Mieux comprendre Umbrella
Nous n'avons malheureusement pas pu essayer le jeu avec le WiiZapper, encore non disponible, nous nous sommes donc rabattus sur la jouabilité 'classique' telle que Nintendo la définit avec sa Wii : pointer, tirer, sourire en constatant l'effet obtenu. Ou trembler, car Resident Evil n'est pas du tout le jeu qui donne envie de sourire ! On n'a pas peur, mais on est inquiet.Nous avons parcouru deux niveaux de cette version de démonstration encore bien loin d'être finale ! Le premier des niveaux parcourus se déroule dans un train, le second au siège d'Umbrella Chronicles, où nous serons brièvement confronté à Weskers avant de devoir affronter une créature monstrueuse de plus.
Le jeu sur rail en effraie plus d'un : on se demande bien pourquoi ! C'est en effet un moyen comme un autre pour le développeur de nous emmener là où il veut nous emmener, de nous montrer ce qu'il veut bien nous montrer. On regrettera souvent d'être passé à côté d'un zombie endormi sans réagir, une fois que celui-ci nous saute à la gorge quelques minutes plus tard !
Tous les héros répondent 'présent' !
Pour nous défendre, on pourra bien sûr compter sur l'équipement de nos héros, dont les identités varient en fonction des volets retraversés avec ce WiiMake. Le principe reste le même d'arme en arme : on vise avec le pointeur de la WiiMote, on tire avec la gâchette. Et si par le plus grand des hasards un zombie décidait de venir vous faire un bisou mouillé dans le coup, vous pourrez toujours y aller au coup de couteau, en appuyant sur A et en agitant la manette dans tous les sens. Contre les sangsues, y'a pas mieux !On peut gérer son arsenal avec le nunchuk, en appuyant sur C. Le stick, lui, permet de regarder un peu plus large dans le périmètre de vision du jeu qui, ne l'oublions pas, se déroule sur rail. Graphiquement, tous les niveaux n'étaient pas au même... niveau, dans cette démo : le niveau venu de Resident Evil 0 était particulièrement buggué par rapport au niveau dans les sous-sols d'Umbrella Corp.
Il faut dire que les graphismes sont toujours impressionnants dans un Resident Evil : un soin tout particulier est traditionnellement accordé aux monstres auxquels nos amis sont confrontés. Le scorpion que l'on rencontre à la fin du niveau dans le train est à ce titre exemplaire : on n'a pas du tout envie de se faire planter par son dard mortel, oh que non !
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