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La semaine se termine, mais le plaisir peut commencer avec deux nouvelles sorties sur la Console Virtuelle de la Wii. Si le premier titre, issu de la NES, ne marquera pas les esprits, le second, issu des heures de gloire de la Super Nintendo, donnera du fil à retordre aux amateurs de shoot’em up, mais commençons par le commencement.
C’est en 1989 que les amateurs de la petite boite grise ont découvert Operation Wolf, un jeu de tir à la première personne, précurseur de Doom en version statique et publié par Taito. Le titre s’était déjà illustré sur les PC de l’époque, avec un certain succès il faut le reconnaître. Malheureusement, la NES n’est pas aussi puissante qu’un PC et cela se vérifie très vite dès les premières secondes. Le scénario place le joueur dans la peau d’un ou deux commandos parti libérer des otages en Amérique du sud.
Dans les faits, le but est simple, il faut flinguer tout le monde et secourir au passage des otages. Si le principe est relativement simple (on pointe la cible à l’écran avec la Wiimote ou une manette classique), le jeu souffre d’un inconvénient majeur qui ruine son succès : il est franchement moche ! De plus, pourquoi avoir sorti un jeu qui était un portage pas vraiment réussi à l’époque, alors que le sympathique Duck Hunt, pas franchement long mais très sympa à jouer à plusieurs, aurait pu faire l’affaire à un prix réduit ? Bref, Operation Wolf est une tentative sympa d’utiliser la Wiimote sur la Console Virtuelle, mais le résultat ne justifie pas les 500 points dépensés.
A l’époque où le shoot’em up pouvait retenir des heures un large public sur une machine d’arcade, un ovni nommé R-Type est venu marquer durablement les esprits par ses graphismes très riches et son excellente musique. En c’est donc logiquement qu’Irem a édité son succès sur Super Nintendo sous le titre Super R-Type en 1992. Que dire de ce titre fantastique si ce n’est qu’il aurait pu être légendaire si deux défauts souvent pénibles ne gâchaient pas le plaisir de jeu. Le premier est la tendance du scrolling à ralentir et à avoir des bugs d’affichage si un trop grand nombre d’ennemis apparaissent à l’écran. Une situation pas vraiment géniale quand l’action est intense.
Le second est son exceptionnelle difficulté. Il est tout à fait possible de terminer Super R-Type, mais le joueur motivé à tester son habileté à jouer a toutes les chances d’en baver passablement. Le jeu est franchement difficile et risque d’en dégoûter plus d’un. Cette particularité le destine à un public averti et avide de jeux réservés aux pros. Une situation un peu dommage pour 800 points.
C’est en 1989 que les amateurs de la petite boite grise ont découvert Operation Wolf, un jeu de tir à la première personne, précurseur de Doom en version statique et publié par Taito. Le titre s’était déjà illustré sur les PC de l’époque, avec un certain succès il faut le reconnaître. Malheureusement, la NES n’est pas aussi puissante qu’un PC et cela se vérifie très vite dès les premières secondes. Le scénario place le joueur dans la peau d’un ou deux commandos parti libérer des otages en Amérique du sud.
Dans les faits, le but est simple, il faut flinguer tout le monde et secourir au passage des otages. Si le principe est relativement simple (on pointe la cible à l’écran avec la Wiimote ou une manette classique), le jeu souffre d’un inconvénient majeur qui ruine son succès : il est franchement moche ! De plus, pourquoi avoir sorti un jeu qui était un portage pas vraiment réussi à l’époque, alors que le sympathique Duck Hunt, pas franchement long mais très sympa à jouer à plusieurs, aurait pu faire l’affaire à un prix réduit ? Bref, Operation Wolf est une tentative sympa d’utiliser la Wiimote sur la Console Virtuelle, mais le résultat ne justifie pas les 500 points dépensés.
A l’époque où le shoot’em up pouvait retenir des heures un large public sur une machine d’arcade, un ovni nommé R-Type est venu marquer durablement les esprits par ses graphismes très riches et son excellente musique. En c’est donc logiquement qu’Irem a édité son succès sur Super Nintendo sous le titre Super R-Type en 1992. Que dire de ce titre fantastique si ce n’est qu’il aurait pu être légendaire si deux défauts souvent pénibles ne gâchaient pas le plaisir de jeu. Le premier est la tendance du scrolling à ralentir et à avoir des bugs d’affichage si un trop grand nombre d’ennemis apparaissent à l’écran. Une situation pas vraiment géniale quand l’action est intense.
Le second est son exceptionnelle difficulté. Il est tout à fait possible de terminer Super R-Type, mais le joueur motivé à tester son habileté à jouer a toutes les chances d’en baver passablement. Le jeu est franchement difficile et risque d’en dégoûter plus d’un. Cette particularité le destine à un public averti et avide de jeux réservés aux pros. Une situation un peu dommage pour 800 points.
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