Jeune roi cherche terrain vague pour construction.
Autant le dire tout de suite, FFCC : my life as a king est le jeu qui nous a le plus déçu. On rêve tant de RPG Final Fantasy qu'on en oublierait presque que Square-Enix est parfaitement capable de proposer un jeu 'inspiré' de son univers, sans pour autant nous proposer une expérience qui y ressemble. Car ce FFCC : my life as a king est une simulation de construction de ville. Espérons que l'expérience que nous en aurons une fois le jeu sorti, sur la durée, nous permettra de changer d'avis par rapport à un jeu qui, après une vingtaine de minutes passées en compagnie de Square, nous a semblé bien fade par rapport à l'extraordinaire aventure qu'aurait pu constituer un FFCC sur WiiWare ! Les fans de RPG repasseront, les fans de simulation, eux, pourront peut-être y trouver leur compte.Chaque jour, vous prenez conscience de l'évolution de la situation, de l'avancée de vos personnages partis en mission dans les quatre coins du Royaume. Pendant ce temps, vous construisez : ici une halle d'entraînement pour aventuriers, là un centre d'entraînement pour magiciens, ailleurs une auberge pour se reposer.
Votre roi pourra compter sur 4 types de personnages pour développer son royaume : des voleurs, des guerriers, des magiciens spécialistes en magie blanche, d'autres en magie noire. Votre rôle sera de faire en sorte que vos sujets soient heureux, on pourra d'ailleurs connaître leur état d'esprit en consultant les icônes situées au-dessus de leur tête : un petit sac indique une passion pour le shopping, une épée un départ imminent pour l'aventure, un smiley heureux le bonheur ou un smiley malheureux la tristesse. Un point d'exclamation indique que le personnage a quelque chose d'important à dire.
Argent... Trop cher !
Tout se monnaie dans FFCC : My life as a king. Il faudra en effet débourser pour améliorer les installations créées : les combattants auront besoin d'amliorer leurs aptitudes pour combattre des ennemis de plus en plus puissants.Il faudra 30 à 40 heures pour compléter cette simulation archi-complète : il sera ainsi possible de consulter des informations sur les citoyens, de leur bonheur dépendront vos ressources financières. Si les aventuriers sont importants, ils sont chers : il faut les entraîner, développer leurs aptitudes, les équiper aussi. Certains items ne seront pas disponibles avant qu'une certaine tâche ne soit accomplie.
Pour construire, notre roi pourra compter sur l'aide d'un architecte qui apparaîtra dès qu'on secoue la WiiMote : on choisit un emplacement, un type de bâtiment à construire, et hop la bâtisse apparaît, comme par magie. Les premiers jours passés au village permettront au joueur de maîtriser toute la subtilité de cette simulation royale : jour après jour, les tableaux de bord donnent le la en matière de gestion financière, d'accomplissement de missions. Certaines ne pourront être acceptées que si nos aventuriers sont prêts : le niveau d'expérience, de 1 à 99, doit bien servir à quelque chose, non ?
Toute décision a son importance.
La disposition des bâtiments jouera son propre rôle : l'arsenal d'un magasin sera donc différent selon sa localisation géographique dans le village. Toute maison située près du temple permettra de disposer de leçonss gratuites, enfin une bonne nouvelle dans ce monde régulé par l'argent !On l'a dit, on est un peu déçu que FFCC : my life as a king ne soit pas un RPG mais une simulation. En plus du jeu initial, les joueurs pourront acquérir des packs : un dungeon pack, des house packs, des costumes... Tous ces packs auront un prix variant en fonction du type de pack en question : ainsi, le Dungeon Pack coûtera 300 points pour 11 nouveaux dongeons à explorer. De nouvelles maisons coûteront 300 points chacune, mais un bundle de trois sera proposé pour 800 points. Si vous décidez de vous offrir de nouveaux costumes, il vous en coûtera 100 points, de même que pour les maisons luxueuses, qui permettent d'héberger plus de monde sous le même toit.
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