Test de Catmaze, le metroidvania plein de chat-llenge !
Un metroidvania qui conte les mythes slaves avec plein de chats, de compagnons
mignons et de champignons où on joue une sorcière. Bienvenue dans Catmaze !
Chat raconte quoi ?
C’est l’histoire d’Alesta, une jeune sorcière qui doit venir en aide à sa mère trop malade pour aller chercher les herbes qui lui serviront à fabriquer un remède à ses maux. Encouragé par l’amour indéfectible de sa mère, nous voilà parti pour la forêt de l’ouest afin de trouver ce qu’il lui faut. Évidemment, le chemin est semé d’embûches, mais heureusement on est accompagné de différents familiers pour nous assister dans notre mission. Chauve-souris, hérisson, créature ou chat, toute la mécanique de jeu repose sur ces précieux compagnons.Avec Catmaze, on retrouve tous les codes du metroidvania. On peut faire évoluer notre personnage et décider de l’équiper facilement de ses familiers, potions et amulettes et utiliser les objets sans trop d’encombres. On retrouve ces objets dans divers lieux de la carte qui, comme le veut le genre, nous force à faire des allers-retours. Pour trouver son chemin dans ce grand labyrinthe, on a besoin de l’aide des familiers. En effet, ils sont chacun dotés d’un pouvoir spécifique qui nous aide à avancer. Mais pas que ! Ils sont aussi très utiles au combat.Parmi les obstacles rencontrés, on a les ennemis. Toutes sortes de champignons ou slimes qui possèdent chacun des patterns différents. Pour les vaincre, on dispose d’une attaque au corps à corps qui consiste à lancer le familier en avant en appuyant sur Y. C’est là qu’on rencontre notre problème. Il y a un temps de latence entre le moment où on lance l’attaque et le moment où familier va toucher l’ennemi. On est souvent face à des situations qui semblent insolubles à cause de la pauvre réactivité des attaques. On finit par s’adapter et on essaye d’anticiper au maximum les coups que l’on va porter. Il y a aussi l’attaque à distance avec le bouton A, qui varie en fonction de la créature dont on est équipé.
Notons que l’erreur n’est pas vraiment permise. Les hitbox des personnages semblent par moment imprécises, ce qui provoque facilement des dommages non anticipés qui mènent parfois à la mort. Là aussi, on ne peut que vous dire de penser à sauvegarder souvent. Bien que tout le sel du metroidvania réside ici, la défaite semble injuste lorsque c’est dû à une programmation maladroite. C’est un aspect décourageant.
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