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Chaque semaine, nous vous parlons dans le cadre de nos Charts des ventes de jeux au Japon. Les RPG et les jeux-qui-ne-sont-pas-des-jeux s'en sortent toujours très bien, mais est-ce la réalité ou une vue de l'esprit ?
Un marché de 7 milliards de dollars de chiffres d'affaires ne peut pas être ignoré par aucune entreprise du secteur : ce n'est pourtant que le second marché après les Etats-Unis, nous explique DFC Intelligence, un bureau d'étude qui, chaque mois, revient sur un aspect de ce secteur que nous aimons tant !
Même si beaucoup de studios japonais ont perdu de leur prestige ou ont simplement disparu, il n'en reste pas moins que les productions de l'archipel nippon jouent souvent un rôle de premier plan.
Au Japon (comme ailleurs), on ne peut pas ne pas parler du succès de Nintendo avec la DS, grâce à des logiciels et non des jeux, comme Brain Training ou Nintendogs. 22 millions de consoles plus tard, la DS est la console la plus populaire du pays, ce qui peut surprendre quand en 2005, beaucoup pensaient que Nintendo était mort, avec la domination écrasante de Sony.
Dès 2005 avec la DS, puis dès 2007 avec la Wii, on a pu voir que la chance commençait à tourner, au profit de Nintendo : DFC clame haut et fort avoir été le seul à penser que Nintendo redeviendrait leader tant au Japon qu'aux USA et en Europe, des éditeurs dévoués corps et âme à la cause Sony auraient peut-être dû écouter cette agence, même si c'est le genre de déclaration facile à faire... après coup !
Pour DFC, le succès de Nintendo est une preuve s'il en faut une qu'il faut surveiller de près ce qui se passe au Japon : d'après les mouvements sur le marché durant le premier semestre 2008, ce pourrait être au tour de Sony de connaître la gloire : depuis mars, la PSP se vend plus que la DS, sur une base mensuelle (source Enterbrain). Et si la DS regagne du terrain en août et septembre, c'est selon DFC parce que Sony s'apprête à lancer en octobre une nouvelle version de sa PSP.
Plus d'informations sont disponibles dans les Dossiers de DFC Intelligence, moyennent 2495 dollars (vous avez bien lu). En tout cas, le bureau dispose de données solides qui lui permettent de définir avec précision les chances de succès d'une machine : il semblerait que le comportent de la bête au Pays du soleil levant détermine les chances de succès dans le reste du monde.
Un marché de 7 milliards de dollars de chiffres d'affaires ne peut pas être ignoré par aucune entreprise du secteur : ce n'est pourtant que le second marché après les Etats-Unis, nous explique DFC Intelligence, un bureau d'étude qui, chaque mois, revient sur un aspect de ce secteur que nous aimons tant !
Même si beaucoup de studios japonais ont perdu de leur prestige ou ont simplement disparu, il n'en reste pas moins que les productions de l'archipel nippon jouent souvent un rôle de premier plan.
Au Japon (comme ailleurs), on ne peut pas ne pas parler du succès de Nintendo avec la DS, grâce à des logiciels et non des jeux, comme Brain Training ou Nintendogs. 22 millions de consoles plus tard, la DS est la console la plus populaire du pays, ce qui peut surprendre quand en 2005, beaucoup pensaient que Nintendo était mort, avec la domination écrasante de Sony.
Dès 2005 avec la DS, puis dès 2007 avec la Wii, on a pu voir que la chance commençait à tourner, au profit de Nintendo : DFC clame haut et fort avoir été le seul à penser que Nintendo redeviendrait leader tant au Japon qu'aux USA et en Europe, des éditeurs dévoués corps et âme à la cause Sony auraient peut-être dû écouter cette agence, même si c'est le genre de déclaration facile à faire... après coup !
Pour DFC, le succès de Nintendo est une preuve s'il en faut une qu'il faut surveiller de près ce qui se passe au Japon : d'après les mouvements sur le marché durant le premier semestre 2008, ce pourrait être au tour de Sony de connaître la gloire : depuis mars, la PSP se vend plus que la DS, sur une base mensuelle (source Enterbrain). Et si la DS regagne du terrain en août et septembre, c'est selon DFC parce que Sony s'apprête à lancer en octobre une nouvelle version de sa PSP.
Plus d'informations sont disponibles dans les Dossiers de DFC Intelligence, moyennent 2495 dollars (vous avez bien lu). En tout cas, le bureau dispose de données solides qui lui permettent de définir avec précision les chances de succès d'une machine : il semblerait que le comportent de la bête au Pays du soleil levant détermine les chances de succès dans le reste du monde.
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Ensuite, tout le monde sait que les japonais sont friands de tout ce qui peut se transporter (3G+, télé, jeux, applications, gps..). La PSP n'a pas vraiment augmenté ses ventes mais la diminution de la ds l'a mise en valeur.
Si la prochaine portative de Big N sera intéressante, on oubliera à nouveau la PSP.