News Pokémon X et Y (3DS)
Premières impressions sur Pokémon X & Y
A 48h de leur sortie, voici quelques impressions sur les premières minutes des nouvelles versions Pokémon.
News
La sortie de Pokémon X et Y approche, puisque dans moins de 48h, tout un chacun pourra mettre ses mains sur les nouvelles versions jumelles de la sixième génération de Pokémon. Puisque chez PN on est chanceux et que l’on a déjà reçu nos jeux, il est temps de vous livrer quelques premières impressions à chaud.
Malgré les quelques réticences émises suite à tous les tests élogieux que l’on a pu lire çà-et-là sur le net, l’excitation au moment d’ouvrir la boite était bien la même que celle ressentie pour les cinq premières générations. Et en allumant la console, on est effectivement un peu déçu : en guise d’introduction, on n’aura droit qu’à la figure d’Yveltal battant des ailes. Et ce n’est pas les quelques animations in-game auxquelles on a droit en attendant un peu, qui nous feront oublier les belles cinématiques des versions Rubis et Saphir ou encore des versions Noir et Blanc.
Heureusement, les choses se rattrapent vite. Un simple « Bienvenue dans le monde des Pokémon » suffit à nous faire retomber en enfance et à oublier ce détail malheureux. Alors que l’on choisit son personnage, comme à l’accoutumée, on est agréablement surpris de voir que l’on peut désormais choisir entre trois figures différentes. Un détail, certes, mais plutôt sympathique, dans la mesure où il donne une impression de personnalisation amusante.
Une fois la présentation de l’univers de Pokémon, c’est le grand saut vers un monde totalement nouveau, qui surprendra même les fans les plus anciens. Après s’être fait réveiller par un Passerouge qui voletait dans la maison, on s’aperçoit très vite qu’il faudra s’adapter à une toute nouvelle prise en main. Le déplacement au joystick permet de se déplacer en diagonale, et c’est une véritable révolution pour qui avait l’habitude de quatre directions. Si l’habitude doit être prise, on se sent très vite plus libre de ses mouvements, et l’on apprécie rapidement l’amélioration. On apprécie de pouvoir courir dès le début du jeu : enfin un personnage qui a appris à utiliser ses jambes sans avoir des chaussures spéciales !
On fonce alors vers l’obtention de son premier Pokémon. On est ici un peu surpris de ne pas rencontrer le professeur Platane pour l'occasion, ni avant même le premier badge, alors qu’il nous confie tout le sale boulot pour obtenir des informations sur les Pokémons de Kalos grâce au Pokédex. Les employeurs, c’est plus ce que c’était !
Blague à part, on appréhende rapidement la phase de tutoriel classique à tous les RPG. Heureusement, celle de Pokémon X et Y se fait très discrète, puisque seules quelques indications sont données au cours des dialogues introductifs. On est ainsi content de ne pas avoir à passer par des minutes interminables d’explications en tous genres, et l’on peut se contenter du traditionnel et indispensable apprentissage de la capture des Pokémon.
Et en parlant de capture, on est agréablement surpris de voir la diversité des Pokémon sauvages qui se présentent à nous dès la Route 1, ainsi que le mélange des générations. De Roucool à Keunotor en passant par Zigzaton, pour arriver à Passerouge et Sapereau, la palette est plutôt étendue, et cela laisse présager du bon pour la suite, et pour constituer son équipe à partir de générations différentes.
Toujours au sujet de la capture, on notera qu’il est plutôt bienvenu de faire gagner de l’expérience à nos Pokémon, quand bien même le combat ne se serait pas soldé par un K.O de l’adversaire. Ainsi, le dresseur qui cherche à faire de l’expérience fera l’économie de quelques combats dans les premières heures de jeu. Un détail, encore une fois, mais qui contribue à penser que l’on se trouve devant un jeu particulièrement abouti.
Et ce sentiment d’aboutissement est d’autant plus présent que les animations ont été travaillées avec un soin tout particulier. Qu’il s’agisse des premiers pas d’accélération lorsque l’on veut courir, de la main qui lance la Pokéball lorsque l’on tente d’attraper un Pokémon sauvage, ou encore des mouvements des Pokémon qui lancent leurs attaques, on est très vite émerveillé par ces petits détails qui rendent le jeu vivant, face au sentiment de statisme que l’on pouvait avoir dans les versions précédentes.
Enfin, on peut noter le changement radical d’ambiance globale, qui semble très « européenne ». Quand on nous disait que la France avait été une source d’inspiration, on ne nous avait pas menti ! Entre les vieux bâtiments et les cafés omniprésents, on reconnaitra une ambiance beaucoup plus proche de ce que l’on peut trouver en Europe qu’au Japon. Un monde vraiment nouveau que l’on a hâte vraiment de découvrir plus en profondeur.
