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Piratage : La France donne raison à Nintendo
Le 26 septembre, la Cour d'Appel de Paris a condamné plusieurs société à payer des dommages et intérêts à hauteur de 4,8 millions d'Euros à Nintendo.
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La Cour d'Appel de Paris a le 26 septembre rendu son verdict dans le procès qui opposait Nintendo à six entreprises françaises parmi lesquelles Divineo SARL : Nintendo devrait toucher 4,8 millions d'Euros de dommages et intérêts, tandis que les coupables sont par ailleurs condamnés à verser 460 000 Euros d'amende. Des peines de prison avec sursis ont également été prononcées.
Le message devrait maintenant être entendu : plus personne ne plaisante au sujet des Linkers, ces appareils qui permettent de jouer aux jeux DS en les téléchargeant sur Internet. Cette victoire pour Nintendo va de pair avec des décisions semblables prises dans plusieurs pays d'Europe (Allemagne, Belgique, Royaume-Uni, Italie et Pays-Bas).
Stephan Bole, le Directeur Général de Nintendo France, a déclaré :
Parmi les sociétés condamnées, la SARL Divinéo fait l'objet depuis octobre 2010 d'une procédure de sauvegarde, une démarche qui permet à une société de ne pas régler ses créanciers, le temps de se restructurer. Cette procédure existe dans le droit français depuis 2005 et a déjà été utilisée par deux fois par cette société.
Le message devrait maintenant être entendu : plus personne ne plaisante au sujet des Linkers, ces appareils qui permettent de jouer aux jeux DS en les téléchargeant sur Internet. Cette victoire pour Nintendo va de pair avec des décisions semblables prises dans plusieurs pays d'Europe (Allemagne, Belgique, Royaume-Uni, Italie et Pays-Bas).
Stephan Bole, le Directeur Général de Nintendo France, a déclaré :
Nintendo a initié ces poursuites pénales non seulement dans son propre intérêt mais aussi dans celui de ses partenaires qui investissent beaucoup de temps et d'argent à développer, éditer et vendre des jeux vidéo pour ses consoles, de même que dans celui des consommateurs qui attendent légitimement d'un produit Nintendo qu'il corresponde aux exigences de qualité qui sont celles de la marque
Pour en savoir plus
Rappelons que si la seconde plus haute chambre française a été sollicitée en appel, c'est parce qu'en 2009, le Tribunal de Paris avait pour sa part déclaré légales les flash cards : au lieu de punir ceux qui facilitaient la duplication de jeux, le tribunal avait condamné Nintendo. Aberrant, mais le raisonnement du juge était alors le suivant : ce sont les protections mises en place par Nintendo pour obliger les éditeurs à passer par ses usines de fabrication de cartouches qui ont créé cette situation (voir cette info de HDLB parue sur PN le 4 décembre 2009).Parmi les sociétés condamnées, la SARL Divinéo fait l'objet depuis octobre 2010 d'une procédure de sauvegarde, une démarche qui permet à une société de ne pas régler ses créanciers, le temps de se restructurer. Cette procédure existe dans le droit français depuis 2005 et a déjà été utilisée par deux fois par cette société.
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Ça change pas mal de choses si c'est ça.
je pense pas trop !!!
Trouvé une Ri4 sur le net reste super simple à trouvé, si t'on site est héberge au Pakistan il livre le truc et basta !! Apres faire des procédure juridique dans certain pays reste super lourd !!
Apres nintendo ne peux agir que dans les pays où il peuvent faire quelque chose ; en chine par exemple il peuvent rien faire et le piratage la bas c'est aussi rependu que le TAI-CHI !!
Et pourtant...
Si Nintendo avait vraiment perdu, ils auraient encouru le risque de passer d'une situation vraiment pas rose (actuelle) à une situation carrément catastrophique. Ils ont frôlé le pire, ou pas loin.
Et ça ne concerne d'ailleurs pas que Nintendo.
alors certes les R4 reste facilement trouvable sur le net, mais la mère de famille qui trouve la cartouche en boutique dur a 5 minute de chez elle , ou être obligé de laisser son numéro de carte bancaire sur un site internet non hébergé en france, je te garantie que l'effet est immediat et la différence sera flagrante.
bref pour les connaisseurs que la plupart d'entre nous somme ca changera rien, au fait d'internet et ce qui l'entoure, on pourra toujours trouver les cartes, mais faire croire qu'on peu légalement acheter ces carte pour mettre les dernier jeux sorties dans la console du petit dernier pose quand même un gros problème de conscience.
C'est vrais que sur ce point là t'a pas tord !!
Pour la PS1, à l'époque il suffisait d'un action replay et du cd gravé. (enfin, ça ne pouvait fonctionner sur les PS One.)
pour moi les contraintes ne sont pas du tout les même qu'à l'époque, la mentalité des parents non plus d'ailleurs.
C'est pas parce que tu t'es fait enculer à acheter des jeux piratés 50 frs pièce (:lol:) et castrer par tes parents que tu dois en faire une généralité
???!!???!!
Comment ? yé ne couprend pach... Yé croa qué c'est mêmech prich pou tout da mundo ? Yé croa qué tou na pas bien lou son texto;
Pit56 Encoulé? Non yé né croa pach, mais la piraterie à grundo échelle encoule bien nostre passionnata à touch : Lé jou vidéoch
L'argument à l'époque (j'étais au collège donc paie tes arguments de ouf) c'était : sur Play tu peux mettre des jeux piratés. Et c'était vraiment ultra répandu, et tous les jeux y passaient justement. En général tu payais que le cd si un pote te le faisait. #pigeon :p