Parlons un peu plus du jeu. Le scénario tout d'abord : simple mais efficace. La jeune soeur de notre compère Banjo a été enlevée par une vile et laide sorcière nommée Grunntila. Celle-ci veut lui voler sa beauté, car Tooty (la soeur de Banjo) a été élue comme la fille la plus jolie du pays. c'est pas compliqué, mais ça met tout de suite dans l'atmosphère du jeu : gentil. En effet, pas de tuerie ou de meurtres à la Resident Evil. Pour preuve, votre récolte : 100 notes de musiques par niveau, et des pièces de puzzle pour construire les tableaux grâce auxquels vous pourrez rentrer dans les différents mondes.
Comme tout jeu de Nintendo, Banjo-Kazooie est destiné aux plus jeunes. Mais on est tous morts d'envie de jouer à ce soft, dont l'achat se révèle être un excellent choix ! Banjo-Kazooie subit néanmoins la concurrence d'un autre soft, et elle est de taille : Super Mario 64, qui n'est rien que le premier bijou de Nintendo sur sa console 64 bits. Néanmoins, Banjo-Kazooie est vraiment plus abouti, les graphismes sont plus beaux. Mais... Mario a créé une véritable révolution dans le jeu vidéo avec un univers tout en 3D. C'est donc le plombier qui remporte la partie.
Côté réalisation, Banjo-Kazooie est parfait : les graphismes sont splendides, les saccades sont inexistantes, la maniabilité sans faille, les sons hyper-trognons.
Cet article vous a intéressé ? Vous souhaitez réagir, engager une discussion ? Ecrivez simplement un commentaire.