Impressions de Moto Racer DS (NDS)
Moto Racer DS : un retour fracassant !
Il y a des licences que tout le monde connaît mais qui ne reste rarement chez le même éditeur... Worms de Team17 est par exemple passé entre les mains de Microprose, THQ et Sega. C'est aussi le cas de la célèbre série des Moto Racer, sortie à l'origine en 1997 sur PC et Playstation et développée par Delphine Software. Electronic Arts et Infogrames ont édité plusieurs titres mais c'est Nobilis qui vient de racheter la licence aux 7 millions de jeux vendus. Ils ont confié le développement d'une toute nouvelle version DS au studio lyonnais de Artefacts et l'on peut dire, après quelques minutes de jeux, que l'on tient vraisemblablement l'un des meilleurs jeux de course de la Nintendo DS !
Le pari de Nobilis est de sortir un Moto Racer adapté à la DS. Facile à dire, moins à réaliser. Alors que certains développeurs ont abandonné l'idée de contrôler les véhicules au stylet, Artefacts a développé un système permettant de manier son bolide très facilement. Appelé pompeusement, Stylus Precision Handling (SPH), il permet tout simplement d'accélérer, freiner et tourner en pointant le stylet au bon endroit de l'écran tactile. Pointé le stylet vers le haut de l'écran au centre et vous irez tout droit à fond. Baissez un peu le stylet en hauteur (verticalement) et vous freinez. En allant à droite ou gauche (horizontalement) vous tournez. En combinant à la fois la position horizontale et verticale du stylet, vous pouvez contrôler les motos avec une grande efficacité. C'est bête à écrire mais ce procédé fonctionne très bien, malgré les préjugés évidents. Pour les plus réticents, Artefacts a également implanté un système de contrôle classique au pad mais essayer le SPH, c'est l'adopter. Il faut néanmoins voir son utilisabilité sur la durée, c'est-à-dire sur différents types de circuits (avec plus ou moins de trajectoires délicates) avec des motos plus ou moins réactives et vérifier si les crampes n'arrivent pas rapidement.
Vidéo de notre essai
>>>> Vidéo en haute-résolution
En tout cas, Nobilis semble avoir mis les petits plats dans les grands : trois niveaux de difficulté, plusieurs angles de vues (derrière la moto, ras du sol, derrière le guidon), 32 motos (mais pas de marque), huit environnements disponibles pour 44 circuits, plusieurs modes selon le type de course : Moto GP, Traffic, Super Cross et Freestyle. C'est le point fort de Moto Racer DS. Vous pouvez faire des courses classiques Grand Prix (qui propose quatre sous-modes : Championnat, course, time trial et multijoueurs sur 18 circuits différent), rouler dans les rues ou sur des autoroutes au milieu des voitures accomplissant des missions diverses et variées comme livrer des pizzas, faire un slalom ou bien faire du Super Cross et même des figures acrobatiques grâce au stylet dans le mode Freestyle ! En effet, en enchaînant une bonne combinaison de contrôle (appuyer sur la croix puis en faisant un tracé sur l'écran tactile), vous réalisez de magnifiques acrobaties en vol. Bref, il y en a vraiment pour tous les goûts !
Impressionnant sur le papier, le jeu l'était tout autant lors de notre démo. Les différents types de course apportent une grande diversité et une durée de vie excellente et preuve que les développeurs n'ont pas fait les choses à moitié, un mode multi-joueurs local est prévu (jusqu'à 4 avec une seule cartouche et jusqu'à 8 avec une cartouche par personne). Un système de ranking sur Internet est également prévu mais il faudra enregistrer un code directement sur Internet (et non via la DS). Graphiquement étonnant, les développeurs ont réussi à tirer le meilleur de la Nintendo DS. Les environnements sont riches et variés : on retrouve même une partie de Lyon modélisée dans le mode Traffic !
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En tout cas, Nobilis semble avoir mis les petits plats dans les grands : trois niveaux de difficulté, plusieurs angles de vues (derrière la moto, ras du sol, derrière le guidon), 32 motos (mais pas de marque), huit environnements disponibles pour 44 circuits, plusieurs modes selon le type de course : Moto GP, Traffic, Super Cross et Freestyle. C'est le point fort de Moto Racer DS. Vous pouvez faire des courses classiques Grand Prix (qui propose quatre sous-modes : Championnat, course, time trial et multijoueurs sur 18 circuits différent), rouler dans les rues ou sur des autoroutes au milieu des voitures accomplissant des missions diverses et variées comme livrer des pizzas, faire un slalom ou bien faire du Super Cross et même des figures acrobatiques grâce au stylet dans le mode Freestyle ! En effet, en enchaînant une bonne combinaison de contrôle (appuyer sur la croix puis en faisant un tracé sur l'écran tactile), vous réalisez de magnifiques acrobaties en vol. Bref, il y en a vraiment pour tous les goûts !
Impressionnant sur le papier, le jeu l'était tout autant lors de notre démo. Les différents types de course apportent une grande diversité et une durée de vie excellente et preuve que les développeurs n'ont pas fait les choses à moitié, un mode multi-joueurs local est prévu (jusqu'à 4 avec une seule cartouche et jusqu'à 8 avec une cartouche par personne). Un système de ranking sur Internet est également prévu mais il faudra enregistrer un code directement sur Internet (et non via la DS). Graphiquement étonnant, les développeurs ont réussi à tirer le meilleur de la Nintendo DS. Les environnements sont riches et variés : on retrouve même une partie de Lyon modélisée dans le mode Traffic !
Moto Racer DS est ce que l'on peut appeler un jeu ambitieux. Sur le papier le jeu promet monts et merveilles et il semblerait que les développeurs tiennent parole puisque l'on pourra piloter des motos dans 4 types de courses vraiment différents (Moto GP, Traffic, Super Cross et Freestyle) dans une multitude de niveaux extrêmement bien réalisés et détaillés, seul ou en multi-joueurs. Artefacts nous prouve que la DS peut accueillir des jeux de course de qualité et n'a pas à rougir face à Race Driver et bientôt Trackmania. Nous sommes impatients de tester à nouveau le titre afin de voir si les développeurs transformeront l'essai. Peu de doute néanmoins la dessus !
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