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La semaine du 9 mai pourrait rester dans les mémoires comme celle de tous les records. En effet, pas moins de quatre jeux, deux NEC PC Engine, une Megadrive et une Neo Geo, et non des moindres, sont sortis aujourd’hui dans le cadre du Hanabi Festival. Encore plus fort, deux de ces titres étaient totalement inconnus de votre serviteur jusqu’à aujourd’hui, ce qui est déjà un record du monde.
Ultime record pour le premier titre de cette mémorable journée, celui du scénario le plus dingue qui puisse exister dans le monde des jeux vidéos (et Dieu sait que dans ce domaine, les tentatives ont été nombreuses). En effet, Cho Aniki, un shoot’em up sorti par Masaya en 1992 pour la NEC PC Engine, propose au joueur d’incarner un super héro en collants afin de défendre la terre contre les troupes de l’Empereur de la planète Musclor (cela ne s’invente pas) cherchant désespérément de nouvelles sources de protéines pour ses aliens adeptes du body building… On se croirait dans la version proteinée du hit de Konami Parodius. Dans les faits, c’est presque le cas : les graphismes sont d’un niveau égal et la musique suit le même chemin. La maniabilité reste bonne et des options sont à récupérer pour faire évoluer le personnage volant dans tout l’écran sur fond de scrolling horizontal. Des boss plus loufoques les uns que les autres sont à battre à travers les divers niveaux du jeu. Ce titre a le redoutable avantage d’être réservé à un public qui ne souhaite pas se prendre la tête, et par ailleurs, ce jeu se classe au Japon dans la catégorie baka-ge, ce qui signifie jeu crétin en français, donc on aime ou on aime pas. Mieux vaut donc être sûr de son choix pour un prix de 900 points.
Deuxième jeu de cette mémorable journée, Break In, de Naxa Soft pour la NEC PC Engine, est un très honnête jeu de billard placé dans un univers loufoque avec des belles couleurs et de jolis graphismes. Mais un jeu de billard restera toujours un jeu de billard et ce titre se retrouve donc dans la catégorie jeu faible de la journée. Ce n’est pas son manque d’originalité qui le plombe, mais plutôt le billard en lui-même qui a connu de bien meilleures adaptations depuis. Donc un jeu pas franchement nécessaire, surtout pour 700 points.
Troisième jeu de ce vendredi, Puyo Puyo 2, sorti par Compile en 1994 sur Sega Megadrive, est un jeu de puzzle qui a connu le succès lors de sa sortie au Japon. Ce titre est une des très nombreuses variations de Tetris et le but reste similaire : faire disparaître des Puyos ainsi que diverses ordures envoyés par l’adversaire du joueur dans la fosse où les Puyos tombent. Différentes règles peuvent influencer le cours du jeu et donner la victoire. Les graphismes sont tout à fait corrects et les musiques se laissent écouter. La maniabilité reste aussi bonne. Le seul point noir reste le prix de ce titre, 900 points, ce qui reste un peu cher alors que ce titre reste dans les faits une imitation d’un titre très connu.
Dernier titre de cette fournée, le cultissime Metal Slug sorti par SNK pour la Neo Geo en 1996, a tout pour permettre de fantastiques soirées entre potes. Seul ou de préférence à deux, les joueurs évoluent dans un jeu de plateformes complètement loufoque tournant la guerre en dérision et semblant souvent repompé sur Contra. Les joueurs incarnent deux commandos bien décidés à mettre en déroute une armée de rebelles ayant volé du matériel militaire sensible. Pas de temps mort sur ce titre très axé arcade car cela tire dans tous les sens. Des prisonniers de guerres seront à sauver en chemins pour récupérer des options pour des armes ou de la nourriture pour se soigner. Des véhicules pourront être aussi volés aux soldats ennemis permettant d’augmenter temporairement la puissance de feu du joueur. Bref, pas de risque de s’ennuyer avec ce titre qui apportes ses splendides graphismes et sa bonne bande son. Son seul défaut reste son prix, 900 points, qui reste un peu cher.
