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Il ne faut pas être diplômé d'économie pour remarquer que la crise actuelle touche tous les secteurs, à quelques rares exceptions près. Parmi ces dernières, les jeux-vidéo restent relativement bien lotis avec des ventes plutôt correctes dans l'ensemble, en particulier pour Nintendo qui n'a pas pour habitude d'afficher des chiffres de ventes aussi alarmants que ceux qu'on peut trouver chez certains éditeurs tel qu'Electronic Arts, comme on vous en parlait la semaine dernière.
Cette fois, un analyste américain pense que Nintendo va bientôt subir les effets de la récession mondiale. En effet, selon lui, "les nouveaux joueurs, peu enthousiastes, voient les jeux DS et Wii comme des produits de luxe expérimentaux". Toujours selon Piers Harding-Rolls, l'analyste en question, "Alors que la récession frappe, les jeux DS et Wii ont tendance à disparaître des listes de shopping des consommateurs".
D'après les analyses de monsieur Harding-Rolls, il semblerait que ces habitudes d'achat, revues à la baisse, ne concernent que peu les core-gamers (les joueurs confirmés) dont les habitudes ne changent pas. D'autre part, comme on vous le disait la semaine dernière concernant Electronic Arts, les éditeurs devraient se concentrer sur des franchises sûres, dont la rentabilité est assurée. Il serait effectivement déraisonnable de prendre des risques trop grands en voulant créer de nouvelles marques dont le succès n'est pas garanti, comme l'affirme l'analyste.
Jusqu'ici, les ventes de Nintendo n'ont pas été mauvaises, loin de là, et on espère bien que la saison des fêtes sera l'occasion pour chacun de retrouver les titres et les consoles de Big N !
Source : Game Industry
Cette fois, un analyste américain pense que Nintendo va bientôt subir les effets de la récession mondiale. En effet, selon lui, "les nouveaux joueurs, peu enthousiastes, voient les jeux DS et Wii comme des produits de luxe expérimentaux". Toujours selon Piers Harding-Rolls, l'analyste en question, "Alors que la récession frappe, les jeux DS et Wii ont tendance à disparaître des listes de shopping des consommateurs".
D'après les analyses de monsieur Harding-Rolls, il semblerait que ces habitudes d'achat, revues à la baisse, ne concernent que peu les core-gamers (les joueurs confirmés) dont les habitudes ne changent pas. D'autre part, comme on vous le disait la semaine dernière concernant Electronic Arts, les éditeurs devraient se concentrer sur des franchises sûres, dont la rentabilité est assurée. Il serait effectivement déraisonnable de prendre des risques trop grands en voulant créer de nouvelles marques dont le succès n'est pas garanti, comme l'affirme l'analyste.
Jusqu'ici, les ventes de Nintendo n'ont pas été mauvaises, loin de là, et on espère bien que la saison des fêtes sera l'occasion pour chacun de retrouver les titres et les consoles de Big N !
Source : Game Industry
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bigN étend le marché traditionnel à un marché bien plus large donc même si potentiellement les chiffres peuvent baisser d'un côté bah ils explosent de l'autre...
Nintendo à touché un public tellement large qu'ils ne subiront pas cette crise (ou très peu) comparé à Microsoft et Sony (surtout ce dernier qui a la console la plus chère du marché).
Un hardcore gamer n'est pas unb drogué, et il ne mourra pas de faim pour se payer gears of War 2, mais probablement, avant de renoncer aux jeux vidéo, il va essayer de limer ailleurs, d'autant plus que en rapport temps passé dessus/prix, le jeu vidéo reste un loisir relativement économique, surtout pour un gamer justement.