Test de NES Classic : Castlevania (GBA)
Il y a presque vingt ans, soit 1987, un jeu mystérieux se nommant Castlevania en Europe et Dracula au Japon, fit son apparition sur la Nintendo Entertaiment System. Ce jeu fut la genèse d’une grande série. Et le revoilà : après sa dernière réédition sur PS ONE, il ressort pour les fanatiques de nostalgie sur le Game Boy Advance en 2005. Sera-t-il encore à la hauteur, vous le saurez dans le test !
Test rédigé par Hautier
Il faut savoir que le héros se nomme Simon Belmont, l’héritier des ‘Vampire killers’. Notre héros s’arme de son fouet et passe la grille du territoire du comte. Mais le chemin est long et semé d’embûche.
Il faut savoir que le jeu possède six niveaux, ces niveaux comportent trois sous-niveaux. Pour passer d’un sous niveau à l’autre il suffit d’ouvrir une porte.
Sachant que la version originale de ce jeu était très difficile, Konami a pensé à mettre dans la cartouche une pile de sauvegarde. Après avoir battu un boss, il suffit de faire une manipulation très simple : il suffit en effet d’appuyer sur L et R en même temps lorsque vous êtes sur la carte du château.
La jouabilité est correcte vue que le personnage à une palette de mouvement très limitée, ce qui rend le jeu très difficile. La durée de vie est assez grande, car il faut savoir que les six niveaux sont divisés en trois sous niveaux tous séparés par une porte. Mais pour finir ce jeu il faut compter sur quelques heures, le temps de prendre le jeu en mains. La bande-son est correcte pour un jeu de l’époque, elle joue un rôle prépondérant dans l’ambiance du soft.
L’histoire:
En Transylvanie, lorsque le mal se réveille, des braves se dressent contre le mal, comme pour le roman de Bram Stocker (Dracula), l’ennemi principal du jeu, s’est le Comte Dracula.Il faut savoir que le héros se nomme Simon Belmont, l’héritier des ‘Vampire killers’. Notre héros s’arme de son fouet et passe la grille du territoire du comte. Mais le chemin est long et semé d’embûche.
Le système de jeu
Eh oui ! Ce jeu a lancé un système de jeu repris dans les épisodes qui suivent, ce système est l’association d’armes secondaires comme une hâche, un couteau, une croix et une fiole d’eau bénite. Pour utiliser ces armes il faut des cœurs. Ces cœurs peuvent être récupérés de différentes manières comme en tuant divers ennemis ou en détruisant des bougies.Il faut savoir que le jeu possède six niveaux, ces niveaux comportent trois sous-niveaux. Pour passer d’un sous niveau à l’autre il suffit d’ouvrir une porte.
Tout est inoubliable !
On peut dire que Konami s’est inspiré des romans fantastiques, mais aussi de la mythologie, on retrouve dans ce jeu des monstres comme le comte Dracula, médusa, la momie, zombie, spectre, la mort etc.Sachant que la version originale de ce jeu était très difficile, Konami a pensé à mettre dans la cartouche une pile de sauvegarde. Après avoir battu un boss, il suffit de faire une manipulation très simple : il suffit en effet d’appuyer sur L et R en même temps lorsque vous êtes sur la carte du château.
Un bon jeu :
Les graphismes sont dignes d’un jeu huit bits. On peut observer quelques détails dans l’arrière plans comme des statues ou une fontaine. Malgré ces détails le jeu reste le même que l’original, il faut noter que le jeu dégage une ambiance gothique malgré ces graphismes limités.La jouabilité est correcte vue que le personnage à une palette de mouvement très limitée, ce qui rend le jeu très difficile. La durée de vie est assez grande, car il faut savoir que les six niveaux sont divisés en trois sous niveaux tous séparés par une porte. Mais pour finir ce jeu il faut compter sur quelques heures, le temps de prendre le jeu en mains. La bande-son est correcte pour un jeu de l’époque, elle joue un rôle prépondérant dans l’ambiance du soft.
Ce jeu est un pionnier dans le genre de l’action. Le soft de Konami est encore considéré par les joueurs comme étant un incontournable de la NES. A noté une difficulté immense ce qui pourrait rebuter les néophytes.
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