Comme dans 007, cette même base aura évolué à votre prochain passage, c'est à dire à la fin du jeu. On sent bien l'atmosphère de la série TV (et surtout du film), surtout dans les célèbres gadgets de ahute-technologie. Ce n'est que la première mission d'une longue série à travers le monde. Démasquer un traître, secourir vos camarades et pirater un ordinateur deviendront bientôt une routine quotidienne.
Deux niveaux de difficulté sont disponibles: le mode 'possible' et 'impossible'. Le mode 'impossible', d'ailleurs, ne l'est pas vraiment, car à part quelques objectifs en plus, ce n'est qu'au dernier niveau que ça devient vraiment difficile. La seule utilité est que dans le niveau bonus, que vous obitendrez si vosu avez le courage de regarder le générique de fin en entiervous avez tout votre temps pour découvrir l'équipe de développement et apprécier leurs sages paroles.
Les déplacements ne rappellent pas vraiment Zelda et les sauts doivents êtres bien calculés. Par contre, les coups de poing sont beaucoup plus réalistes que les claques de James Bond. La vue Est à la 3e personne, mais dès que vous visez (différentes armes sont mises à votre disposition, du Uzi au lance-fusées), votre personnage devient transparent et la caméra change de position pour vous permettre de mieux tirer.
Mais si l'ambiance est plus pacifique que celle de Goldeneye, le hit de Rare possède des graphismes beaucoup plus détaillés. En effet, les décors de Mission: Impossible sont moches et manquent de détails. Quant aux musiques, elles ne sont pas vraiment originales et se contentent souvent de reprendre les thèmes de la série.
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