Malgré les quelques réticences émises suite à tous les tests élogieux que l’on a pu lire çà-et-là sur le net, l’excitation au moment d’ouvrir la boite était bien la même que celle ressentie pour les cinq premières générations. Et en allumant la console, on est effectivement un peu déçu : en guise d’introduction, on n’aura droit qu’à la figure d’Yveltal battant des ailes. Et ce n’est pas les quelques animations in-game auxquelles on a droit en attendant un peu, qui nous feront oublier les belles cinématiques des versions Rubis et Saphir ou encore des versions Noir et Blanc.
Pokémon X and Y - Gameplay Trailer [Nintendo 3DS]
Heureusement, les choses se rattrapent vite. Un simple « Bienvenue dans le monde des Pokémon » suffit à nous faire retomber en enfance et à oublier ce détail malheureux. Alors que l’on choisit son personnage, comme à l’accoutumée, on est agréablement surpris de voir que l’on peut désormais choisir entre trois figures différentes. Un détail, certes, mais plutôt sympathique, dans la mesure où il donne une impression de personnalisation amusante.
Une fois la présentation de l’univers de Pokémon, c’est le grand saut vers un monde totalement nouveau, qui surprendra même les fans les plus anciens. Après s’être fait réveiller par un Passerouge qui voletait dans la maison, on s’aperçoit très vite qu’il faudra s’adapter à une toute nouvelle prise en main. Le déplacement au joystick permet de se déplacer en diagonale, et c’est une véritable révolution pour qui avait l’habitude de quatre directions. Si l’habitude doit être prise, on se sent très vite plus libre de ses mouvements, et l’on apprécie rapidement l’amélioration. On apprécie de pouvoir courir dès le début du jeu : enfin un personnage qui a appris à utiliser ses jambes sans avoir des chaussures spéciales !
On fonce alors vers l’obtention de son premier Pokémon. On est ici un peu surpris de ne pas rencontrer le professeur Platane pour l'occasion, ni avant même le premier badge, alors qu’il nous confie tout le sale boulot pour obtenir des informations sur les Pokémons de Kalos grâce au Pokédex. Les employeurs, c’est plus ce que c’était !
Blague à part, on appréhende rapidement la phase de tutoriel classique à tous les RPG. Heureusement, celle de Pokémon X et Y se fait très discrète, puisque seules quelques indications sont données au cours des dialogues introductifs. On est ainsi content de ne pas avoir à passer par des minutes interminables d’explications en tous genres, et l’on peut se contenter du traditionnel et indispensable apprentissage de la capture des Pokémon.
Et en parlant de capture, on est agréablement surpris de voir la diversité des Pokémon sauvages qui se présentent à nous dès la Route 1, ainsi que le mélange des générations. De Roucool à Keunotor en passant par Zigzaton, pour arriver à Passerouge et Sapereau, la palette est plutôt étendue, et cela laisse présager du bon pour la suite, et pour constituer son équipe à partir de générations différentes.
Toujours au sujet de la capture, on notera qu’il est plutôt bienvenu de faire gagner de l’expérience à nos Pokémon, quand bien même le combat ne se serait pas soldé par un K.O de l’adversaire. Ainsi, le dresseur qui cherche à faire de l’expérience fera l’économie de quelques combats dans les premières heures de jeu. Un détail, encore une fois, mais qui contribue à penser que l’on se trouve devant un jeu particulièrement abouti.
Et ce sentiment d’aboutissement est d’autant plus présent que les animations ont été travaillées avec un soin tout particulier. Qu’il s’agisse des premiers pas d’accélération lorsque l’on veut courir, de la main qui lance la Pokéball lorsque l’on tente d’attraper un Pokémon sauvage, ou encore des mouvements des Pokémon qui lancent leurs attaques, on est très vite émerveillé par ces petits détails qui rendent le jeu vivant, face au sentiment de statisme que l’on pouvait avoir dans les versions précédentes.
Enfin, on peut noter le changement radical d’ambiance globale, qui semble très « européenne ». Quand on nous disait que la France avait été une source d’inspiration, on ne nous avait pas menti ! Entre les vieux bâtiments et les cafés omniprésents, on reconnaitra une ambiance beaucoup plus proche de ce que l’on peut trouver en Europe qu’au Japon. Un monde vraiment nouveau que l’on a hâte vraiment de découvrir plus en profondeur.
Cet article vous a intéressé ? Vous souhaitez réagir, engager une discussion ? Ecrivez simplement un commentaire.
Bref, sinon mes premières impressions, j'ai été très agréablement surpris de voir la diversité de pokémons sauvages dès le début du jeu, plus particulièrement pour les anciens. Les combats sont géniaux, les animations, les musiques, etc. Par contre la 3D ouch ! Elle est très jolie certes, mais j'ai l'impression d'avoir pas mal de chutes de framerate avec la 3D en combat.... Je pense que je vais la désactiver du coup. Bon sinon les rollers c'est complètement incontrôlable, je privilégie la croix directionnelle. Le Multi Exp est complètement craqué, je le désactive, tant pis si je passerai des heures à XP à l'ancienne, moi ça me plaît très bien comme ça =)