Impressions de Payback (GBA)
Alors que Take 2 ne semble pas se décider à sortir Grand Thieft Auto sur GameBoy Advance, la boîte de développement Apex Designs adapte Payback, un GTA-like sorti sur Amiga, pour la portable de Nintendo. En attendant l’interview de James Daniels portant sur le jeu, voici nos impressions du jeu, en exclusivité pour Puissance-Advance…
11h du matin, à l'ECTS de Londres, James Daniels nous attend au Developper's Lounge, qui permet aux développeurs sans stand de présenter leurs titres. Après quelques courts échanges, ils sort deux GBA SP de son sac, ainsi qu'un câble link. Sans crier gare, il les allume et nous en tend une. Commence alors une partie folle en multi joueurs... But du jeu : tuer l'adversaire, que ce soit en lui tirant dessus, en l'écrasant, en l'explosant... Vous avez dit sanglant ? Oui ! On est très loin des jeux tous mignon tous beaux que l'on a l'habitude de trouver sur GBA.
Le principe est en fait très proche de la production de Take 2, Grand Thieft Auto. En effet, vous êtes un petit dealer qui doit se faire un nom dans l’univers sombre de la contrebande et du trafic de drogue. Voler des voitures, provoquer des accidents, écraser les gens, tout sera bon pour se faire de l’argent et monter dans la hiérarchie. Nous avons même pu trouver un tank dans la ville… comme dans GTA. Les seules différences résident en le mode multi joueurs et certains aspects de missions d’infiltration. Bien sûr, la jouabilité est très différente.
Même si nous n'avons joué qu'en mode deux joueurs, sachez que Payback offre la possibilité de s'affronter jusqu'à 4 joueurs, avec 1 jeu par GBA. Le jeu n’inclue pas 3 villes, contrairement à ce que nous avait confié James il y a 9 mois, mais 6, qui – rappelons-le – comprennent chacune 2 niveaux de 12 missions. Au tout début du jeu une seule ville sera accessible, les autres étant à débloquer au cours du jeu.
Niveau graphismes, malgré un degré de pixellisation un peu élevé, c'est joli et agréable à l’œil, contrairement à Wolfenstein et Medal of Honor pour ne citer qu’eux. La fluidité est exemplaire, et il n’y a pas de ralentissement lors des grandes explosions ou des effusions de sang (oui, vous avez bien lu…). Mais pour pouvoir obtenir ce résultat, les développeurs de Apex Designs ont dû trouver un subterfuge : ce n’est pas le personnage (ou le véhicule) qui bouge, mais toute la carte… et pour tout vous avouer, nous ne l’avions même pas remarqué.
De plus, comme vous avez pu le lire plus haut, le jeu est bourré d’animations telles que des explosions ou des effusions de sang. Et sur ce point de vue, nous sommes tous d’accord pour dire qu’elles sont superbes ! A chaque explosion nous avions toujours le même effet de surprise ; ça fait plaisir de savoir que la GBA peut permettre de telles animations.
Nous aurions bien voulu vous donner nos impressions sur les musiques et bruitages du jeu, mais malheureusement il y avait trop de bruit pour que nous puissions donner un jugement clair et objectif.
Le principe est en fait très proche de la production de Take 2, Grand Thieft Auto. En effet, vous êtes un petit dealer qui doit se faire un nom dans l’univers sombre de la contrebande et du trafic de drogue. Voler des voitures, provoquer des accidents, écraser les gens, tout sera bon pour se faire de l’argent et monter dans la hiérarchie. Nous avons même pu trouver un tank dans la ville… comme dans GTA. Les seules différences résident en le mode multi joueurs et certains aspects de missions d’infiltration. Bien sûr, la jouabilité est très différente.
Même si nous n'avons joué qu'en mode deux joueurs, sachez que Payback offre la possibilité de s'affronter jusqu'à 4 joueurs, avec 1 jeu par GBA. Le jeu n’inclue pas 3 villes, contrairement à ce que nous avait confié James il y a 9 mois, mais 6, qui – rappelons-le – comprennent chacune 2 niveaux de 12 missions. Au tout début du jeu une seule ville sera accessible, les autres étant à débloquer au cours du jeu.
Niveau graphismes, malgré un degré de pixellisation un peu élevé, c'est joli et agréable à l’œil, contrairement à Wolfenstein et Medal of Honor pour ne citer qu’eux. La fluidité est exemplaire, et il n’y a pas de ralentissement lors des grandes explosions ou des effusions de sang (oui, vous avez bien lu…). Mais pour pouvoir obtenir ce résultat, les développeurs de Apex Designs ont dû trouver un subterfuge : ce n’est pas le personnage (ou le véhicule) qui bouge, mais toute la carte… et pour tout vous avouer, nous ne l’avions même pas remarqué.
De plus, comme vous avez pu le lire plus haut, le jeu est bourré d’animations telles que des explosions ou des effusions de sang. Et sur ce point de vue, nous sommes tous d’accord pour dire qu’elles sont superbes ! A chaque explosion nous avions toujours le même effet de surprise ; ça fait plaisir de savoir que la GBA peut permettre de telles animations.
Nous aurions bien voulu vous donner nos impressions sur les musiques et bruitages du jeu, mais malheureusement il y avait trop de bruit pour que nous puissions donner un jugement clair et objectif.
Apex Design est encore à la recherche d’un éditeur pour son jeu. Plusieurs rendez-vous ont été conclus mais il n’y a encore aucune certitude quant à la chance pour Apex de voir son jeu en rayon dans les prochains mois. Mais nul doute qu’un jeu dont le développement est presque achevé devrait intéresser plus d’un éditeur !
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