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Une seule sortie sur la Console Virtuelle a été faite aujourd’hui au Japon. Le titre NES sélectionné est une enquête policière à texte, un type de jeu particulièrement populaire pour les joueurs nippons mais qui restera passablement obscure dans le reste du monde à moins d’être traduit.
Tantei Jingūji Saburō : Yokohama-kō Renzoku Satsujin Jiken (Detective Saburō Jingūji : Le cas du tueur en série du Port de Yokohama) est un jeu d’enquête produit pour la NES en 1988. Il faut savoir que le jeu d’enquête avec texte à option est très populaire au Japon, même si le jeu ne fait pas appel aux réflexes ou à des graphismes extraordinaires. Ce jeu pourrait un peu être comparé à une série comme Déjà Vu ou Uninvited (pour ceux qui s’en souviennent) par exemple.
Le joueur incarne un détective appelé sur un cas mystérieux qu’il faudra résoudre en rassemblant des preuves ou en interrogeant des témoins. En dépit d’un concept intéressant et peu exploité en Europe, sauf sur PC, ce titre a un problème majeur qui rend sa sortie sur le Vieux Continent passablement hypothétique : il est entièrement en japonais.
Impossible de savoir si le Colonel Moutarde (ou Wasabi puisque l’on parle ici d’une version japonaise) a assassiné Onabi Sensei dans le dojo avec un katana sans maîtriser la langue. Une seule chose reste compréhensible : son prix de 500 points.
Tantei Jingūji Saburō : Yokohama-kō Renzoku Satsujin Jiken (Detective Saburō Jingūji : Le cas du tueur en série du Port de Yokohama) est un jeu d’enquête produit pour la NES en 1988. Il faut savoir que le jeu d’enquête avec texte à option est très populaire au Japon, même si le jeu ne fait pas appel aux réflexes ou à des graphismes extraordinaires. Ce jeu pourrait un peu être comparé à une série comme Déjà Vu ou Uninvited (pour ceux qui s’en souviennent) par exemple.
Le joueur incarne un détective appelé sur un cas mystérieux qu’il faudra résoudre en rassemblant des preuves ou en interrogeant des témoins. En dépit d’un concept intéressant et peu exploité en Europe, sauf sur PC, ce titre a un problème majeur qui rend sa sortie sur le Vieux Continent passablement hypothétique : il est entièrement en japonais.
Impossible de savoir si le Colonel Moutarde (ou Wasabi puisque l’on parle ici d’une version japonaise) a assassiné Onabi Sensei dans le dojo avec un katana sans maîtriser la langue. Une seule chose reste compréhensible : son prix de 500 points.
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