Test de Razmockets à Paris (N64)
Cours de psychologie vidéo-ludique du Dr Sigmund : 'Aujourd'hui, mes cher étudiants, nous allons étudier la réaction d'un joueur confronté à un certain type de jeu que vous devrez être capable de qualifier à la fin de ce petit test. Pour cela, Mr X. T. a bien voulu se prêter à une petite expérience. Il a va rester 1h dans une pièce isolé et insonorisé afin de jouer au jeu 'Les Razmoket à Paris'. Nous examinerons ensuite les conséquences de cette exposition sur son état psychique…'
Test rédigé par Killyox
Laissons le pauvre X. T. entre les mains du Dr Sigmund et occupons nous plutôt de ce jeu. Les Razmoket à Paris c'est le jeu, tiré du film lui même tiré de la série télé 'Les Razmoket', qui met en scène les tribulations d'une bande de bébés. Cette fois ci, c'est dans notre belle capitale qu'ils exercent leurs méfaits. L'un de leurs parents est l'inventeur du robot-dinosaure géant, attraction principale du parc Euroreptarland, et qui connaît quelques difficultés techniques.
D'abord, attribuons un mérite à ce jeu. Il est, à ma connaissance, le premier jeu… pour manchot de l'histoire du jeu vidéo. Enfin, nos malheureux amis handicapés pourront goûter les joies (sic) d'un jeu vidéo. Et pour nous autres, qui avons la chance de posséder nos deux mains, nous pouvons toujours, à l'image du testeur de Game One, manger des chips tout en jouant.
Voilà le coté pratique de la chose. Mais en réfléchissant, on se rend compte qu'un jeu se jouant uniquement au stick analogique doit être forcément très répétitif. C'est bien le cas, en effet. Vous allez passez votre temps à parcourir les différents niveaux du jeu (et qui sont des parties du parc d'attractions) à la recherche de tickets vous permettont par troc d'obtenir divers objets dont le très convoité casque du Robot Reptar et ainsi de vaincre l'Escargot robot. Quelques niveaux bonus, comme le mini-golf ou le tir aux canards, vous changeront un peu les idées.
Au niveau des graphismes, le jeu est pauvre en couleur et pas très attrayants. La bande son s'écoute sans trop de problème. L'animation est médiocre. Quant à la jouabilité, elle se révèle à certains endroits très mauvaise, rendant le jeu difficile pour les enfants, cible du jeu. On peut d'ailleurs se demander si les gars qui distribuent ce jeu ont penser que les petits frenchies ne comprennent pas forcément l'anglais à leur âge. Il faut croire que non, car le jeu n'est même pas traduit, et cela certainement pour le faire sortir en même temps que le film.
Laissons le pauvre X. T. entre les mains du Dr Sigmund et occupons nous plutôt de ce jeu. Les Razmoket à Paris c'est le jeu, tiré du film lui même tiré de la série télé 'Les Razmoket', qui met en scène les tribulations d'une bande de bébés. Cette fois ci, c'est dans notre belle capitale qu'ils exercent leurs méfaits. L'un de leurs parents est l'inventeur du robot-dinosaure géant, attraction principale du parc Euroreptarland, et qui connaît quelques difficultés techniques.
D'abord, attribuons un mérite à ce jeu. Il est, à ma connaissance, le premier jeu… pour manchot de l'histoire du jeu vidéo. Enfin, nos malheureux amis handicapés pourront goûter les joies (sic) d'un jeu vidéo. Et pour nous autres, qui avons la chance de posséder nos deux mains, nous pouvons toujours, à l'image du testeur de Game One, manger des chips tout en jouant.
Voilà le coté pratique de la chose. Mais en réfléchissant, on se rend compte qu'un jeu se jouant uniquement au stick analogique doit être forcément très répétitif. C'est bien le cas, en effet. Vous allez passez votre temps à parcourir les différents niveaux du jeu (et qui sont des parties du parc d'attractions) à la recherche de tickets vous permettont par troc d'obtenir divers objets dont le très convoité casque du Robot Reptar et ainsi de vaincre l'Escargot robot. Quelques niveaux bonus, comme le mini-golf ou le tir aux canards, vous changeront un peu les idées.
Au niveau des graphismes, le jeu est pauvre en couleur et pas très attrayants. La bande son s'écoute sans trop de problème. L'animation est médiocre. Quant à la jouabilité, elle se révèle à certains endroits très mauvaise, rendant le jeu difficile pour les enfants, cible du jeu. On peut d'ailleurs se demander si les gars qui distribuent ce jeu ont penser que les petits frenchies ne comprennent pas forcément l'anglais à leur âge. Il faut croire que non, car le jeu n'est même pas traduit, et cela certainement pour le faire sortir en même temps que le film.
Franchement, le jeu ne s'adresse à personne. Les plus âgés des joueurs trouveront le jeu trop répétitif, peu attrayant et n'accrocheront pas à l'univers. Quant aux enfants, la difficulté de jeu et de compréhension rend le jeu peu accessible par eux. Pour terminer, revenons à l'expérience du Dr Sigmund et aux conclusions (censurés car trop de détails scabreux) qui en tirent : 'Vous pouvez remarquez le teint jaune de Mr X. T. […] ainsi que le profond dégoût qu'il éprouve en pensant à ce jeu […] ou encore le tremblement de ces mains. Ce sont les principaux signes cliniques d'une dépression vidéo-ludique. Nous pouvons donc conclure en disant que ce jeu est une 'daube', pour employer un terme vulgaire […]'
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