Test de Fluffy Cubed : speedrun pour tous
Fluffy Cubed a été créé en s’inspirant de Sokoban, un célèbre jeu de box-trap inventé au Japon en 1982 qui consiste à ranger des caisses dans un entrepôt en les poussant.
TestBasique, simple
Voilà deux mots qui résument la totalité du jeu. Dès l’écran de démarrage, le minimalisme est annoncé. On a trois icônes: une pour lancer la partie, une pour accéder au panneau des stages et une dernière pour les paramètres.Le but du jeu est de déplacer des caisses sur des cases indiquées en rouge, en les poussant à l’aide de notre personnage, un cube blanc qui représente un chat. On avance de stage en stage avec une facilité déconcertante. On ne rencontre pas le moindre challenge et il ne nous faudra pas plus d’une vingtaine de minutes pour arriver à la moitié du jeu.
Des caisses s’ajoutent à certains paliers de niveaux. De quoi pimenter la partie me direz vous ! C’est avec déception que l’on constate que cela ne fait aucune différence. On ne se fait aucun nœud au cerveau tant il existe de combinaisons de déplacements possibles pour résoudre chaque puzzle.
Pour ce qui est de l’ambiance, Fluffy Cubed se veut mignon et relaxant. Effectivement, les graphismes sont minimalistes, géométriques, aux couleurs pastelles et la musique est douce et céleste. En revanche, on ne relève aucune différence entre chaque stage. Tout se ressemble, on est confronté à des grilles de cases qui semblent presque aléatoires et on a souvent l’impression de refaire un niveau pour la deuxième fois.Enfin, le minimalisme est poussé jusqu’aux contrôles. On utilise les flèches directionnelles ou le joystick gauche pour se déplacer, et c’est tout. Le personnage, un peu flottant, glisse de case en case pour avancer. Une prise en main aussi facile que le reste du jeu, le rendant accessible aux plus débutants.
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