Ultime record pour le premier titre de cette mémorable journée, celui du scénario le plus dingue qui puisse exister dans le monde des jeux vidéos (et Dieu sait que dans ce domaine, les tentatives ont été nombreuses). En effet, Cho Aniki, un shoot’em up sorti par Masaya en 1992 pour la NEC PC Engine, propose au joueur d’incarner un super héro en collants afin de défendre la terre contre les troupes de l’Empereur de la planète Musclor (cela ne s’invente pas) cherchant désespérément de nouvelles sources de protéines pour ses aliens adeptes du body building… On se croirait dans la version proteinée du hit de Konami Parodius. Dans les faits, c’est presque le cas : les graphismes sont d’un niveau égal et la musique suit le même chemin. La maniabilité reste bonne et des options sont à récupérer pour faire évoluer le personnage volant dans tout l’écran sur fond de scrolling horizontal. Des boss plus loufoques les uns que les autres sont à battre à travers les divers niveaux du jeu. Ce titre a le redoutable avantage d’être réservé à un public qui ne souhaite pas se prendre la tête, et par ailleurs, ce jeu se classe au Japon dans la catégorie baka-ge, ce qui signifie jeu crétin en français, donc on aime ou on aime pas. Mieux vaut donc être sûr de son choix pour un prix de 900 points.
Deuxième jeu de cette mémorable journée, Break In, de Naxa Soft pour la NEC PC Engine, est un très honnête jeu de billard placé dans un univers loufoque avec des belles couleurs et de jolis graphismes. Mais un jeu de billard restera toujours un jeu de billard et ce titre se retrouve donc dans la catégorie jeu faible de la journée. Ce n’est pas son manque d’originalité qui le plombe, mais plutôt le billard en lui-même qui a connu de bien meilleures adaptations depuis. Donc un jeu pas franchement nécessaire, surtout pour 700 points.
Troisième jeu de ce vendredi, Puyo Puyo 2, sorti par Compile en 1994 sur Sega Megadrive, est un jeu de puzzle qui a connu le succès lors de sa sortie au Japon. Ce titre est une des très nombreuses variations de Tetris et le but reste similaire : faire disparaître des Puyos ainsi que diverses ordures envoyés par l’adversaire du joueur dans la fosse où les Puyos tombent. Différentes règles peuvent influencer le cours du jeu et donner la victoire. Les graphismes sont tout à fait corrects et les musiques se laissent écouter. La maniabilité reste aussi bonne. Le seul point noir reste le prix de ce titre, 900 points, ce qui reste un peu cher alors que ce titre reste dans les faits une imitation d’un titre très connu.
Dernier titre de cette fournée, le cultissime Metal Slug sorti par SNK pour la Neo Geo en 1996, a tout pour permettre de fantastiques soirées entre potes. Seul ou de préférence à deux, les joueurs évoluent dans un jeu de plateformes complètement loufoque tournant la guerre en dérision et semblant souvent repompé sur Contra. Les joueurs incarnent deux commandos bien décidés à mettre en déroute une armée de rebelles ayant volé du matériel militaire sensible. Pas de temps mort sur ce titre très axé arcade car cela tire dans tous les sens. Des prisonniers de guerres seront à sauver en chemins pour récupérer des options pour des armes ou de la nourriture pour se soigner. Des véhicules pourront être aussi volés aux soldats ennemis permettant d’augmenter temporairement la puissance de feu du joueur. Bref, pas de risque de s’ennuyer avec ce titre qui apportes ses splendides graphismes et sa bonne bande son. Son seul défaut reste son prix, 900 points, qui reste un peu cher.
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a part le fait d éliminer des blocs qui tombent, je voit pas là .....
je deteste tétris mais j adore puyo pop