Dans la presse la note est de 8/10 ou 18/20, reste à voir si le succès sera au rendez-vous ? A la question " y aura-t-il autant d’améliorations entre les deux qu’il y en avait entre notre cher Goldeneye et Perfect Dark ? ", on nous répond " oui ! " sans hésiter.
On retrouvera en effet le look fun et " cartoon " du premier opus, avec beaucoup de retouches, comme l’ajout de scènes cinématiques, l’amélioration du moteur de jeu (décors plus détaillés et interactivité plus grande avec les objets) ainsi que de l’I A (imaginez un ennemi se cachant derrière un mur ou mieux encore vous surprenant par derrière après avoir fait le tour du bâtiment…), un éditeur de niveaux revisité, et une expérience multi joueur qui promet de rester dans les annales.
Pour ceux qui ont eu la chance de le tester, on retrouve la " sensation Goldeneye ", avec ses objectifs de missions à exécuter, en prenant garde aux quelques civils que vous croiserez.
A cela se rajoute la sensation réaliste procurée par le décor (brouillard, étincelles, flammes vacillantes, liquides en ébullition, traînées de poussière, sans oublier les marques laissées par vos tirs incontrôlés…), cependant en contraste avec le design des personnages, même très bien modélisés. Ce détail pourra en freiner plus d’un, jusqu’à ce qu’ils l’aient testé ?
L’histoire
L’action se déroule dans plusieurs époques, et vous devez protéger la terre de la " racaille de l’univers ", ça vous rappelle quelque chose ?Les Timesplitters, s’ils n’existaient pas, il faudrait les inventer ! Tout porte à croire qu’ils ont été créés rien que pour nous embêter, les vilains ! Et il faut avouer qu’ils ne sont pas franchement beaux non plus ! (Pour ceux qui ont eu la " chance " de les rencontrer)
Leur seul but est de se développer aux dépends de… Nous voyons ! Et ils n’ont rien trouvé de mieux que de modifier le cours de notre histoire pour perturber l’écosystème (comme si on les avait attendus). De la Sibérie avec son KGB " local ", à la prohibition dans Chicago avec des tommygun’s (vous savez, les mitrailleuses à camembert !), avec un détour par Notre-dame et ses mystères, et le Far West pour les fans de Clint Eastwood ! Ce ne sont pas moins de 9 époques que vous devrez parcourir, pour éliminer ces créatures immondes.
Lors de chaque mission, vous aurez des objectifs principaux à remplir, auxquels se greffent des objectifs secondaires en cours de mission. Le fil conducteur étant la récupération des 9 cristaux donnant leur puissance aux Timesplitters et leur permettant de voyager dans le temps. Dans chaque époque ils seront plus ou moins associés aux malfrats préexistants, et il vous faudra démanteler les réseaux à grand renfort d’armes et d’effets visuels !
Mais pas si vite ! Car l’infiltration sera de rigueur (bourricots s’abstenir ;)), les phases de "boucherie " alternent avec celles de " sniper ", d’escorte, pose de bombes, bref, souvenirs, souvenirs… (Non ? honte sur vous !)
Comment ça fonctionne ?
TS2 présente plusieurs modes de jeu, répartis en menus et sous-menus, paramètres et options sans pour autant rendre complexe et fastidieux l’accès au jeu lui-même. Explication en image ; menus simples et clairs, avec le bouton " A " pour sélectionner et le " B " pour revenir en arrière.Comme vous pouvez le voir, au départ on a le choix entre le mode " Story ", ou vous incarnerez un chasseur spatio-temporel, le mode " Arcade " ou Multi joueur, le mode " Challenge ", permettant de débloquer des options, armes et personnages pour le mode Arcade, le " Mapmaker " ou éditeur de niveaux, et les options comprenant la gestion des commandes (vous aurez la possibilité de changer les fonctions de chaque boutons), du son et de l’image.Le mode Arcade.
Le sous-menu " League " comprend des niveaux prédéterminés avec armes, bots, et options. Et vous l’avez compris, " Custom " signifie que vous pourrez paramétrer, mais vous n’imaginez pas à quel point.On vous demandera d’abord de choisir la rapidité du jeu. Le premier degré sera pour les débutants, alors que le troisième se rapproche des modes de jeux PC les plus rapides jouables actuellement.
Ensuite vient le choix du mode de jeu (15 en tout) ; deathmatch seul ou en équipe, le mode " élimination ", ou les moins " chanceux " regarderont les autres terminer la partie, la " capture du " Bag " ", variation du mode Drapeau, le " Bag Tag " ou vous devez garder le plus longtemps possible le fameux Sac, le " Flame Tag ", touchez un adversaire avant d’être totalement consumé, le " Virus " ou tout le monde brûle, (le survivant gagne le droit de se faire soigner…) capturez les bases ennemies ou les zones (pour les amateurs de Perfect Dark), le mode " Régénération " ou vous l’avez compris, il faut faire de gros dégâts pour éliminer sa cible, le mode " Voleur " ou des " récompenses " sont laissées par les victimes, le mode " Vampire ", inverse du mode Régénération ou vous absorbez la vie des victimes, un mode ou votre taille dépendra de votre classement, et le plus amusant pour les débutants, " Assistants " ou le plus malchanceux se verra aidé par des singes armés (le nombre étant paramétrable).
L’étape suivante est la sélection du niveau, ils sont divers et variés dans la taille autant que dans le thème de base, 16 au total ; hôpital, night-club, le chinois a été repris du premier volet, cirque, rues, bref, de quoi varier les plaisirs.
Les joueurs, pourront ensuite tout paramétrer, du nombre de victimes, à la limite de temps en passant par le handicap, les power-ups, les armes, le départ avec ou sans armes, le radar, le nombre de bots (8 maximum) et leur niveau, et bien plus encore.Le dernier choix est celui du personnage à incarner, et là vous n’avez pas fini de rire !
Parmi 120 personnages différents, des Zombies à Elvis, du Canard à l’ours et à l’homme pain d’épice pour les plus amusants, de l’alien au personnel militaire de base, sans oublier les personnages classiques du jeu.
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