec un certain Zelda.
Contrairement au premier épisode, l’exploration est libre et les niveaux extrêmement vastes. La durée de vie s’en voit rallongé d’autant. Le jeu est assez répétitif et moins passionnant que le premier épisode. La priorité à l’action est moins grande, Konami ayant intégré à cet épisode des caractéristiques RPG (dialogues, recherches, items…) qui, je trouve, ne sied pas trop à la série.
En revanche la réalisation est resplendissante : les graphismes sont plus fins que le premier opus, et les musiques que dire…sensationnelles ! Un épisode mitigé mais très apprécié par la majorité des gamers de l’époque…
Le clan Belmont, cliquez pour agrandir !
16 ans de bons et loyaux services
Débuté en 1986, la saga Castlevania ne s’est depuis jamais interrompu. Mieux elle a eu droit à son adaptation sur un nombre extrêmement conséquent de machines à travers les époques. Que l’on ne s’y trompe pas cependant, chaque épisode à ses particularités, bonne ou moins bonnes selon les cas.Dans cette saga mouvementée, les consoles Nintendo ont été particulièrement mises à l’honneur. C’est cet historique multi plate-forme que je vais vous conter maintenant.
1986 : début de la légende
C’est en 1986, sur la plate-forme MSX, que naquit la légende. Vous y incarnez Simon Belmont, et votre destinée est de mettre fin aux jours du comte Dracula. Pour l’époque, le jeu est graphiquement superbe, le plaisir de jeu au rendez-vous, bref du tout bon sur MSX. La saga partait alors sur de très, très bonnes bases…1987-1995 : la légende faîte Nintendo
A deux exceptions près, la période 1987-1995 furent 8 années dédiées exclusivement à l’association Konami/Nintendo pour la saga Castlevania. Nes, Gameboy, Super Nintendo, toutes les plates formes Nintendo ont été mises à l’honneur avec des titres plus ou moins réussis, comme vous allez le voir ci après…1987 : la saga sur plate forme Nintendo : sortie de CASTLEVANIA
1987 est déjà l’année d’un nouveau départ pour Konami. Avec la Nes, l’éditeur japonais sait qu’il va bénéficier de la plate forme la plus puissante du moment, et va donc y consacrer une grande partie de sa saga mythique. Ainsi naquit Castlevania, jeu assez équivalent à l’épisode MSX.Nous sommes en 1691 et vous incarnez Simon Belmont, le seul homme alors à même de venir à bout de l’infâme Dracula. La réalisation de cet épisode est absolument hors pair : graphismes très travaillés pour l’époque, musiques somptueuses, dont les principaux thèmes n’auront de cesse d’être repris tout au long de la série. Un épisode référence, pour moi le plus grand jeu de la Nes avec un certain Zelda.
1988 : suite des aventures de Simon Belmont : sortie de CASTLEVANIA II Simon’s Quest
Fort du succès de son premier épisode, Konami rempile avec cet épisode qui se démarque assez de son prédécesseur niveau gameplay. L’histoire se déroule peu après la défaite de Dracula et vous, Simon Belmont, êtes victime d’une malédiction dont le but est simple : l’éradication pure et simple du clan Belmont. Vous partez alors en quêtes des morceaux de dépouille du Comte, ce afin de le ressusciter puis de le vaincre, seule solution possible pour briser le sort.Contrairement au premier épisode, l’exploration est libre et les niveaux extrêmement vastes. La durée de vie s’en voit rallongé d’autant. Le jeu est assez répétitif et moins passionnant que le premier épisode. La priorité à l’action est moins grande, Konami ayant intégré à cet épisode des caractéristiques RPG (dialogues, recherches, items…) qui, je trouve, ne sied pas trop à la série.
En revanche la réalisation est resplendissante : les graphismes sont plus fins que le premier opus, et les musiques que dire…sensationnelles ! Un épisode mitigé mais très apprécié par la majorité des gamers de l’époque…
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