Eh toi, face de casual !
On a déjà parlé d'Alexandra Ledermann, mais ce n'est là qu'un des nombreux jeux sur lesquels planche Ubi en vue des Fêtes de fin d'année. Ce qu'Ubi veut faire, c'est proposer des jeux pour tous. Après tout, il n'y a aucune raison qu'un jeu comme Cranium ne puisse plaire qu'à un groupe de joueurs et non à tous.Cranium est une annonce toute récente d'Ubisoft, et l'octroi de cette licence était un voeu fort d'Yves Guillemot, qui a dû appeler lui-même l'éditeur du jeu de société Cranium pour pouvoir l'adapter en jeu vidéo. Avec Pierre Dumas, qui a beaucoup réfléchi à cette histoire de joueurs qui ne sont pas des joueurs et en est venu à simplement détester cette appellation de casual gamer, nous avons passé un moment en compagnie de Cranium. Qui d'autre que le producteur de Cranium, basé à Ubisoft Montréal, pouvait nous parler de Cranium et de ses milliers de questions.
Une adaptation fidèle du jeu de plateau
Cette version consoles de Cranium est comme le jeu de plateau du même nom : pourquoi faire quelque chose de différent quand on se base sur un produit vendu à 22 millions d'exemplaires dans le monde ? Cranium est génialement populaire parce qu'il exploite toutes les formes d'intelligence, qu'on soit plutôt artiste ou au contraire plutôt intello.Le jeu que nous avons essayé est un genre de Dessinez c'est gagné. Le mot à dessiner ne peut être lu que par le joueur qui porte les lunettes spéciales, et les autres joueurs doivent deviner ce qui est dessiné avec la WiiMote à l'écran.
On peut composer des équipes de plusieurs joueurs. Ce qui importe, c'est d'intéragir avec les autres : l'aspect social qu'on retrouve dans le jeu de société devrait en effet être aussi présent dans cette version consoles de Cranium. Jusqu'à 16 joueurs, c'est encore sympa, les tests à 170 faits chez Ubi n'ont pas toujours été très concluants !
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